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Avantages en nature 2025 : ce qui change pour votre budget et vos cotisations
Les avantages en nature accordés à vos salariés vont ils réellement peser sur votre budget en 2025 ? Cet article vous explique en détail les nouveautés introduites par l'arrêté du 25 février 2025, notamment concernant l'évaluation précise des avantages en nature pour les véhicules de fonction et les véhicules électriques. Mais surtout, il vous aide à anticiper l'impact sur vos cotisations et les contrats. On vous montre comment adapter votre politique de mobilité pour mieux maîtriser vos coûts et rester conforme à l'URSSAF, avec en ligne de mire Car n'oublions pas les particularités liées à l'achat, la location ou recharge électrique.
Ce qu'il faut savoir sur l'arrêté du 25 février 2025
Les principaux changements apportés
L'arrêté du 25 février 2025 introduit des nouvelles dispositions pour le calcul annuel forfaitaire des avantages en nature. Ces dispositions concernent essentiellement la mise à disposition d'un véhicule au salarié. Cette distinction est cruciale puisque les nouvelles dispositions s'appliquent aux véhicules mis à disposition à partir du 1er février 2025 indépendamment de sa date d'achat par l'entreprise.
Pour mieux comprendre les modifications apportées par l'arrêté du 25 février 2025 analysons les différences entre les taux d'évaluation avant et après cette date :
- Véhicule acheté (moins de 5 ans) : Le calcul annuel sans prise en charge du carburant passe de 9% du coût d'achat à 15% ce qui entraîne une hausse notable du coût total supporté par l'entreprise.
- Véhicule acheté (plus de 5 ans) : Le forfait annuel sans prise en charge du carburant passe de 6% du coût d'achat à 10% ce qui influence directement l'avantage en nature du salarié.
- Location : Dans ce cas le calcul annuel sans prise en charge du carburant passe de 30% du montant annuel total à 50% alourdissant donc l'évaluation forfaitaire.
- Avec carburant : Lorsque l'employeur prend en charge le carburant, le forfait annuel concernant un véhicule acquis de moins de 5 ans passe de 12% à 20% ; cette modification impacte une incidence sur les charges sociales.
Ces hausses de taux d'évaluation vont directement influencer les cotisations et les revenus disponibles des salariés.
Conséquences pour employeurs et salariés
Les effets de l'arrêté du 25 février 2025 sur les cotisations sociales et le pouvoir d'achat mérite attention.
Imaginons l'exemple d'un véhicule de 30 000€ : l'avantage en nature annuel s'élève, ce qui répercute les charges patronales. Cette augmentation pèse naturellement sur le coût global pour l'employeur et le salarié ; d'où la nécessité d'ajuster les stratégies mobilité en entreprise.
Évaluation spécifique selon le mode d'acquisition
Cas des véhicules achetés
Âge du véhicule | Jusqu'au 1er février 2025 | À compter de février 2025 |
---|---|---|
≤ 5 ans | 9% du montant TTC d'acquisition | 15% du prix d'achat TTC |
> 5 ans | 6% du montant TTC d'acquisition | 10% du prix d'achat TTC |
Dans le cas d'un acheté, le mode de calcul de l'avantage en nature prend en compte différents frais. Le cout d'achat TTC payé par l'entreprise constitue un élément donnée centrale. Notons que pour les véhicules mise en circulation à partir du 1er février 2025 l'évaluation forfaitaire de l'avantage en nature atteint désormais 15% du cout d'achat dès lors que l'employeur ne prend pas en charge le carburant.
Cas des véhicules en location (LOA)
Concernant les locations, une méthode révisée pour déterminer le coût global annuel en LOA, les services fiscaux appliquent à présent. La hausse se révèle plus marquée pour les locations, car elle intègre dorénavant les coûts d'entretien. Le cout global annuel inclut donc la location, l'entretien, et l'assurance ; ce qui a une incidence directe sur les prélèvements sociaux.
Mesures spécifiques pour les véhicules électriques
Nouveaux abattements applicables
Signalons que l'arrêté du 25 février 2025, introduit un régime dérogatoire pour les bornes de recharge des véhicules électriques. Cette mesure vise à encourager les entreprises à adopter une démarche écoresponsable : l'avantage fiscal pour les véhicules électriques dès 2025 se traduit par des abattements spécifiques. Grâce à ces dispositifs, le coût global lié à l'avantage fiscal est réduit de manière significative. Pour en savoir plus sur les atouts des véhicules Tesla pour les professionnels, consultez notre article dédié.
Voyons maintenant les conditions à remplir. Pour bénéficier des abattements spécifiques sur les véhicules électriques dès 2025, il est important que les entreprises et les salariés respectent des conditions précises.
- Véhicule électrique : Pour bénéficier des avantages fiscaux, le véhicule doit être 100% électrique. Les modèles hybrides, même rechargeables sont donc exclus.
- Date de mise en service : Les abattements s'appliquent principalement aux véhicules électriques mis en service à partir du 1er février 2025, comme le précise l'arrêté.
- Éco-score minimal : Le véhicule électrique doit respecter un seuil minimal d'éco-score. Ce seuil garantit qu'il répond aux exigences environnementales actuelles, contribuant ainsi à limiter leur empreinte écologique.
- Borne de recharge : L'installation obligatoire d'une borne de recharge électrique, que ce soit en entreprise ou au domicile du salarié devient alors obligatoire pour bénéficier de certains abattements liés à la recharge électrique
En effet, le respect de ces critères est déterminant pour tirer pleinement parti des incitations fiscales mis en place pour encourager l'adoption des véhicules électriques. En effet, ces critères visent à privilégier les véhicules les plus écologiques et de garantir que les incitations fiscales profitent aux entreprises et aux salariés qui s'engagent concrètement dans la transition écologique dans les transports.
Mise en œuvre concrète
Les documents à ne pas négliger
Archiver ces justificatifs s'avère important face à d'éventuels contrôles potentiels de l'URSSAF. Conserver ces documents pendant six ans reste une obligation légale. Leur utilité est double : d'une part pour justifier l'évaluation des avantages en nature mais aussi d'autre part comme garantie réglementaire pour l'entreprise.
Année des avantages | Déclaration |
---|---|
2025 | Déclarations sociales et fiscales de 2025 (à réaliser en 2026) |
2026 | Déclarations sociales et fiscales de 2026 (prévues pour 2027) |
Adaptation des politiques de mobilité
L'avantage en nature « véhicule » n’est pas la seule option possible. Pour limiter l'impact fiscal, les entreprises peuvent paradoxalement opter pour des solutions de mobilité durable, comme l'abonnement de voiture. Ces alternatives permettent notamment de réduire le coût global et, même d'optimiser les cotisations sociales, tout en encourageant une utilisation plus raisonnée des véhicules, ce qui constitue un atout de taille pour l'environnement comme pour l'image de l'entreprise.
Évolutions réglementaires anticipées
Projets de réforme complémentaires
C'est pertinent d'examiner les orientations gouvernementales pour la période 2026-2030 concernant les avantages en nature. L'objectif ? C'est d'offrir une vision d'avenir aux lecteurs or des projets de réforme pourraient significativement impacter l'évaluation des véhicules de fonction. L'entreprise doit anticiper ces changements pour affiner sa politique de mobilité et maîtriser ses coûts - Voilà pourquoi une veille active des changements législatifs et une adaptation nécessaire de ses stratégies. Pour en savoir plus sur l'impact des changements de 2025 sur les avantages en nature, consultez notre article.
Anticiper les nouvelles réglementations reste crucial pour optimiser une politique de mobilité. Adaptez dès maintenant vos outils pour mieux maîtriser les coûts et favoriser l'adoption de véhicules propres ; — voilà un avantage bien géré représente un réel atout pour l'entreprise comme pour ses collaborateurs.
FAQ
Quel est l'abattement sur les avantages en nature pour les véhicules électriques en 2025 ?
Pour les véhicules électriques mis à disposition des salariés à compter du 1er février 2025, un régime spécifique s'applique. L'évaluation de l'avantage en nature peut bénéficier d'un abattement de 50 % (dans la limite de 2 000,30 €) si elle est basée sur la valeur réelle. Si l'évaluation est forfaitaire, l'abattement est de 70 %, avec une limite de 4 582 €.
Pour bénéficier de ces abattements, les véhicules électriques doivent respecter un éco-score minimum vérifié au moment de la mise à disposition. Ces mesures visent à encourager l'adoption de véhicules plus respectueux de l'environnement.
Comment comptabiliser les avantages en nature en 2025 ?
L'arrêté du 25 février 2025 a modifié l'évaluation des avantages en nature liés aux véhicules de fonction, particulièrement pour ceux mis à disposition à partir du 1er février 2025. Les taux d'évaluation forfaitaire ont augmenté, avec des distinctions selon la date de mise à disposition du véhicule. Un régime favorable est maintenu pour les véhicules électriques, sous conditions, via un abattement.
Il est crucial de conserver la documentation relative à la date de mise à disposition des véhicules pour le calcul des avantages en nature. La date de mise à disposition est celle de l'attribution du véhicule — fixée par l'accord entre l'employeur et le salarié — indépendamment de la date d'achat du véhicule par l'entreprise.
Quel est le montant de l'avantage en nature nourriture en 2025 ?
En 2025, l'avantage en nature nourriture est évalué forfaitairement à 5,45 € par repas et de 10,90 € pour 2 repas dans le cas général. Pour les salariés des hôtels, cafés, restaurants et bars (HCRB), des montants spécifiques sont applicables et sont ceux de 2024 (4,15 € par repas du 1er janvier 2024 au 31 octobre 2024, puis 4,22 € à partir du 1er novembre 2024).
Si le salarié participe financièrement au repas, la différence entre l'évaluation forfaitaire et la participation du salarié est soumise à cotisations. Le repas n’est pas considéré comme un avantage en nature si le salarié prend son repas par obligation professionnelle ou par nécessité de service.
Pourquoi l'avantage en nature apparaît-il deux fois sur la fiche de paie ?
L'avantage en nature, comme une voiture de fonction, apparaît deux fois sur la fiche de paie, car il est considéré comme un complément de rémunération. Il est d'abord inclus dans le salaire brut, ce qui augmente le montant soumis aux cotisations sociales ; ensuite, il est déduit pour le calcul du salaire net à payer, parce que le salarié bénéficie déjà de l'avantage (par exemple, l'utilisation d'une voiture) et ne reçoit pas ce montant en espèces, ce qui garantit que l'avantage est correctement pris en compte dans le calcul des cotisations et de l'impôt sur le revenu.
Cette déduction est effectuée, car le salarié bénéficie déjà de l'avantage (par exemple, l'utilisation d'une voiture) et ne reçoit pas ce montant en espèces. Ce processus garantit que l'avantage est correctement pris en compte dans le calcul des cotisations et de l'impôt sur le revenu.

Voitures thermiques en 2035 : quel avenir après le vote de l'Assemblée ?
L'échéance de 2035 se rapproche à grands pas : mais quel avenir attend nos voitures thermiques ? On vous explique ici les enjeux de l'interdiction de la vente de voitures thermiques neuves en Europe, qui est manifestement un tournant décisif pour le marché automobile et la transition écologique. Voyons comment cette mesure européenne impactera votre quotidien : l'évolution des tarifs de l'électrique et les solutions alternatives type hydrogène. Bref, anticipez dès maintenant un futur dans lequel l'automobile rimera immanquablement avec électrique !
Cadre réglementaire de l'interdiction des véhicules thermiques
L'engagement climatique de l'Union Européenne
L'interdiction de la vente de voitures thermiques neuves en 2035 s'impose comme une pièce maîtresse du Pacte Vert européen — un pacte visant à atteindre la neutralité climatique en Europe d'ici à 2050. L'objectif central vise une baisse d'au moins 55% des émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2030.
Les principales étapes se structurent ainsi :
- Adoption du Pacte Vert européen.
- Fixation d'objectifs de réduction des émissions pour 2030.
- Validation de l'interdiction des véhicules thermiques neufs en 2035.
- Actualisation périodique des objectifs et des mesures.
Il est nécessaire de préciser que des exemptions sont prévues, notamment pour les petits constructeurs et l'utilisation de carburants alternatifs. Ces exceptions relativisent le caractère radical de l'interdiction des moteurs thermiques, puisque la loi autorise une transition plus progressive, pour répondre aux contraintes industrielles.
La transposition controversée en droit français
L'Assemblée Nationale a rejeté l'inscription de la date de 2035 dans la loi française. Ce rejet met en lumière les tensions qui peuvent exister entre les engagements européens et la souveraineté nationale. La France appliquera-t-elle réellement cette mesure ? Le débat reste ouvert et alimenté les débats.
Partie Prenante | Position Principale | Arguments Clés |
---|---|---|
Gouvernement | Accélérer l'adoption des véhicules électriques | Élus de gauche (concernant les ZFE) |
Élus favorables à la suppression des ZFE (Mars 2025) | Suppression des Zones à Faibles Émissions (ZFE) | Réduction des émissions de gaz à effet de serre, soutenir une industrie automobile durable, objectif de 2 millions de voitures électriques en circulation d'ici à 2030. |
Gouvernement (concernant les ZFE) | Maintien des Zones à Faibles Émissions (ZFE) | Ces zones aggravent les inégalités sociales et sont potentiellement inutiles pour améliorer la qualité de l'air, favorisant un clivage territorial. |
Élus de gauche (concernant les ZFE) | Amélioration de la mise en œuvre des ZFE | Les ZFE ont un effet sur la réduction des émissions, avec une baisse de plus d'un tiers de la concentration de dioxyde d'azote dans les villes où elles sont appliquées (Lyon et Paris). |
Automobilistes Français | Engouement grandissant pour l'électromobilité | Quatre automobilistes sur dix se disent prêts à investir dans un véhicule hybride (rechargeable ou non) dans les deux ans. |
Ce tableau résume un comparatif des positions politiques en France concernant l'électromobilité, en exposant les arguments principaux de chaque partie prenante. Il inclut les positions du gouvernement, des élus favorables à la suppression des ZFE, des élus de gauche sur le sujet des ZFE et l'intérêt des automobilistes français pour l'électromobilité.
Confrontés à ces incertitudes juridiques, les constructeurs automobiles manifestent leurs inquiétudes. Ils réclament plus de clarté et de souplesse pour s'adapter aux nouvelles exigences. En réalité, l'industrie se retrouve coincée face à des défis complexes : les objectifs environnementaux européens, les réalités économiques nationales et les demandes des utilisateurs. Mais comment résoudre ces contradictions ? Ces incertitudes juridiques ont des conséquences directes sur leurs stratégies — c'est là tout le paradoxe.
Tous les véhicules neufs vendus dans l'UE à partir de 2035 devront avoir zéro émission de CO2.
Mutation forcée pour les acteurs du secteur
Stratégies d'adaptation des constructeurs
Les constructeurs automobiles investissent massivement en R&D — L'objectif principal ? C'est l'électrification accélérée des gammes. Puisque cette transformation des modèles industriels représente un défi majeur. Mais quels obstacles technologiques les fabricants doivent-ils surmonter ?
Les constructeurs nouent des partenariats pour sécuriser l'approvisionnement en batteries. De nouvelles dépendances stratégiques apparaissent. Voilà un enjeu de taille pour l'Europe : comment garantir la souveraineté industrielle dans ce nouveau contexte ?
Enjeux économiques et sociaux
La filière des moteurs thermiques subit de plein fouet ces mutations. Des suppressions d'emplois se profilent à l'horizon. La transition énergétique engendre paradoxalement des défis sociaux majeurs et des reconversions sont nécessaires.
Signalons quelques mesures clés pour accompagner les sous-traitants automobiles :
- Soutien actif à la reconversion professionnelle
- Aides financières facilitant la diversification d'activités
- Appui technique pour la transition numérique
- Accès privilégié aux formations sur les métiers émergents
La compétitivité face aux constructeurs chinois suscite des inquiétudes croissantes. On craint surtout une désindustrialisation et domination asiatique, phénomène particulièrement préoccupant, car cet enjeu est de taille pour l'industrie automobile européenne et l'on redoute une domination asiatique.
Pour répondre à ce défi, il devient crucial d'envisager les répercussions à moyen terme de ces mutations, en anticipant les futures compétences requises, en stimulant l'innovation tout en favorisant une collaboration étroite entre tous les maillons de la chaîne. Seule cette approche l'industrie automobile européenne pourra maintenir sa compétitivité et assurer sa pérennité dans un paysage mondial en mutation rapide.
Rappelons que le gouvernement français vise 26 % de véhicules électriques dans les pour les voitures neuves des particuliers en 2025 et 66 % en 2030, selon la dernière révision de la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC).
Répercussions sur les particuliers et professionnels
Évolution du marché de l'occasion
La valeur résiduelle des véhicules thermiques reste incertaine, les consommateurs devraient anticiper. Est-ce vraiment rentable d'acheter un thermique d'occasion ? Les choix d'achat doivent être guidés pour prendre des décisions
Manifestement, les réglementations prévues dans les ZFE méritent une analyse minutieuse. De nouvelles restrictions de circulation pourraient bien se multiplier. Voyons comment évolueront les critères antipollution ? Il mieux vaut se préparer à ces changements ; gardez toujours une longueur d'avance sur les dernières informations — restez informés pour rester informé et anticiper efficacement les évolutions à venir.
Subventions et incitations financières
Le gouvernement met en place des incitations pour les véhicules électriques. Un état des lieux s'impose. Qui bénéficie réellement des bonus ? L'accessibilité concrète des véhicules électriques mérite qu'on s'y attarde. Simplifiez vos démarches administratives en étudiant les alternatives ; trouvez la solution idéale pour votre situation — une étape cruciale pour optimiser votre expérience et réduire vos tracas.
Les organisations citoyennes pointent du doigt les mesures actuelles ; dénonçant des disparités persistantes. Ces aides sont-elles suffisantes pour les ménages modestes ? La question mérite qu'on la soulève. Nous pouvons vous éclairer dans cette réflexion ; prenez le contrôle de votre transition écologique – explorez nos conseils pour mieux appréhender et saisir toutes les implications de cette mutation.
Solutions de transition énergétique
Hydrogène et biocarburants
Les technologies alternatives progressent : c’est un fait. L'hydrogène et les biocarburants sont des options à considérer. Mais au fait, quels sont les acteurs qui misent vraiment sur l'hydrogène ? Ces solutions sont complémentaires à l'électrique… — et ça, c’est crucial souligner.
Le déploiement de ces alternatives rencontre des obstacles réglementaires. Voyons, pourquoi ces solutions restent-elles marginales ? Force est de constater qu’il est crucial d'analyser ces freins pour accélérer leur adoption ; vu que l'avenir énergétique en dépend, disons-le que cette analyse est primordiale.
Infrastructures de recharge
Le déploiement des bornes en France est en cours. Faisons le point. Mais quels territoires sont sous-équipés ? La préparation technique du territoire est un enjeu de taille pour faciliter l'adoption des véhicules électriques. En somme, une planification rigoureuse et une allocation efficace des ressources s’avèrent indispensables pour garantir que chaque région puisse bénéficier d'une infrastructure de recharge adéquate, favorisant ainsi une transition énergétique équitable et accessible à tous.
Quant au raccordement électrique massif pose des défis importants. Les besoins en production d'énergie font bond. Alors comment garantir l'alimentation des véhicules électriques ? Impossible de faire l’impasse ces enjeux pour assurer une transition énergétique réussie — l’enjeu est de taille.
Scénarios pour l'après-2035
Adaptation des politiques publiques
Penchons-nous sur l'adaptation des politiques publiques à l'horizon 2035. Il est important d'étudier les marges de manœuvre réglementaires. Des flexibilités sont envisageables, et on pourrait se demander si l'Union Européenne pourrait envisager un report de l'échéance. L'analyse des marges de manœuvre doit donc être privilégiée pour anticiper les ajustements nécessaires.
Bruxelles prévoit des mécanismes de révision — ce qui nuance, il faut le dire, le caractère irréversible de la mesure. Il est pertinent de suivre de près ces évolutions et de déterminer quels critères pourraient déclencher un réexamen. Il convient donc de rester attentif aux signaux envoyés par les instances européennes.
Évolution des comportements mobilité
Les mobilités partagées gagnent du terrain, signe de transformations sociétales profondes. La possession automobile est-elle vraiment condamnée à disparaître ? Une question qui reste ouverte... ces tendances s'avèrent importantes à observer. Découvrez comment nous vous accompagnons à appréhender ces changements.
Les Zones à Faibles Émissions (ZFE) ont un impact direct sur les stratégies résidentielles entraînant, paradoxalement, des conséquences urbaines indirectes — Voilà pourquoi il importe d'anticiper ces évolutions pour mieux les maîtriser, en se demandant : allons-nous vraiment assister à un exode des centres-villes, en analysant les dynamiques à l'œuvre et en comprenant comment les politiques d'urbanisme peuvent influencer ces mouvements de population. Inscrivez-vous dès maintenant pour suivre nos analyses et décryptages.
2035 approche à grands pas : la fin des moteurs thermiques se précise – une véritable révolution qui transforme déjà le marché automobile. Voyons, préparez cette mutation énergétique dès maintenant en vous intéressant de près les modèles électriques et les solutions de recharge disponibles. Car enfin, l'avenir de la mobilité se dessine déjà sous nos yeux, il est temps de vous y préparer !
FAQ
Quels pays vont interdire les moteurs thermiques en 2035 ?
L'Union Européenne a pris une décision importante : l'interdiction de la vente de voitures neuves thermiques à partir de 2035 dans ses pays membres. Cependant, cette mesure demande que les voitures produites après cette date n’émettent plus de CO2 ; ce qui laisse la possibilité d'utiliser des automobiles à hydrogène, biocarburant ou à carburant de synthèse.
Certains pays de l'UE comme la Suède, l’Irlande ou les Pays-Bas, ont annoncé une échéance à 2030. La Norvège pourrait même devenir pionnière avec une fin des voitures thermiques dès 2025. Quant à la fin de la vente des voitures thermiques neuves en 2035 en France, elle reste incertaine.
Pourquoi les hybrides seront-ils interdits en 2035 ?
Les hybrides, qu'elles soient micro, simples ou rechargeables, sont concernées par l'interdiction de vente de véhicules thermiques neufs en 2035. La raison ? L'objectif est de réduire à 100% les émissions de CO2 des voitures neuves dans l'Union européenne. Même les véhicules dont le moteur thermique sert uniquement de générateur pour alimenter un moteur électrique sont concernés par cette interdiction.
Cette mesure s'inscrit dans une stratégie plus large : la décarbonation de l'économie et la lutte contre le réchauffement climatique. L'objectif est d'atteindre la neutralité carbone d'ici 2050. Dès lors, cela encourage à accélérer la transition vers des véhicules électriques à hydrogène ou utilisant des biocarburants ou carburants de synthèse.
Quels sont les 4 pays les plus vents debout contre l'interdiction des thermiques ?
En mars 2023, huit pays européens s'opposaient à l'interdiction de la vente de voitures neuves à moteur thermique en 2035 : Allemagne, Hongrie, Italie, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie et Slovaquie. L'Allemagne et l'Italie ont exprimé une forte opposition car leur industrie automobile nationale est très puissante.
La Pologne et la République tchèque, quant à elles, s'inquiètent des conséquences sur leurs nombreux sous-traitants automobiles et les emplois associés. Ces pays ont exprimé des préoccupations quant à l'impact économique de l'interdiction sur leur industrie automobile et leurs emplois.
Quelles sont les voitures qui n'auront plus le droit de circuler en 2025 ?
À partir du 1er janvier 2025, à Paris, les véhicules diesel de plus de 14 ans et les véhicules essence de plus de 19 ans (Crit’Air 3) ne pourront plus circuler dans la ZFE du lundi au vendredi de 8 h à 20 h. Certaines villes ont mis en place des Zones à Faibles Émissions mobilité (ZFE-m) qui restreignent la circulation de certains véhicules en fonction de leur vignette Crit’Air.
Les restrictions de circulation dans ces zones sont basées sur le système de vignettes Crit’Air qui classe les véhicules en fonction de leurs émissions polluantes. Certaines villes peuvent interdire l'accès aux véhicules les plus polluants (Crit’Air 4 ou 5 par exemple) de manière permanente ou temporaire.
Quelle voiture peut rouler jusqu'en 2035 ?
L'interdiction de vente de voitures thermiques neuves en 2035 en Europe ne signifie pas forcément l'interdiction de rouler avec ces véhicules. Les voitures à hydrogène, biocarburant ou carburant de synthèse pourront continuer d’être vendues après 2035. Seules les voitures à essence diesel et hybrides sont dans le viseur de l'interdiction.
Il est important de noter que l'objectif principal est de réduire les émissions de CO2 et non d'interdire tous les moteurs thermiques. Les carburants de synthèse fabriqués artificiellement à partir de carbone et d'hydrogène, pourraient permettre aux voitures thermiques de continuer à rouler après 2035 ; à condition que l'hydrogène utilisé soit vert.

Top 6 des applications d'autopartage
Getaround, l’application d’autopartage qui s’ajuste à tous
Une plateforme d’autopartage européenne
Getaround est une plateforme d’autopartage d’origine européenne qui a su s'imposer sur le marché grâce à sa flexibilité et à son accessibilité. Forte de sa croissance rapide, cette application permet aux utilisateurs de louer des véhicules directement auprès de particuliers, ce qui élargit considérablement le choix de voitures disponibles et offre des options pour tous les types de déplacements. En mettant en relation directe les propriétaires de voitures avec les locataires, Getaround favorise une économie collaborative et encourage ainsi une utilisation plus optimisée des ressources existantes.
La plateforme se distingue par sa grande variété de véhicules, allant des petites citadines aux voitures familiales, en passant par des véhicules utilitaires. Cette diversité permet de répondre aux besoins variés des usagers, qu'ils soient en quête d'une solution pratique pour un déplacement urbain rapide ou d'une voiture plus spacieuse pour un voyage en famille. De plus, l'application est dotée d'une interface conviviale, rendant l'expérience utilisateur fluide et intuitive, même pour les néophytes en matière d'autopartage.
Louer un véhicule avec Getaround : quel est le prix ?
Le coût de location sur Getaround est largement compétitif, avec des prix qui varient en fonction du type de véhicule et de la durée de la location. La plateforme propose une tarification transparente, permettant aux utilisateurs de connaître dès le début le montant total à payer, sans frais cachés. Grâce à une politique de prix ajustable, les utilisateurs peuvent facilement comparer les offres et choisir celle qui convient le mieux à leur budget et à leurs besoins.
En outre, Getaround propose régulièrement des promotions et des réductions pour ses utilisateurs, rendant l'autopartage encore plus accessible. Les propriétaires de véhicules peuvent également fixer leurs propres tarifs, ce qui leur offre une certaine flexibilité en fonction de la demande et de la saisonnalité. Par ailleurs, la plateforme inclut souvent l'assurance dans le prix de la location, garantissant ainsi une expérience sécurisée pour les deux parties.
Zity, la plateforme d’autopartage en free-flating
Une inscription simple
Zity se démarque par son modèle d'autopartage en free-floating, permettant aux utilisateurs de prendre et de déposer les véhicules où ils le souhaitent, sans avoir à se rendre dans des stations spécifiques. Le processus d'inscription sur Zity est simplifié pour encourager un accès rapide au service. Les utilisateurs doivent simplement télécharger l'application, s'inscrire en fournissant quelques informations personnelles et un permis de conduire valide, et ils sont prêts à utiliser le service.
Ce modèle d'inscription facile et rapide est particulièrement apprécié par les nouveaux utilisateurs de l'autopartage, qui recherchent une solution immédiate et sans tracas. Zity veille également à sécuriser les informations de ses utilisateurs grâce à des protocoles de sécurité rigoureux, garantissant ainsi une expérience fiable et sûre dès la première utilisation.
Un tarif de location de voiture à la minute
Zity propose une tarification à la minute, une option économique et flexible pour ceux qui n'ont besoin d'un véhicule que pour de courtes durées. Ce système de facturation permet aux utilisateurs de payer uniquement pour le temps exact d'utilisation, ce qui peut s'avérer très avantageux pour les trajets urbains rapides. Les utilisateurs peuvent suivre leur consommation en temps réel via l'application, ce qui leur permet de garder un œil sur leur budget.
De plus, Zity offre régulièrement des forfaits avantageux et des réductions pour les utilisateurs fréquents, rendant son service encore plus attrayant pour ceux qui souhaitent intégrer l'autopartage dans leur routine quotidienne. Ce modèle de tarification flexible est idéal pour les citadins qui cherchent à éviter les coûts fixes associés à la possession d'un véhicule tout en bénéficiant de la commodité d'une voiture à disposition.
L’autopartage avec Communauto
L’autopartage sur mesure
Communauto est une solution d'autopartage qui se veut sur mesure , offrant aux utilisateurs une variété de véhicules adaptés à différents besoins. Que ce soit pour un déplacement quotidien ou une escapade de fin de semaine, Communauto met à disposition une flotte diversifiée qui répond à chaque situation. L'utilisateur a ainsi la possibilité de choisir le véhicule qui lui convient le mieux, en fonction de la taille, du confort ou des caractéristiques spécifiques requises pour son trajet.
La plateforme met un point d'honneur à offrir un service personnalisable, où chaque utilisateur peut configurer son expérience en fonction de ses préférences personnelles. Cette approche sur mesure est renforcée par un service client réactif et attentif, prêt à assister les utilisateurs à chaque étape de leur expérience d'autopartage.
Une tarification souple et personnalisée
Communauto propose une tarification souple et personnalisée , permettant aux utilisateurs de choisir entre différentes options de paiement selon leur fréquence d'utilisation et leurs exigences budgétaires. Les forfaits disponibles incluent des options à l'heure, à la journée ou au kilomètre, offrant ainsi une flexibilité maximale. Cette approche permet de s'adapter à tous types de budgets, des utilisateurs occasionnels aux abonnés réguliers.
En outre, Communauto propose des programmes de fidélité et des remises pour les utilisateurs fréquents, rendant l'autopartage encore plus attractif. Cette politique tarifaire inclusive vise à favoriser l'adoption de l'autopartage comme alternative viable à la possession d'un véhicule personnel, contribuant ainsi à réduire l'empreinte carbone des déplacements urbains.
Cartage : Lʼassurance auto pour lʼauto-partage
Détails de la prise en charge par Cartage
Cartage se positionne comme un acteur clé dans l'assurance pour l'autopartage, offrant une prise en charge complète pour les utilisateurs de véhicules partagés. L'assurance couvre non seulement les dommages matériels et corporels, mais aussi les incidents liés aux imprévus de la route, garantissant ainsi une tranquillité d'esprit pour les conducteurs et les propriétaires de véhicules.
Les utilisateurs de Cartage bénéficient d'une assistance 24/7, ce qui est un atout majeur en cas de besoin urgent. Cette couverture étendue est conçue pour répondre aux exigences spécifiques de l'autopartage, en tenant compte des particularités de ce mode de transport moderne et en s'adaptant aux divers scénarios que les utilisateurs pourraient rencontrer.
Souscription simple via une app mobile
La souscription à l'assurance Cartage est rendue aisée grâce à une application mobile intuitive. Les utilisateurs peuvent facilement sélectionner le type de couverture dont ils ont besoin et gérer leurs polices directement depuis leur smartphone. Cette approche mobile-first permet une flexibilité et une commodité accrues, alignées sur les attentes des consommateurs d'aujourd'hui.
L'application offre également des fonctionnalités supplémentaires, telles que le suivi des réclamations en temps réel et des conseils de sécurité routière, enrichissant ainsi l'expérience utilisateur. Cette simplicité dans la gestion de l'assurance encourage davantage d'utilisateurs à adopter l'autopartage en toute confiance.
Engagement envers la mobilité durable
Cartage s'engage activement en faveur de la mobilité durable , en promouvant des pratiques d'assurance qui soutiennent l'utilisation partagée des ressources automobiles. Cet engagement se traduit par des initiatives visant à sensibiliser les utilisateurs à l'impact environnemental de leurs choix de transport et à encourager des comportements écoresponsables.
En collaborant avec des partenaires de l'industrie de l'autopartage, Cartage contribue à la promotion d'une mobilité plus respectueuse de l'environnement. Cet engagement en faveur de la durabilité est un élément central de leur mission, visant à transformer l'industrie de la mobilité pour un avenir plus vert et plus responsable.
Citiz, le réseau d’autopartage
Des véhicules en libre-service pour tous
Citiz offre un réseau étendu de véhicules en libre-service accessible à tous, facilitant l'accès à une voiture sans les contraintes de la possession. Ce modèle de libre-service permet aux utilisateurs de réserver un véhicule à l'avance ou de le prendre à l'instant, selon leurs besoins immédiats. Cette flexibilité est particulièrement appréciée dans les zones urbaines, où la disponibilité rapide de véhicules est essentielle.
La diversité de la flotte Citiz, qui comprend des voitures compactes, des utilitaires et des véhicules électriques, répond aux attentes variées des utilisateurs. Avec un réseau bien implanté dans de nombreuses villes, Citiz encourage l'usage partagé des véhicules, contribuant ainsi à la réduction de la congestion urbaine et à l'amélioration de la qualité de l'air.
Des forfaits de location de voiture tout compris
Citiz propose des forfaits de location tout compris, intégrant assurance et maintenance, ce qui simplifie grandement l'utilisation pour les clients. Ces forfaits sont conçus pour offrir une transparence totale sur les coûts, éliminant les frais cachés et assurant une tranquillité d'esprit pour les utilisateurs. Ce modèle de tarification est idéal pour les personnes qui recherchent une solution pratique et économique pour leurs déplacements.
Les utilisateurs peuvent choisir parmi divers forfaits, adaptés à leurs besoins spécifiques, qu'ils soient occasionnels ou fréquents. Cette approche personnalisée permet à Citiz de répondre efficacement aux attentes de sa clientèle, tout en soutenant un modèle de transport plus durable et collaboratif.
SHARENOW, l’autopartage à domicile
SHARENOW se distingue par son concept innovant d' autopartage à domicile , offrant aux utilisateurs la possibilité de trouver et de réserver des véhicules directement depuis leur quartier. Cette proximité immédiate facilite l'accès aux voitures partagées, éliminant le besoin de se déplacer vers des points de collecte éloignés. SHARENOW combine ainsi commodité et flexibilité, rendant l'autopartage accessible au quotidien.
La plateforme propose une vaste sélection de véhicules, couvrant divers besoins de transport, des trajets urbains courts aux voyages plus longs. SHARENOW mise sur une technologie avancée pour optimiser l'expérience utilisateur, avec une application intuitive permettant de localiser, réserver et déverrouiller les véhicules en quelques clics. Cette approche simplifiée et accessible a fait de SHARENOW un choix privilégié pour ceux qui recherchent une solution de mobilité moderne et pratique.
Deux solutions partagées dédiées aux entreprises
SIXT Business
SIXT Business offre une solution d'autopartage dédiée aux entreprises, permettant aux employés d'accéder à une flotte de véhicules professionnels pour leurs besoins de déplacement. Ce service est conçu pour optimiser la mobilité au sein des entreprises, en réduisant les coûts liés à la gestion de flottes privées tout en augmentant la flexibilité des déplacements professionnels. Avec SIXT Business, les entreprises peuvent bénéficier d'une gestion centralisée des réservations et des dépenses, facilitant ainsi le suivi et le contrôle des coûts.
Les entreprises peuvent personnaliser leur offre en choisissant parmi différents types de véhicules et niveaux de service, en fonction de leurs besoins spécifiques. Cette flexibilité permet à SIXT Business de s'adapter à des entreprises de toutes tailles, des PME aux grandes corporations, en offrant une solution de mobilité sur mesure et efficace.
Enterprise CarShare
Enterprise CarShare propose une autre option d'autopartage pour les entreprises, axée sur la simplicité et l'efficacité . Ce service permet aux entreprises de réduire leur empreinte carbone en partageant des véhicules entre employés, tout en optimisant l'utilisation des ressources. Enterprise CarShare offre un accès facile aux véhicules, avec une interface utilisateur conviviale pour les réservations et la gestion des comptes.
Le programme inclut des fonctionnalités avancées telles que le suivi en temps réel et des rapports détaillés sur l'utilisation des véhicules, permettant aux entreprises de mieux comprendre et gérer leur consommation de mobilité. En s'engageant à fournir un service de qualité, Enterprise CarShare aide les entreprises à adopter des pratiques de mobilité durable tout en améliorant l'efficacité opérationnelle.
En résumé, l'autopartage offre de nombreux avantages pour optimiser la mobilité professionnelle : flexibilité des solutions, réduction des coûts, gestion simplifiée des flottes et contribution à la mobilité durable. En sélectionnant une plateforme adaptée comme Evera et en exploitant intelligemment les données d'utilisation, les entreprises peuvent tirer le meilleur parti de ce mode de déplacement innovant.
Alors, êtes-vous prêts à franchir le pas et à intégrer l'autopartage dans votre stratégie de mobilité pour un impact positif sur votre performance et votre empreinte environnementale ?

Le contrôle technique des véhicules électriques : ce qu'il faut savoir
Le contrôle technique des véhicules électriques professionnels comporte des spécificités liées à leur motorisation. Découvrez les points de vérification supplémentaires, la fréquence et le coût de ces contrôles, ainsi que les bonnes pratiques pour préparer votre flotte. Un suivi régulier est essentiel pour garantir la sécurité, optimiser la maintenance et préserver la valeur de revente de vos véhicules électriques.
Les spécificités du contrôle pour les voitures électriques
Avantages du contrôle par un expert qualifié | Risques d'un contrôle par un non-spécialiste |
---|---|
Maîtrise des protocoles de sécurité | Risque d'électrocution lors des manipulations |
Connaissance des points à vérifier | Risque de brûlure en cas de court-circuit |
Contrôle fiable et rigoureux | Risque d'endommagement du véhicule et des équipements |
Accompagnement expert à chaque étape | Contrôle incomplet ou non-pertinent |
Avantages du contrôle par un expert qualifié

Le contrôle technique des véhicules électriques professionnels comprend 11 points de vérification supplémentaires par rapport aux voitures thermiques. Ces points se concentrent principalement sur la batterie de traction et les composants électriques, tels que la prise de charge, le câble et le coffre de la batterie. Un contrôle minutieux de ces éléments est essentiel pour garantir la sécurité et la fiabilité du véhicule au quotidien.
En suivant les recommandations d'entretien du constructeur et en effectuant des visites préventives chez un professionnel agréé, les entreprises peuvent anticiper sereinement leur contrôle technique. Cette démarche proactive permet non seulement de limiter les risques de réparations coûteuses, mais aussi de préserver la longévité et les performances de leur flotte de véhicules électriques. Evera accompagne les professionnels dans cette démarche, en proposant des solutions de mobilité électrique tout compris, incluant l'entretien et l'assistance.
Prenons l'exemple d'une PME spécialisée dans les services informatiques, qui possède une flotte de 5 véhicules électriques. En souscrivant à l'offre d'Evera, cette entreprise bénéficie d'un suivi régulier de l'état de ses véhicules et de leur batterie. Les alertes automatiques envoyées par l'application Copilot lui permettent de planifier facilement les visites d'entretien et d'anticiper les points de vigilance avant chaque contrôle technique. Grâce à cette approche préventive, l'entreprise optimise la disponibilité de sa flotte et réduit ses coûts de maintenance.
Le contrôle technique des véhicules électriques professionnels
Le contrôle technique d'un véhicule électrique doit impérativement être réalisé par un expert qualifié et formé aux spécificités de ces motorisations. En effet, manipuler une batterie de traction ou des composants électriques sans les connaissances nécessaires peut entraîner des risques d'électrocution, de brûlure, voire d'endommagement du véhicule. Il est donc important de choisir un centre de contrôle technique agréé et expérimenté dans le domaine des véhicules électriques.
Les experts habilités à contrôler les voitures électriques professionnelles suivent une formation spécifique, leur permettant de maîtriser les protocoles de sécurité et les points de vérification propres à ces motorisations. Leur expertise garantit un contrôle fiable et rigoureux, contribuant ainsi à la sérénité et à la confiance des entreprises qui ont fait le choix de la mobilité électrique. Evera s'appuie sur un réseau de partenaires agréés et expérimentés pour offrir à ses clients un accompagnement de qualité, à chaque étape de leur transition vers l'électrique.
Fréquence et coût du contrôle technique
Fréquence du contrôle technique
Comme pour les véhicules thermiques, les voitures électriques professionnelles sont soumises à un contrôle technique obligatoire. Celui-ci doit être effectué pour la première fois quatre ans après la mise en circulation du véhicule, puis renouvelé tous les deux ans. Il est essentiel pour les entreprises de bien anticiper ces échéances, afin d'éviter tout risque d'immobilisation de leur flotte et de maintenir leurs véhicules en conformité avec la réglementation en vigueur.
En cas de revente d'un véhicule électrique professionnel, un contrôle technique de moins de six mois doit être présenté à l'acheteur potentiel. Cette obligation légale permet de garantir la transparence sur l'état du véhicule et de sa batterie, un élément clé pour déterminer sa valeur sur le marché de l'occasion. En souscrivant à l'offre flexible d'Evera, les entreprises peuvent gérer sereinement leur flotte de véhicules électriques, en bénéficiant d'un accompagnement personnalisé pour anticiper les contrôles techniques et optimiser la revente de leurs véhicules.
Imaginons une startup qui loue 3 véhicules électriques à ses commerciaux itinérants. Grâce à l'abonnement sans engagement d'Evera, cette jeune entreprise peut adapter sa flotte à l'évolution de ses besoins, sans se soucier des contraintes administratives liées aux contrôles techniques. En effet, Evera se charge de planifier les visites obligatoires et d'informer la startup des échéances à venir. De plus, si l'entreprise souhaite renouveler un véhicule, elle peut compter sur l'expertise d'Evera pour obtenir le meilleur prix de reprise, en s'appuyant sur un historique de contrôles techniques à jour.
Coût du contrôle technique
Le coût d'un contrôle technique pour un véhicule électrique professionnel est légèrement plus élevé que pour un véhicule thermique, en raison des équipements spécifiques et de l'expertise requise. En moyenne, il faut compter environ 8 à 10% de plus, soit une différence de 20 à 30 euros par rapport au tarif d'un contrôle classique. Cependant, cet écart de coût est rapidement compensé par les économies réalisées à l'usage, grâce à une recharge moins onéreuse et à un entretien simplifié.
En effet, les véhicules électriques nécessitent moins de lubrifiants et ne sont pas équipés d'une ligne d'échappement, ce qui réduit les frais d'entretien courant. De plus, leur mécanique simplifiée et leur fiabilité approfondie permettent d'espacer les visites en atelier, générant ainsi des économies significatives pour les entreprises. En optant pour l'offre tout compris d'Evera, les professionnels peuvent maîtriser leur budget mobilité en toute simplicité, grâce à une mensualité incluant le véhicule, l'assurance, l'assistance et l'entretien.
Jean-Michel, consultant indépendant, a choisi de louer une voiture électrique premium auprès d'Evera pour ses déplacements professionnels. Bien que le coût du contrôle technique soit légèrement plus élevé que pour son ancien véhicule diesel, il réalise des économies substantielles sur ses dépenses de carburant et d'entretien. De plus, la mensualité fixe lui permet de mieux gérer sa trésorerie et de se concentrer sur son cœur de métier, sans se soucier des formalités administratives.
Points de vérification supplémentaires
Points techniques clés
Parmi les 11 points de contrôle spécifiques aux véhicules électriques professionnels, une attention est portée à la prise de charge, au câble et au coffre de la batterie de traction. Ces éléments sont essentiels au bon fonctionnement et à la sécurité du véhicule, et doivent donc être minutieusement vérifiés lors du contrôle technique. Les experts s'assurent notamment de l'absence de dommages ou d'usure excessive, de la propreté des connexions et du bon verrouillage du coffre de la batterie.
Un défaut sur l'un de ces points peut entraîner une contre-visite, voire l'immobilisation du véhicule si la sécurité est engagée. Il est donc primordial pour les entreprises de sensibiliser leurs collaborateurs à la bonne utilisation et à l'entretien régulier de ces éléments, afin de prévenir tout problème lors du contrôle technique. Evera propose des formations et un accompagnement personnalisé pour aider les professionnels à adopter les bons réflexes et à optimiser la gestion de leur flotte électrique au quotidien.
En suivant ces conseils et en planifiant des visites régulières chez un professionnel agréé, vous aborderez sereinement chaque contrôle technique et préserverez la valeur de votre véhicule électrique.
Le dispositif antidémarrage des véhicules électriques
Le dispositif antidémarrage est un équipement de sécurité spécifique aux véhicules électriques, qui empêche tout démarrage intempestif lorsque le câble de recharge est encore connecté. Lors du contrôle technique, les experts vérifient le bon fonctionnement de ce dispositif, en simulant différentes situations de charge et de démarrage. Cette vérification est importante pour garantir la sécurité des utilisateurs et prévenir tout risque d'accident.
En cas de dysfonctionnement du dispositif antidémarrage, le véhicule électrique professionnel peut être déclaré inapte à circuler, entraînant son immobilisation immédiate. Pour éviter cette situation, il est recommandé aux entreprises de faire vérifier régulièrement ce dispositif par un professionnel agréé, et de sensibiliser leurs collaborateurs à son importance. Evera accompagne les professionnels dans cette démarche, en leur proposant des solutions de maintenance préventive adaptées à leurs besoins et à leurs usages.
Préparer son véhicule électrique au contrôle
Actions préventives | Bénéfices pour l'entreprise |
---|---|
Visites régulières chez un professionnel agréé | Détection et correction anticipée des problèmes |
Contrôles préventifs planifiés | Réduction des risques de pannes et d'immobilisations |
Forfaits de maintenance adaptés | Optimisation du budget et maîtrise des coûts |
Accès à un réseau d'experts Evera | Prise en charge et accompagnement personnalisé |
Respecter le carnet d’entretien pour garantir la fiabilité des véhicules électriques

Pour aborder sereinement le contrôle technique d'un véhicule électrique professionnel, il est essentiel de respecter le carnet d'entretien préconisé par le constructeur. Ce document détaille les opérations de maintenance à effectuer à intervalles réguliers, en fonction du kilométrage ou de la durée d'utilisation du véhicule. En suivant ces recommandations, les entreprises s'assurent du bon fonctionnement de leur flotte électrique et limitent les risques de contre-visite lors du contrôle technique.
Le carnet d'entretien d'un véhicule électrique professionnel comprend des vérifications régulières de la batterie de traction, du système de refroidissement, des freins régénératifs et des pneumatiques spécifiques. Le respect de ces échéances permet de préserver les performances et la longévité du véhicule, tout en garantissant une sécurité aux collaborateurs. Avec l'offre flexible d'Evera, les entreprises bénéficient d'un suivi de l'entretien de leur flotte électrique, grâce à des alertes automatiques et à un accompagnement sur-mesure.
Une grande entreprise de distribution a décidé de convertir sa flotte de véhicules de fonction à l'électrique, en s'appuyant sur l'expertise d'Evera. Grâce à l'application Copilot, le gestionnaire de flotte peut suivre en temps réel l'état de chaque véhicule et planifier les opérations de maintenance préventive en fonction des alertes reçues. En centralisant l'ensemble des carnets d'entretien sur une plateforme, il optimise la gestion de sa flotte et s'assure de la conformité de chaque véhicule avant son contrôle technique. Cette approche lui permet de réduire les coûts d'exploitation et de maximiser la disponibilité de ses véhicules.
Planifier des visites régulières pour une maintenance préventive efficace
En complément du respect du carnet d'entretien, il est recommandé aux entreprises de planifier des visites régulières chez un professionnel agréé, spécialisé dans les véhicules électriques. Ces contrôles préventifs permettent de détecter et de corriger des problèmes avant qu'ils ne s'aggravent, évitant ainsi des réparations coûteuses et des immobilisations prolongées. C'est également l'occasion de faire un point sur l'état du véhicule et de sa batterie, et d'anticiper les points de vigilance lors du prochain contrôle technique.
En choisissant l'offre d'Evera, les professionnels ont accès à un réseau de partenaires agréés, formés aux spécificités des véhicules électriques. Ces experts proposent des forfaits de maintenance adaptés à chaque type de véhicule et d'usage, permettant aux entreprises d'optimiser leur budget et de bénéficier d'une prise en charge. Cette démarche proactive est un gage de sérénité et de fiabilité pour les professionnels qui ont fait le choix de la mobilité électrique.
En adoptant une approche préventive et en s'appuyant sur l'expertise d'Evera, les entreprises abordent sereinement chaque contrôle technique et pérennisent leur transition vers une mobilité plus durable.
Suivi des performances et optimisation des coûts
Analyser les données de consommation, d'utilisation et d'entretien

Pour piloter efficacement la flotte de véhicules électriques, il est essentiel de collecter et d'analyser un large spectre de données issues des systèmes embarqués et des outils de gestion. Les informations relatives à la consommation électrique, aux distances parcourues, aux temps d'utilisation ou encore aux coûts d'entretien constituent une mine d'or pour optimiser les performances.
En exploitant ces données via des tableaux de bord dédiés, le gestionnaire de flotte peut identifier les axes d'amélioration et mettre en place des actions ciblées. Par exemple, en analysant la consommation électrique de chaque véhicule selon le type de parcours et le comportement du conducteur, il est possible de détecter les sources de surconsommation et de sensibiliser les collaborateurs aux éco-gestes de conduite.
Jean-Michel, DAF indépendant, simplifie sa gestion de mobilité grâce à un véhicule électrique premium livré rapidement par Evera. L'application dédiée lui permet de suivre précisément ses données de consommation, d'utilisation et d'entretien. Il peut ainsi identifier les trajets les plus énergivores, optimiser son comportement de conduite et anticiper les opérations de maintenance préventive. Cette analyse fine des données lui permet de réduire ses coûts d'exploitation et de prolonger la durée de vie de son véhicule.
Actualiser la car policy pour intégrer les spécificités des véhicules électriques

L'introduction de véhicules électriques dans la flotte de l'entreprise nécessite d'adapter la car policy pour prendre en compte leurs spécificités. Il convient notamment de définir les règles d'attribution en fonction des profils de poste et des besoins de déplacement, mais aussi de formaliser les bonnes pratiques d'utilisation et de recharge attendues des collaborateurs.
La car policy doit également intégrer les aspects financiers propres aux motorisations électriques, comme les modalités de prise en charge des frais de recharge sur le lieu de travail ou au domicile, ou encore les conditions d'assurance et d'assistance adaptées. En clarifiant ces éléments dans un document de référence, l'entreprise facilite l'adhésion des collaborateurs à la transition électrique et optimise la gestion administrative de sa flotte.
En adoptant une car policy sur mesure, intégrant les enjeux propres aux véhicules électriques, l'entreprise se dote d'un cadre clair et efficace pour accompagner sa transition vers une flotte plus durable et performante. L'offre d'Evera, avec son approche flexible et tout compris, s'avère un allié précieux pour mettre en œuvre sereinement ce changement.

Guide sur la prime à la conversion du véhicule de société
La prime à la conversion représente une opportunité intéressante pour les entreprises souhaitant passer à l'électrique. Quels sont les critères d'éligibilité à respecter ? Comment choisir le bon véhicule électrique ou hybride rechargeable ? Découvrez tous les secrets pour optimiser cette aide précieuse et accélérer votre transition vers une flotte plus verte.
Comprendre les critères d'éligibilité
Vérifier le revenu fiscal de référence par part
Pour bénéficier de la prime à la conversion, votre entreprise doit respecter certains critères essentiels. Le premier concerne le revenu fiscal de référence par part du demandeur, qui doit être inférieur ou égal à 14 089 € selon les données officielles. Cette condition permet de cibler les entreprises ayant réellement besoin d'un soutien financier pour passer à l'électrique.
Au-delà de ce seuil, la prime à la conversion reste accessible, mais avec des montants dégressifs. Il est donc important de bien vérifier votre situation fiscale avant d'entamer les démarches, afin d'estimer précisément l'aide à laquelle vous pouvez prétendre. N'hésitez pas à vous faire accompagner par un expert-comptable ou un conseiller spécialisé pour optimiser votre éligibilité.
Choisir un véhicule éligible à la prime
Le second critère porte sur le type de véhicule que vous souhaitez acquérir. La prime à la conversion concerne principalement les voitures électriques neuves d'une valeur inférieure à 47 000 €, ainsi que les hybrides rechargeables respectant ce même plafond. Les camionnettes électriques et hybrides sont également éligibles, de même que certains véhicules thermiques Crit'Air 1 et les deux-roues électriques.
Pour maximiser votre prime, il est conseillé de vous orienter vers un véhicule 100% électrique, qui bénéficie des aides les plus avantageuses. Veillez à bien comparer les différents modèles disponibles sur le marché, en prenant en compte l'autonomie, le coût à l'usage et les possibilités de recharge, afin de choisir celui qui correspondra le mieux aux besoins de votre entreprise.
Prenons l'exemple d'une TPE de services informatiques qui souhaite remplacer sa flotte vieillissante par des véhicules électriques. En optant pour des Renault Zoé Life d'une valeur de 32 000 € et en ayant un revenu fiscal inférieur à 14 089 € par part, elle pourra bénéficier d'une prime à la conversion de 2 500 € par véhicule. Un coup de pouce significatif pour réduire le coût d'acquisition et verdir sa flotte.
Choisir le bon véhicule électrique ou hybride
Évaluer précisément les besoins de mobilité de l'entreprise
Avant de vous lancer dans l'acquisition d'un véhicule électrique, il est essentiel de bien évaluer vos besoins réels de mobilité. Quel est le kilométrage annuel parcouru par vos collaborateurs ? Quels types de trajets effectuent-ils au quotidien (urbains, péri-urbains, autoroutiers) ? Ont-ils besoin d'une grande autonomie ou les recharges peuvent-elles être fréquentes ?
En répondant précisément à ces questions, vous pourrez définir le profil d'usage de vos futurs véhicules et ainsi orienter votre choix vers les modèles les plus adaptés. Un utilitaire électrique sera par exemple plus indiqué pour des livraisons locales, tandis qu'une berline hybride rechargeable conviendra mieux à de longs trajets. Cette analyse fine est indispensable pour optimiser votre investissement et le montant de votre prime.
Sélectionner un véhicule adapté parmi un large choix de modèles
Critères de choix | Exemples de véhicules adaptés |
---|---|
Trajets urbains et péri-urbains, Autonomie autour de 300 km | Renault Zoé, Peugeot e-208,Nissan Leaf, BMW i3 |
Trajets mixtes urbains et autoroutiers, Autonomie plus de 300 km | Tesla Model 3, Kia e-Niro,Hyundai Kona Electric, VW ID.3 |
Utilitaires pour livraisons locales Volume de chargement > 3m3 | Renault Kangoo ZE, Nissan e-NV200, Citroën ë-Jumpy, Peugeot e-Expert |
Une fois vos besoins clairement identifiés, place à la sélection du véhicule. La bonne nouvelle, c'est que le marché des véhicules électriques professionnels s'est considérablement étoffé ces dernières années. Vous avez désormais accès à une large gamme de modèles, du petit utilitaire à la berline haut de gamme en passant par les SUV familiaux.
Pour vous aider dans votre choix, n'hésitez pas à consulter des comparatifs indépendants, à solliciter l'avis d'autres entreprises ayant franchi le pas ou à réaliser des essais en concession. Votre concessionnaire saura vous orienter vers les modèles les plus adaptés à votre profil et vous accompagner dans la configuration de votre futur véhicule. Avec un peu de recherche, vous trouverez à coup sûr la perle rare alliant performances, confort et optimisation de la prime.
Opter pour un véhicule électrique neuf d'un prix inférieur à 47 000 € permet de profiter du montant maximal de la prime à la conversion et du bonus écologique. En cumulant ces deux dispositifs, vous pouvez en effet bénéficier d'une aide totale allant jusqu'à 11 000 €, un montant particulièrement incitatif pour passer à l'électrique.
Calculer le montant de l'aide
Déterminer le montant de la prime selon le type de véhicule
Le montant de la prime à la conversion varie selon plusieurs critères, à commencer par le type de véhicule acquis. Pour un véhicule électrique neuf, vous pouvez bénéficier d'une aide de 2 500 € si votre revenu fiscal par part est inférieur à 14 089 €, et de 1 500 € au-delà. Les montants sont similaires pour les hybrides rechargeables neufs.
Des bonus supplémentaires peuvent s'appliquer si vous mettez à la casse un ancien véhicule diesel (avant 2011) ou essence (avant 2006). Le montant de ce bonus varie de 1 500 € à 3 000 € selon la motorisation de votre ancien véhicule et votre profil de "gros rouleur". Au total, la prime à la conversion peut ainsi atteindre 5 000 € pour l'achat d'un véhicule électrique neuf.
Si vous résidez, ou travaillez, dans une zone à faibles émissions (ZFE) et que votre collectivité territoriale vous a alloué une aide pour l'achat ou la location d'un véhicule propre, alors vous pouvez bénéficier d'une surprime dans la limite de 1 000 €.
Prendre en compte les majorations possibles
Outre le type de véhicule, d'autres critères peuvent vous permettre de majorer le montant de votre prime. C'est notamment le cas si vous habitez ou travaillez au sein d'une Zone à Faibles Émissions (ZFE), ces territoires engagés dans une démarche ambitieuse de réduction des émissions polluantes liées au trafic routier.
Dans une ZFE, votre collectivité territoriale peut vous accorder une surprime, dans la limite de 1 000 €, en complément de la prime à la conversion nationale. Cette bonification vise à encourager le renouvellement des flottes professionnelles situées dans ces zones stratégiques. Renseignez-vous auprès de votre mairie ou de votre communauté de communes pour connaître les conditions précises de cette surprime ZFE.
Pour une PME située en ZFE avec un revenu fiscal par part inférieur à 14 089 € qui souhaite acquérir un Nissan e-NV200 électrique à 30 000 € en mettant à la casse son ancien utilitaire diesel, le calcul serait le suivant :
- Prime à la conversion nationale : 2 500 €
- Bonus supplémentaire "gros rouleur" : 3 000 €
- Surprime ZFE : 1 000 €
Soit un total de 6 500 € d'aides cumulées, réduisant significativement le coût d'acquisition de ce véhicule propre.
En cumulant la prime à la conversion et le bonus écologique, votre entreprise peut réduire significativement le coût d'acquisition d'un véhicule électrique ou hybride rechargeable. N'hésitez pas à effectuer des simulations précises en fonction de votre situation fiscale et de vos choix de véhicule pour estimer le montant final de l'aide à laquelle vous pouvez prétendre.
Cumuler avec le bonus écologique
Comprendre les conditions d'obtention du bonus écologique
En complément de la prime à la conversion, votre entreprise peut également bénéficier du bonus écologique pour l'achat d'un véhicule professionnel électrique ou hybride rechargeable. Cette aide complémentaire est accordée sans condition de revenu, ce qui la rend accessible à toutes les entreprises souhaitant électrifier leur flotte.
Pour prétendre au bonus écologique, votre futur véhicule doit respecter certains critères, notamment en termes de taux d'émission de CO2 et de prix d'achat. Les véhicules 100% électriques sont éligibles jusqu'à 47 000 € TTC, tandis que le plafond est fixé à 50 000 € pour les hybrides rechargeables. Le montant de l'aide varie de 1 000 € à 6 000 € selon le type de véhicule et sa capacité de batterie.
Profitez d'aides cumulées pouvant atteindre 11 000 €
En combinant astucieusement la prime à la conversion et le bonus écologique, votre entreprise peut faire considérablement baisser la facture d'acquisition de ses nouveaux véhicules électriques. Pour un véhicule électrique neuf respectant les plafonds de prix, il est ainsi possible d'obtenir jusqu'à 11 000 € d'aides cumulées, soit 5 000 € de prime à la conversion et 6 000 € de bonus écologique.
De quoi réduire significativement le coût total de possession (TCO) de votre flotte et accélérer son verdissement. À titre d'exemple, avec une telle aide, une Renault Zoé Life neuve vous reviendrait à moins de 24 000 €, un tarif très compétitif pour une citadine polyvalente et zéro émission. Alors n'attendez plus pour faire vos calculs et concrétiser votre projet d'électrification !
Les voitures électriques et hybrides rechargeables éligibles à la prime à la conversion doivent avoir une valeur inférieure à 47 000 €.
Avec Evera, Amecasa profite de la flexibilité et de la mobilité sans les contraintes administratives, en bénéficiant de la prime à la conversion pour constituer une flotte de véhicules électriques à moindre coût.
Simplifier la démarche administrative
Réaliser la demande de prime dans les délais impartis
Une fois votre véhicule électrique commandé, il reste une dernière étape administrative à accomplir pour bénéficier de la prime à la conversion : déposer votre demande d'aide. Cette démarche doit obligatoirement être réalisée dans les 6 mois suivant la date de facturation de votre véhicule, un délai à ne pas dépasser sous peine de perdre le bénéfice de la prime.
La procédure se déroule entièrement en ligne, sur le site primealaconversion.gouv.fr. Vous devrez y renseigner les informations relatives à votre entreprise, à votre ancien véhicule mis à la casse et à votre nouveau véhicule électrique. Veillez à bien respecter les pièces justificatives demandées (carte grise, certificat de destruction, justificatif de domicile, RIB) pour valider votre demande.
Fournir les documents justificatifs nécessaires
Pour constituer votre dossier de demande de prime à la conversion, vous devrez fournir plusieurs documents justificatifs. Il vous faudra notamment présenter la carte grise de votre ancien véhicule, ainsi que le certificat de destruction délivré par le centre VHU agréé ayant procédé à sa mise à la casse. La carte grise de votre nouveau véhicule électrique vous sera également demandée.
Votre formulaire devra aussi être accompagné d'un justificatif de domicile (facture d'électricité, quittance de loyer) de moins de 3 mois et d'un RIB au nom de l'entreprise bénéficiaire. Tous ces documents sont à numériser au format PDF ou image pour être joints à votre demande en ligne. Une fois votre dossier complet et validé, le versement de la prime interviendra dans un délai moyen de 3 mois.
Avec Evera, vous bénéficiez d’un abonnement automobile clé en main, bénéficiez d'un large choix de modèles, d'une formule tout inclus (assurance, entretien, assistance) et d'une souplesse maximale pour adapter votre mobilité à vos besoins. Fini les démarches complexes, place à la sérénité !
En résumé, pour profiter au maximum de la prime à la conversion, il est essentiel d'évaluer précisément vos besoins de mobilité, de choisir un véhicule éligible et adapté à votre profil, tout en veillant à respecter les critères de ressources.

Les composants clés d'une batterie de voiture électrique
Les batteries de voitures électriques sont au cœur de la révolution de la mobilité durable. Mais quels sont les éléments qui composent ces batteries et comment fonctionnent-ils ensemble pour stocker et fournir l'énergie nécessaire à la propulsion des véhicules électriques ?
Découvrons les composants clés d'une batterie de voiture électrique et leur rôle dans les performances et la durabilité de ces systèmes de stockage d'énergie.
L'anode : Cœur de la borne négative

Définition de l’anode
L'anode est une électrode à travers laquelle le courant électrique entre dans un dispositif ou un circuit. En termes simples, elle est souvent considérée comme le pôle "positif" dans de nombreux dispositifs, bien que cela puisse varier selon le contexte (dans les dispositifs électrolytiques, par exemple, l'anode est positive, tandis que dans les piles, elle est négative).
- Dans une pile ou une batterie : l'anode est l'électrode où a lieu l'oxydation, ce qui signifie qu'elle libère des électrons vers le circuit externe.
- Dans l'électrolyse : l'anode est le pôle positif, où les ions négatifs migrent pour libérer leurs électrons.
L'anode joue un rôle crucial dans de nombreux processus électrochimiques et dans le fonctionnement des appareils électroniques, comme les diodes, les piles et les batteries.
Le saviez-vous : Quel que soit le type de batterie de voiture électrique, il est recommandé de la laisser à un niveau de chargement entre 20 % et 80 %.
Composition et fonctionnement de l'anode
L'anode d'une batterie de voiture électrique, généralement constituée de graphite ou de silicium, joue un rôle dans le stockage et la libération des ions lithium. Lors de la charge, les ions lithium viennent s'intercaler entre les couches de graphite, permettant ainsi à l'anode de stocker l'énergie électrique sous forme chimique.
Au cours de la décharge, le processus s'inverse : les ions lithium quittent l'anode pour rejoindre la cathode, libérant ainsi les électrons qui génèrent le courant électrique nécessaire à la propulsion du véhicule. La capacité de l'anode à accueillir un grand nombre d'ions lithium détermine directement la densité énergétique de la batterie.
Les avantages du graphite et du silicium
Matériau d'anode | Avantages | Inconvénients |
---|---|---|
Graphite | - Stabilité chimique; - Conductivité électrique; - Bonne réversibilité; | - Capacité de stockage limitée (372 mAh/g) |
Silicium | - Haute capacité théorique (4200 mAh/g; - Potentiel pour augmenter l'autonomie | - Expansion volumique lors de la charge; - Durabilité à long terme à améliorer |
Le graphite est le matériau le plus couramment utilisé pour les anodes de batteries lithium-ion en raison de sa stabilité, de sa conductivité électrique et de sa capacité à accueillir les ions lithium de manière réversible. Sa structure en couches permet une insertion et une extraction des ions lors des cycles de charge et décharge.
Le silicium, bien que moins répandu, suscite un intérêt croissant pour les anodes de batteries de voitures électriques. En effet, il présente une capacité de stockage des ions lithium nettement supérieure à celle du graphite, pouvant théoriquement atteindre 4200 mAh/g contre 372 mAh/g pour le graphite. Cependant, le silicium est sujet à une forte expansion volumique lors de la charge, ce qui peut affecter la durabilité de la batterie à long terme.
Prenons l'exemple d'une entreprise de livraison qui souhaite convertir sa flotte de véhicules utilitaires en électrique. Le choix de batteries équipées d'anodes en silicium pourrait offrir une plus grande autonomie, réduisant ainsi le besoin de recharges fréquentes et permettant aux livreurs d'effectuer plus de tournées sans interruption. Cependant, il sera important de s'assurer de la fiabilité et de la durée de vie de ces batteries pour garantir la rentabilité de l'investissement sur le long terme.
La cathode et son rôle dans le stockage

Matériaux utilisés pour la cathode
La cathode d'une batterie de voiture électrique est généralement composée d'oxydes métalliques, tels que l'oxyde de lithium-cobalt (LCO), l'oxyde de lithium-manganèse (LMO) ou l'oxyde de lithium-nickel-manganèse-cobalt (NMC). Ces matériaux ont la capacité de stocker et de libérer les ions lithium de manière réversible, tout en maintenant une structure stable.
Le choix du matériau de cathode dépend de plusieurs critères, notamment la densité énergétique, la stabilité thermique, la sécurité et le coût. Les cathodes NMC sont actuellement les plus répandues dans l'industrie automobile en raison de leur bon compromis entre performance, durabilité et coût.
Principe de stockage des ions lithium
Lors de la charge d'une batterie, les ions lithium sont extraits de la cathode et migrent vers l'anode à travers l'électrolyte. Ce processus crée une différence de potentiel électrique entre les deux électrodes, permettant ainsi le stockage de l'énergie.
Pendant la décharge, les ions lithium suivent le chemin inverse, quittant l'anode pour rejoindre la cathode. Ce mouvement d'ions s'accompagne d'un transfert d'électrons dans le circuit externe, générant ainsi le courant électrique nécessaire à l'alimentation du moteur du véhicule. La capacité de la cathode à accueillir et à libérer efficacement les ions lithium est pour garantir une densité énergétique élevée et une bonne performance de la batterie.
Pour une entreprise de services proposant des déplacements professionnels en voiture électrique, le choix de batteries équipées de cathodes NMC performantes et durables est important. Cela permettra d'offrir aux clients une autonomie suffisante pour leurs trajets quotidiens, tout en assurant la fiabilité et la longévité des véhicules de la flotte. Un bon compromis entre densité énergétique, sécurité et coût des cathodes contribuera à la rentabilité et à la qualité du service proposé.
L'électrolyte : Facilitateur de transfert d'ions
Composition de l'électrolyte
L'électrolyte d'une batterie de voiture électrique est généralement composé de sels de lithium dissous dans un solvant organique. Les sels de lithium les plus couramment utilisés sont l'hexafluorophosphate de lithium (LiPF6) et le perchlorate de lithium (LiClO4), en raison de leur stabilité électrochimique et de leur conductivité ionique élevée.
Le solvant organique, quant à lui, est souvent un mélange de carbonates cycliques et linéaires, tels que le carbonate d'éthylène (EC), le carbonate de diméthyle (DMC) et le carbonate de diéthyle (DEC). Ce mélange permet d'obtenir une viscosité optimale et une bonne stabilité thermique, tout en assurant une solubilité adéquate des sels de lithium.
L'électrolyte, composé de sels de lithium dissous dans un solvant organique, assure la conductivité ionique entre les électrodes.
Rôle dans la conductivité ionique
L'électrolyte joue un rôle dans le fonctionnement d'une batterie de voiture électrique en assurant le transfert des ions lithium entre l'anode et la cathode. Sa conductivité ionique élevée permet aux ions de se déplacer rapidement et efficacement à travers la batterie, réduisant ainsi la résistance interne et améliorant les performances globales.
De plus, l'électrolyte agit comme un séparateur électronique, empêchant le contact direct entre l'anode et la cathode tout en permettant le passage des ions lithium. Cette propriété est pour éviter les courts-circuits et assurer la sécurité de la batterie. La stabilité chimique et électrochimique de l'électrolyte est également primordiale pour garantir une longue durée de vie et une fiabilité optimale de la batterie.
Imaginons une startup spécialisée dans la livraison de repas à domicile qui décide d'adopter des scooters électriques pour ses livreurs. Le choix d'un électrolyte performant et stable sera déterminant pour assurer des temps de recharge rapides entre chaque livraison et maintenir une autonomie suffisante tout au long de la journée. Un électrolyte de qualité contribuera également à la durabilité des batteries, réduisant ainsi les coûts de maintenance et de remplacement pour la startup.
Le processus de charge et décharge
Mécanisme de charge
Lors de la charge d'une batterie de voiture électrique, une source d'énergie externe, telle qu'une borne de recharge ou une prise domestique, fournit un courant électrique à la batterie. Sous l'effet de ce courant, les ions lithium présents dans la cathode sont extraits et migrent à travers l'électrolyte pour s'insérer dans la structure de l'anode.
Simultanément, les électrons sont libérés de la cathode et circulent à travers le circuit externe pour rejoindre l'anode. Ce processus de transfert d'ions et d'électrons se poursuit jusqu'à ce que la batterie atteigne sa capacité de charge maximale ou que la source d'énergie externe soit déconnectée.
Mécanisme de décharge
Pendant la décharge, lorsque la batterie alimente le moteur électrique du véhicule, le processus inverse se produit. Les ions lithium stockés dans l'anode sont extraits et migrent à travers l'électrolyte pour rejoindre la cathode. Simultanément, les électrons quittent l'anode et circulent à travers le circuit externe, alimentant ainsi le moteur électrique.
Ce flux d'électrons génère le courant électrique nécessaire à la propulsion du véhicule. La décharge se poursuit jusqu'à ce que la batterie atteigne un niveau de charge minimal, souvent fixé à environ 20% pour préserver sa durée de vie. Les systèmes de gestion de batterie (BMS) intégrés aux véhicules électriques surveillent et contrôlent en permanence ces processus de charge et de décharge pour optimiser les performances et la sécurité de la batterie.
Pour une PME proposant un service de location de voitures électriques, la compréhension des mécanismes de charge et de décharge est pour optimiser la gestion de sa flotte. En formant ses équipes aux bonnes pratiques de recharge, comme le maintien d'un niveau de charge optimal et l'utilisation de bornes adaptées, l'entreprise pourra maximiser la durée de vie des batteries et réduire les temps d'immobilisation des véhicules. Une gestion des cycles de charge et de décharge contribuera à la rentabilité et à la qualité du service proposé aux clients.
Le saviez-vous ?
Une fois par an, il est possible de la charger à 100 % pour permettre au Battery Management System (BSM) d’équilibrer les cellules et mémoriser le fonctionnement de la batterie.
Systèmes de contrôle et de refroidissement
Importance du contrôle de température
Les batteries de voitures électriques sont sensibles aux variations de température, qui peuvent affecter leurs performances, leur durée de vie et leur sécurité. Une température trop élevée peut accélérer la dégradation des composants de la batterie, tandis qu'une température trop basse peut réduire sa capacité et augmenter sa résistance interne.
Pour maintenir la batterie dans sa plage de température optimale, généralement comprise entre 20°C et 40°C, des systèmes de refroidissement sophistiqués sont intégrés. Ces systèmes peuvent utiliser de l'air, un liquide de refroidissement ou une combinaison des deux pour réguler efficacement la température de la batterie, en dissipant la chaleur générée lors des phases de charge et de décharge.
Composants de protection intégrés
Outre le contrôle de la température, les batteries de voitures électriques sont équipées de nombreux composants de protection pour assurer leur sécurité et leur fiabilité. Parmi ces composants, on trouve notamment :
- Les fusibles et les coupe-circuits, qui protègent la batterie des surcharges et des courts-circuits en interrompant le flux de courant en cas de défaut.
- Les systèmes de gestion de batterie (BMS), qui surveillent en permanence l'état de charge, la tension et la température de chaque cellule, et équilibrent leur fonctionnement pour optimiser les performances et la durée de vie de la batterie.
- Les matériaux isolants et ignifuges, qui entourent les cellules et les modules de la batterie pour prévenir les risques d'incendie et de propagation en cas de défaillance.
Ces systèmes de protection, associés à une conception rigoureuse et à des tests approfondis, contribuent à faire des batteries de voitures électriques des composants sûrs et fiables, capables de répondre aux exigences de performance et de durabilité des professionnels de la mobilité.
Prenons l'exemple d’un artisan, un artisan peintre ayant une pme de 10 salariés en choisissant des véhicules équipés de batteries dotées de systèmes de refroidissement et de protection avancés, l'entreprise peut garantir à ses employés une expérience de conduite sûre, fiable et confortable. Les systèmes de gestion de batterie permettront également à l’artisan d'optimiser l'utilisation de sa flotte en fonction des besoins réels, tout en minimisant les risques de panne et les coûts de maintenance.
Pour assurer la sécurité et la fiabilité des batteries de voitures électriques, plusieurs composants de protection sont intégrés :
- Fusibles et coupe-circuits : Ils protègent la batterie des surcharges et des courts-circuits en interrompant le flux de courant en cas de défaut.
- Systèmes de gestion de batterie (BMS) : Ils surveillent en permanence l'état de charge, la tension et la température de chaque cellule, et équilibrent leur fonctionnement pour optimiser les performances et la durée de vie de la batterie.
- Matériaux isolants et ignifuges : Ils entourent les cellules et les modules de la batterie pour prévenir les risques d'incendie et de propagation en cas de défaillance.
Une conception rigoureuse, des tests approfondis et une maintenance régulière sont également pour garantir la sécurité et la fiabilité des batteries de voitures électriques à long terme.

L'autopartage électrique : une solution innovante pour la mobilité d'entreprise
L'autopartage électrique s'impose comme une solution durable et économique pour optimiser la mobilité d'entreprise. En mutualisant une flotte de véhicules zéro émission, ce système offre flexibilité et maîtrise des coûts aux professionnels. Découvrez comment l'autopartage électrique transforme les déplacements en entreprise, au bénéfice de l'environnement et de la performance.
Comprendre le concept d'autopartage
Principes et avantages de l'autopartage
Avantages de l'autopartage | Description |
---|---|
Réduction des coûts | Économies sur l'achat, l'assurance et l'entretien des véhicules |
Flexibilité | Réservation à la demande, selon les besoins ponctuels ou réguliers |
Responsabilité environnementale | Diminution des émissions de CO2 et de l'empreinte carbone |
Utilisation optimisée | Mutualisation des véhicules entre plusieurs utilisateurs |
L'autopartage est un système qui permet de mutualiser une flotte de véhicules entre plusieurs utilisateurs. Concrètement, les usagers peuvent réserver un véhicule pour une durée déterminée, allant de quelques heures à plusieurs jours, selon leurs besoins. Ce modèle offre une flexibilité et libère les utilisateurs des contraintes liées à la possession d'un véhicule personnel, telles que l'assurance, l'entretien ou encore le stationnement.
En optant pour l'autopartage, les entreprises peuvent réduire significativement leurs coûts de mobilité. En effet, elles n'ont plus à gérer une flotte de véhicules en propre, ce qui représente des économies en termes d'achat, d'assurance et d'entretien. Prenons l'exemple d'une PME dans le secteur technologique qui utilise l'abonnement flexible d'Evera pour s'adapter à ses besoins de croissance, sans avoir à investir dans l'acquisition de véhicules supplémentaires.
De plus, l'autopartage encourage une utilisation raisonnée des véhicules, contribuant ainsi à réduire les émissions de CO2 et l'empreinte environnementale de l'entreprise.
Les différents types d'autopartage

Il existe différents modèles d'autopartage adaptés aux besoins des entreprises. L'autopartage en boucle est indiqué pour les déplacements professionnels locaux, avec un retour du véhicule à son point de départ. Ce système est simple à gérer et garantit la disponibilité des véhicules pour les collaborateurs.
Pour plus de flexibilité, l'autopartage en trace directe permet de restituer le véhicule dans une autre station que celle de départ. Cette formule est idéale pour les trajets professionnels ponctuels ou les déplacements entre différents sites de l'entreprise. Enfin, l'autopartage en free-floating, sans station attitrée, offre une liberté pour des déplacements urbains spontanés.
Au-delà des offres proposées par des opérateurs spécialisés, l'autopartage peut également se développer en interne, entre collaborateurs d'une même entreprise. Cette approche favorise l'optimisation de l'utilisation des véhicules et renforce la cohésion au sein des équipes.
Des plateformes de mise en relation permettent aussi aux entreprises de louer ponctuellement les véhicules de particuliers, offrant ainsi une solution flexible pour répondre aux pics d'activité ou à des besoins. Cette démarche s'inscrit dans une logique d'économie collaborative et de consommation responsable.
Les avantages économiques pour les indépendants et TPE
Besoins ponctuels | Solution d'autopartage |
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Pic d'activité | Réservation de véhicules supplémentaires |
Mission spécifique | Choix du type de véhicule adapté |
Véhicule immobilisé | Remplacement temporaire par un véhicule partagé |
Réduire ses coûts de mobilité avec l'autopartage
Pour les petites structures et les indépendants, l'autopartage représente une opportunité de réduire les coûts liés à la mobilité. En évitant l'achat et l'entretien d'un véhicule dédié, ces professionnels peuvent réaliser des économies et allouer leurs ressources à leur cœur d'activité.
De plus, l'autopartage permet une gestion fluide et rationalisée des déplacements professionnels. Avec des formules d'abonnement flexibles et sans engagement, les TPE peuvent adapter leur budget mobilité en temps réel, en fonction de leurs besoins. Cette maîtrise des coûts est un atout pour la pérennité et le développement de leur activité.
Prenons l'exemple de Jean-Michel, DAF indépendant, qui a choisi de simplifier sa gestion de mobilité grâce à un véhicule électrique premium livré rapidement par Evera. En optant pour une formule d'abonnement adaptée à ses déplacements ponctuels, il a pu réduire ses frais de mobilité tout en bénéficiant d'un véhicule haut de gamme.
Adapter sa flotte aux besoins ponctuels
L'un des avantages de l'autopartage pour les petites structures est la possibilité d'adapter leur flotte de véhicules à leurs besoins ponctuels. Qu'il s'agisse de répondre à un pic d'activité, de réaliser une mission ou de remplacer temporairement un véhicule immobilisé, l'autopartage offre une solution sur-mesure.
Cette flexibilité est précieuse pour les indépendants et les TPE, qui peuvent ainsi éviter les coûts fixes liés à la possession d'un véhicule sous-utilisé. En optant pour l'autopartage, ils ont accès à une flotte mutualisée, disponible à la demande, pour un coût maîtrisé. Cette approche agile leur permet de se concentrer sur leur cœur de métier, sans contrainte de gestion.
Un impact environnemental positif
Réduire son empreinte carbone avec l'électromobilité partagée

Le secteur des transports est l'un des émetteurs de gaz à effet de serre. En adoptant l'autopartage avec des véhicules électriques, les entreprises peuvent réduire significativement leur empreinte carbone. En effet, les véhicules électriques n'émettent pas de CO2 lors de leur utilisation et sont adaptés aux déplacements urbains.
De plus, l'autopartage encourage une utilisation raisonnée des véhicules, en favorisant le covoiturage et la multimodalité. En combinant autopartage et transports en commun ou modes doux, les collaborateurs optimisent leurs déplacements et contribuent à réduire la pollution atmosphérique en ville. Cette démarche éco-responsable est un atout pour l'image de l'entreprise.
Libérer de l'espace urbain en réduisant le nombre de véhicules
Au-delà de son impact sur les émissions de CO2, l'autopartage a aussi un effet positif sur la congestion urbaine et l'occupation de l'espace public. En mutualisant les véhicules, ce système permet de réduire le nombre de voitures en circulation et en stationnement. Ainsi, un véhicule en autopartage peut remplacer jusqu'à 8 voitures particulières et libérer 80% de l'espace public.
Cette optimisation de l'usage des véhicules est bénéfique pour les entreprises implantées en milieu urbain. En réduisant leur flotte de véhicules de fonction au profit de l'autopartage, elles peuvent diminuer leurs besoins en stationnement et réaliser des économies en termes de coûts immobiliers. Elles contribuent aussi à améliorer la qualité de vie en ville, en libérant de l'espace pour d'autres usages.
Anticipez les évolutions futures de la mobilité professionnelle
Intégrer l'autopartage dans votre plan de mobilité

Pour les entreprises soucieuses de leur impact environnemental et de leur efficacité économique, l'autopartage s'impose comme une solution d'avenir. En intégrant cette approche dans leur plan de mobilité, elles anticipent les évolutions du secteur et se positionnent comme des acteurs responsables et innovants.
Concrètement, cela suppose de repenser la politique de déplacements professionnels, en favorisant les modes de transport durables et partagés. L'autopartage peut ainsi être combiné avec d'autres solutions, comme le covoiturage, les transports en commun ou encore le vélo, pour offrir aux collaborateurs une palette de services adaptés à leurs besoins. Cette démarche volontariste est un levier de performance et d'attractivité pour l'entreprise.
Opter pour des solutions flexibles et innovantes
Critères de choix | Solutions Evera |
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Flexibilité | Abonnements ajustables sans engagement |
Services inclus | Assurance, entretien, assistance 24/7 |
Accompagnement | Conseil personnalisé pour définir la solution adaptée |
Innovation | Véhicules électriques connectés et application de gestion |
Face aux enjeux de la transition écologique et de la transformation des modes de travail, les entreprises doivent faire preuve d'agilité dans leur approche de la mobilité. L'autopartage s'inscrit pleinement dans cette dynamique, en proposant des solutions flexibles et évolutives.
En choisissant un opérateur comme Evera, les entreprises bénéficient d'un accompagnement sur-mesure pour définir la solution la plus adaptée à leurs besoins. Avec des formules d'abonnement souples, sans engagement et incluant tous les services (assurance, entretien, assistance), elles peuvent composer leur mix de mobilité en toute liberté. Cette approche leur permet d'être réactives face aux évolutions du marché et de s'adapter en permanence aux attentes de leurs collaborateurs.
En conclusion, l'autopartage électrique offre aux entreprises une solution durable et économique pour optimiser leur mobilité. Il permet de réduire les coûts, de gagner en flexibilité et d'agir en faveur de l'environnement, tout en libérant l'espace urbain. En intégrant cette approche dans leur stratégie, les entreprises anticipent les évolutions de la mobilité et renforcent leur attractivité.
Avec des solutions sur-mesure comme celles proposées par Evera, l'autopartage électrique s'adapte aux besoins de chaque structure, des indépendants aux grands groupes. Une révolution est en marche dans la mobilité d'entreprise. Serez-vous prêts à relever le défi de l'autopartage pour transformer durablement vos déplacements professionnels ?

Comment optimiser la gestion de vos frais kilométriques professionnels
La gestion des frais kilométriques est un enjeu important pour les professionnels. En comprenant les barèmes kilométriques, en choisissant la méthode de déduction la plus avantageuse et en digitalisant le processus, vous pouvez optimiser la gestion de ces frais. Découvrez nos conseils pour une gestion efficace et rentable de vos déplacements professionnels.
Comprendre les barèmes kilométriques 2024
Évaluer ses frais réels de déplacement
Les barèmes kilométriques prennent en compte divers frais liés à l'utilisation d'un véhicule professionnel, tels que la dépréciation, les réparations, l'entretien, les pneumatiques, le carburant et les assurances. Il est possible d'ajouter aux frais de déplacement calculés les intérêts d'emprunt (en cas d'achat de véhicule à crédit), les frais de péages et de stationnement.
Les frais de déplacement concernent principalement le trajet domicile-travail et les déplacements pendant les heures de travail. L'utilisation du barème kilométrique ne dispense pas d'apporter les justifications nécessaires à l'administration fiscale. Il est donc important de conserver soigneusement toutes les pièces justificatives afin de pouvoir les fournir en cas de contrôle.
Prenons l'exemple d'un consultant indépendant qui utilise sa voiture personnelle pour ses déplacements professionnels. En plus du carburant, il doit prendre en compte l'usure des pneus, les révisions, l'assurance et même la dépréciation du véhicule due au kilométrage parcouru. En appliquant le barème kilométrique, il peut évaluer précisément le coût réel de ses déplacements et le déduire de ses revenus imposables.
Majoration de 20% pour les véhicules électriques
Depuis 2021, le montant des frais de déplacement calculés à partir des différents barèmes est majoré de 20% pour les véhicules électriques (automobiles, motocyclettes et cyclomoteurs). Cette mesure incitative vise à encourager l'adoption de modes de transport plus écologiques par les professionnels.
Opter pour un véhicule électrique dans le cadre de vos déplacements professionnels permet non seulement de réduire votre empreinte carbone, mais également de bénéficier d'un avantage fiscal non négligeable. C'est une solution pertinente pour les entreprises soucieuses de concilier performance économique et responsabilité environnementale.
Choisir entre forfait et frais réels
Avantages et inconvénients du forfait kilométrique
Le forfait kilométrique offre une simplicité de gestion appréciable pour les professionnels. Il suffit de multiplier le nombre de kilomètres parcourus par le barème correspondant au véhicule utilisé pour obtenir le montant des frais déductibles. Cependant, cette méthode ne prend pas en compte les dépenses réelles engagées.
Si vous optez pour le forfait kilométrique, vous devez l'appliquer pour l'ensemble de vos véhicules. Il n'est pas possible de panacher entre frais réels et barème forfaitaire. Le choix du forfait peut donc s'avérer moins avantageux si vos frais réels sont significativement plus élevés que les montants forfaitaires.
Imaginons une TPE de services qui dispose de trois véhicules pour ses déplacements clients. En choisissant le forfait kilométrique, elle simplifie la gestion administrative mais ne peut pas déduire les frais réels si ceux-ci sont plus élevés, par exemple en cas de réparations imprévues ou de consommation de carburant supérieure à la moyenne.
Cas où les frais réels sont plus avantageux
Lorsque vous engagez des frais importants pour l'utilisation de votre véhicule professionnel, il peut être judicieux d'opter pour la déduction des frais réels. C'est notamment le cas si vous parcourez un nombre élevé de kilomètres chaque année ou si votre véhicule consomme beaucoup de carburant.
En choisissant les frais réels, vous pouvez inclure l'ensemble des dépenses liées à l'usage professionnel de votre véhicule : carburant, entretien, réparations, assurances, intérêts d'emprunt, péages, stationnement, etc. Cette option requiert une traçabilité rigoureuse des frais engagés, mais permet potentiellement une déduction fiscale plus avantageuse.
Mettre en place une politique de remboursement claire
Définir les règles et les plafonds de remboursement
Pour une gestion efficace des frais kilométriques, il est essentiel d'établir une politique interne précise. Celle-ci doit détailler les types de dépenses admissibles, les limites de remboursement applicables, ainsi que les procédures de soumission et de validation des notes de frais.
En fixant des règles claires et connues de tous, vous favorisez la responsabilisation de vos collaborateurs et limitez les abus potentiels. Les plafonds de remboursement permettent de maîtriser votre budget tout en assurant un traitement équitable des demandes. N'hésitez pas à revoir régulièrement votre politique pour l'adapter à l'évolution de votre activité et de la législation.
Prenons l'exemple d'une startup qui souhaite encadrer les frais kilométriques de ses commerciaux itinérants. En instaurant une politique précise avec des plafonds de remboursement au kilomètre, des catégories de véhicules éligibles et un processus de validation des notes de frais, elle s'assure d'un traitement juste des demandes tout en maîtrisant son budget déplacements.
Pour mettre en place une politique de remboursement optimale :
- Définissez clairement les types de déplacements et véhicules éligibles
- Fixez des plafonds de remboursement au kilomètre adaptés
- Établissez un processus simple de soumission et validation des notes de frais
- Communiquez la politique à tous les collaborateurs concernés
- Veillez à sa bonne application et ajustez-la si nécessaire
Dématérialiser l'envoi des notes de frais aux comptables
Avantages de la dématérialisation | Bénéfices pour l'entreprise |
---|---|
Gain de temps | Réduction des délais de traitement |
Fiabilité des données | Informations à jour pour un pilotage optimisé |
Suppression des saisies manuelles | Diminution du risque d'erreurs |
Automatisation de la comptabilité | Écritures générées automatiquement |
Accès centralisé et sécurisé | Traçabilité et conformité renforcées |
La dématérialisation des notes de frais représente un gain de temps appréciable pour toutes les parties prenantes. En transmettant les informations directement depuis votre logiciel de gestion des frais, vous éliminez les délais postaux et réduisez le risque d'erreurs de saisie.
Cette digitalisation facilite également l'intégration des données de frais dans votre système comptable. Les écritures peuvent être générées automatiquement, limitant ainsi les interventions manuelles chronophages. Vous disposez d'une information fiable et à jour pour piloter efficacement votre activité.
Une PME peut ainsi abandonner les notes de frais papier au profit d'une saisie directement par les collaborateurs dans l'outil dédié. Une fois validées, ces notes sont transmises automatiquement en comptabilité, et les données s'intègrent dans le logiciel comptable. Tout est centralisé, automatisé et sécurisé.
Digitaliser la gestion des notes de frais
Utiliser un logiciel dédié pour simplifier le processus
La gestion manuelle des notes de frais peut vite devenir chronophage et source d'erreurs. En optant pour un logiciel spécialisé, vous simplifiez considérablement le processus pour vos collaborateurs comme pour les équipes comptables et financières.
Les collaborateurs peuvent ainsi saisir leurs dépenses, télécharger les justificatifs et soumettre leurs notes de frais en quelques clics, depuis leur ordinateur ou leur smartphone. Les workflows de validation paramétrés dans l'outil garantissent un traitement fluide des demandes, tandis que les fonctionnalités de reporting vous donnent une visibilité en temps réel sur les frais engagés.
Imaginons une entreprise de services qui gère les notes de frais d'une dizaine de collaborateurs nomades. Grâce à un logiciel dédié, accessible depuis une app mobile, chacun peut saisir ses dépenses au fil de l'eau en y joignant simplement une photo du justificatif. L'outil calcule automatiquement les frais kilométriques selon le barème et la puissance fiscale du véhicule renseigné. Le manager valide les notes en un clic, et le comptable dispose des écritures et pièces justificatives sans aucune ressaisie.
Pour éviter la perte ou la détérioration des factures papier comme les factures d'essence ou de péage, numérisez-les et stockez-les sous forme de fichiers électroniques.
Optimiser la fiscalité des déplacements professionnels
Opter pour un service tout compris avec assurance et entretien
Pour optimiser la gestion de vos frais kilométriques, il peut être judicieux d'opter pour un abonnement automobile flexible incluant un large choix de véhicules électriques. En choisissant une formule tout compris avec assurance et entretien, vous vous libérez des contraintes de gestion pour vous concentrer sur votre cœur de métier.
Un service clé en main vous permet de maîtriser votre budget en lissant les dépenses dans le temps. Les frais d'entretien et de réparation étant inclus, vous évitez les mauvaises surprises financières en cas de panne ou d'accident. C'est une solution particulièrement adaptée aux professionnels qui souhaitent une visibilité sur leurs coûts de mobilité.
Prenons l'exemple d'un indépendant qui parcourt 30 000 km par an pour son activité. Avec un abonnement automobile tout inclus pour un véhicule électrique, il maîtrise parfaitement son budget mobilité. Finis les imprévus en cas de réparation ! Il profite d'un véhicule récent et bien entretenu, sans se soucier de l'assurance ou des révisions. Son abonnement mensuel intègre tous ces frais, pour une parfaite visibilité.
Choisir un abonnement modulable et résiliable sans surprises
L'évolution constante de votre activité peut nécessiter une adaptation régulière de votre flotte de véhicules. En optant pour un abonnement modulable, vous pouvez ajuster le nombre et le type de véhicules en fonction de vos besoins réels.
Cette flexibilité vous permet d'éviter les coûts liés à une flotte surdimensionnée ou inadaptée. En choisissant un contrat sans engagement et résiliable à tout moment, vous gardez une liberté de décision essentielle pour votre entreprise. La transparence des conditions tarifaires est également un critère clé pour une relation de confiance avec votre fournisseur.
Une startup en pleine croissance peut ainsi commencer avec deux véhicules électriques en abonnement pour ses commerciaux. Si son activité décolle, elle pourra rapidement étoffer sa flotte avec des modèles adaptés, et ce sans engagement de durée. Cette souplesse est un vrai plus pour les entreprises en développement.
Par exemple, Amecasa profite avec Evera de la flexibilité et de la mobilité sans les contraintes administratives. Praiz.io bénéficie d'un service client réactif adapté à ses besoins spécifiques de mobilité. Melo.io trouve chez Evera des offres très compétitives et un service professionnel cordial. Moofize peut se concentrer sur son cœur de métier grâce à l'accompagnement et la simplicité de l'offre Evera.
Le saviez-vous ?
90% des professionnels jugent qu'un abonnement automobile flexible facilite grandement la gestion de leurs déplacements ?
En conclusion, l'optimisation de la gestion des frais kilométriques passe par une bonne compréhension des barèmes, un choix éclairé entre forfait et frais réels, ainsi qu'une digitalisation des processus. Mettre en place une politique de remboursement claire et opter pour un abonnement automobile flexible peuvent également contribuer à une gestion simplifiée et rentable.
En choisissant des outils numériques adaptés, vous pouvez automatiser le suivi des déplacements, faciliter la transmission des notes de frais et intégrer les données directement en comptabilité. Cette approche répond aux enjeux de simplification administrative des professionnels soucieux d'une mobilité efficace et responsable.
Et si vous optiez dès maintenant pour une solution d'abonnement automobile tout compris pour vos véhicules professionnels ? C'est le moment de franchir le pas vers une gestion optimisée de vos frais kilométriques !

Les batteries de voitures électriques : comprendre les différentes technologies
Les batteries de voitures électriques sont au cœur de la transition vers une mobilité plus durable. Avec l'évolution rapide des technologies, il est essentiel de bien comprendre les différentes options disponibles pour faire le meilleur choix en fonction de ses besoins professionnels. Quelles sont les caractéristiques clés des batteries lithium-ion, LFP, solides ou sodium-ion ? Découvrons ensemble les atouts et les limites de chaque technologie.
L'évolution des batteries depuis l'invention du plomb
Des batteries au plomb aux alternatives modernes
Il y a 160 ans, le physicien français Gaston Planté inventait la première batterie rechargeable au plomb. Cette invention a ouvert la voie à l'électrification des transports, permettant notamment au véhicule électrique « La Jamais contente » de dépasser les 100 km/h dès 1899, avant même les véhicules thermiques. Cependant, malgré leur coût abordable et leur facilité de production et de recyclage, les batteries au plomb ont une capacité limitée par rapport à leur poids. Elles ne sont donc plus utilisées pour la traction des véhicules électriques modernes.
D'autres technologies ont ensuite émergé, comme les batteries nickel-cadmium (NiCd) offrant une meilleure densité de stockage et une durée de vie supérieure. Toutefois, elles souffraient de l'effet mémoire qui réduisait leur capacité si elles n'étaient pas complètement déchargées avant la recharge. De plus, la toxicité du cadmium a conduit à leur interdiction. Les batteries nickel-métal-hydrure (NiMH), sans métaux lourds, ont dominé le marché des véhicules hybrides jusqu'à l'avènement du lithium-ion, grâce notamment à leur coût plus accessible.
La quête de la batterie idéale alliant performance et durabilité
Aujourd'hui, la recherche se poursuit pour développer la batterie idéale alliant performance, autonomie et faible impact environnemental. Le lithium-ion s'est imposé comme la technologie de référence grâce à sa densité d'énergie élevée, sa longue durée de vie et l'absence d'effet mémoire. Des constructeurs comme Renault l'utilisent en l'intégrant dans une économie circulaire. Cependant, des innovations comme les batteries tout-solide ou les batteries sodium-ion apporteront de nouvelles options dans le futur.
Les batteries solides, en remplaçant l'électrolyte liquide par un matériau solide, promettent d'améliorer encore la densité énergétique, la stabilité et la gestion thermique. Mais elles n'en sont encore qu'au stade de prototype. Le sodium, bien plus abondant et moins cher que le lithium, pourrait quant à lui réduire les coûts et l'impact environnemental, malgré une densité moindre. Les premières voitures équipées de batteries sodium-ion commencent d'ailleurs à arriver sur le marché.
Pour les professionnels soucieux d'adopter une mobilité électrique flexible et responsable, il est essentiel de bien comprendre les caractéristiques de chaque technologie afin de choisir celle qui correspond le mieux à leurs besoins spécifiques. Opter pour un fournisseur proposant un accompagnement personnalisé et une large gamme de solutions permettra d'optimiser ses déplacements professionnels tout en réduisant son empreinte carbone.
Saviez-vous que près de la moitié du coût total d'un véhicule électrique pour le constructeur est lié à la batterie ?
Les avantages et inconvénients des batteries lithium-ion
Technologie | Densité énergétique | Coût | Avantages | Inconvénients |
---|---|---|---|---|
NMC/NCA | +++ | +++ | Puissance, autonomie | Prix, enjeux éthiques |
LFP | ++ | ++ | Durée de vie, sécurité, éthique | Densité, poids |
LMFP/LFMP | ++ | ++ | Densité améliorée, coût modéré | Moins mature |
Privilégier les batteries NMC pour puissance et autonomie
Les batteries lithium-ion offrent une excellente densité énergétique et une grande précision de charge, ce qui les rend idéales pour les véhicules électriques, en particulier les modèles haut de gamme ou sportifs. Les cellules de type NMC (nickel-manganèse-cobalt) ou NCA (nickel-cobalt-aluminium) sont performantes grâce à l'utilisation de cobalt.
Cependant, ce métal pose des questions éthiques et économiques. En effet, le cobalt est environ 2 fois plus cher que le nickel, 15 fois plus que l'aluminium et jusqu'à 1000 fois plus que le manganèse. De plus, son extraction, souvent réalisée dans des conditions douteuses en République Démocratique du Congo, soulève des problèmes de respect des droits humains. C'est pourquoi de nombreux constructeurs cherchent à réduire la proportion de cobalt dans leurs batteries, voire à l'éliminer complètement.
Les débats éthiques et économiques autour du cobalt
Opter pour une batterie NMC ou NCA reste un choix pertinent pour les professionnels ayant besoin d'un véhicule électrique puissant et doté d'une grande autonomie. Néanmoins, il est important d'être conscient des enjeux liés au cobalt et de s'orienter vers des fournisseurs engagés dans un approvisionnement responsable et traçable de ce métal.
Des alternatives comme les batteries LFP (lithium-fer-phosphate), sans cobalt, se développent pour proposer une option plus éthique et abordable, même si elles offrent une densité énergétique moindre à ce stade. Il est donc essentiel de bien évaluer ses besoins réels en termes de puissance et d'autonomie avant de choisir la technologie de batterie la plus adaptée à son usage professionnel.
Par exemple, pour un commercial amené à faire de longs trajets autoroutiers, privilégier une batterie NMC haute capacité sera judicieux. En revanche, pour un artisan intervenant principalement en zone urbaine, une batterie LFP pourrait suffire, tout en réduisant le coût d'abonnement et l'impact environnemental.
Les batteries LFP : une alternative économique
Avantages du LFP : longévité, sécurité et charge à 100%
Les batteries LFP (lithium-fer-phosphate) présentent de nombreux atouts pour une mobilité électrique professionnelle abordable et durable. Tout d'abord, elles offrent une excellente longévité. Les cellules LFP peuvent supporter environ 4 fois plus de cycles de décharge que les cellules NMC ou NCA avant d'être considérées comme hors d'usage. Cela signifie une durée de vie plus longue pour la batterie et donc pour le véhicule.
Ensuite, la technologie LFP est réputée plus sûre car moins sujette aux emballements thermiques. Elle permet également de charger la batterie à 100% quotidiennement sans risquer de la dégrader prématurément, contrairement aux autres chimies qui recommandent souvent de limiter la charge à 80-90% pour préserver la durée de vie. Cette capacité à être chargée à 100% compense en partie la densité énergétique plus faible du LFP.
Pour une TPE spécialisée dans la livraison de repas à domicile, opter pour une flotte de véhicules équipés de batteries LFP permettra de réduire significativement le coût d'exploitation grâce à leur durabilité. De plus, la possibilité de les recharger à 100% assurera une autonomie suffisante pour les tournées quotidiennes, sans crainte de dégradation prématurée.
Inconvénients : densité moindre, poids et sensibilité au froid
La densité énergétique inférieure des cellules LFP par rapport aux technologies NMC ou NCA constitue leur principal inconvénient. À capacité égale, une batterie LFP sera donc plus volumineuse et plus lourde. Par exemple, sur une Tesla Model 3, la batterie LFP de 60 kWh ne pèse que 5% de moins que la version NCA de 79 kWh, alors qu'elle offre 25% d'énergie en moins. Cela peut avoir un impact sur l'autonomie et les performances du véhicule.
De plus, les batteries LFP sont connues pour être plus sensibles au froid, ce qui peut réduire temporairement leur capacité par temps hivernal. Cependant, des progrès ont été réalisés ces dernières années pour atténuer cet effet. Malgré ces limitations, le LFP reste une option pertinente pour les professionnels recherchant un véhicule électrique abordable, endurant et sûr, en particulier pour des usages urbains ou péri-urbains ne nécessitant pas une autonomie maximale.
Un entrepreneur individuel en dépannage informatique, basé dans le sud de la France, pourrait ainsi opter sans crainte pour une solution LFP. Le climat clément de sa région limitera l'impact des basses températures sur la batterie, tandis que sa zone d'intervention principalement locale ne nécessitera pas une autonomie extrême.
Selon Ford, utiliser une batterie LFP plutôt que NMC/NCA permet une réduction des coûts de 30 à 40% pour les fabricants.
L'avenir prometteur des batteries solides
Batteries solides et semi-solides : des prototypes encourageants
Les batteries solides et semi-solides représentent une piste prometteuse pour améliorer encore les performances des véhicules électriques. Le principe consiste à remplacer l'électrolyte liquide, présent dans les batteries lithium-ion classiques, par un matériau solide. Cela permet d'accroître la densité énergétique, d'améliorer la stabilité et la sécurité, et de simplifier le système de gestion thermique de la batterie.
Plusieurs prototypes encourageants ont déjà été présentés par des start-up comme QuantumScape ou ProLogium, ainsi que par des géants de l'automobile tels que Toyota ou Volkswagen. Les résultats des tests montrent une augmentation de l'autonomie, une recharge plus rapide et une meilleure tenue dans le temps. Cependant, la production à grande échelle de ces batteries nouvelle génération reste un défi, notamment en termes de coûts.
Pour une startup spécialisée dans les services de mobilité partagée, s'orienter dès à présent vers des batteries solides pourrait lui conférer un avantage concurrentiel décisif. En effet, proposer des véhicules dotés d'une autonomie supérieure, se rechargeant plus vite et nécessitant moins de maintenance représenterait un argument de poids pour séduire les utilisateurs et optimiser la gestion de sa flotte.
Vers une intégration optimisée et des designs innovants
Outre les gains de performances, les batteries solides pourraient ouvrir la voie à des designs de véhicules innovants. En effet, leur stabilité approfondie offre plus de liberté aux ingénieurs pour intégrer la batterie de manière optimale au châssis, sans compromettre la sécurité. On peut imaginer des formes de batteries épousant parfaitement les contours du véhicule, permettant de libérer de l'espace à bord ou d'améliorer l'aérodynamisme.
Cette intégration repensée pourrait également faciliter l'échange standard de la batterie pour simplement "faire le plein" d'énergie en quelques minutes. Même si cette approche semble avoir été écartée pour les batteries lithium-ion classiques, la solidité des batteries solides pourrait changer la donne. Les professionnels pourraient ainsi bénéficier d'une mobilité électrique plus pratique, avec une immobilisation minimale de leur véhicule pour la recharge.
Prenons l'exemple d'un réseau de franchise de services à la personne. Grâce à des véhicules équipés de batteries solides facilement interchangeables, les franchisés pourraient optimiser les tournées de leurs intervenants. Plutôt que d'immobiliser un véhicule pour la recharge, il suffirait de remplacer la batterie vide par une pleine en quelques instants, maximisant ainsi le temps d'utilisation et la productivité.
Les batteries sodium-ion : vers une mobilité plus durable
Les atouts du sodium face au lithium
Face aux défis d'approvisionnement et de coût du lithium, une ressource inégalement répartie sur la planète, le sodium apparaît comme une alternative d'avenir. Cet élément est en effet 300 à 1000 fois plus abondant que le lithium sur Terre et largement disponible. Cela se traduit par des coûts nettement inférieurs pour la production de batteries sodium-ion par rapport aux batteries lithium-ion.
Au-delà de l'aspect économique, les batteries sodium-ion présentent aussi des avantages environnementaux. L'extraction du sodium, réalisée à partir de sel ou d'argile, est moins énergivore et moins polluante que celle du lithium. De plus, les batteries sodium-ion ne contiennent pas de cobalt, de nickel ou de manganèse, des métaux dont l'approvisionnement pose des problèmes éthiques et géopolitiques.
Pour une PME soucieuse de son impact environnemental, opter pour des véhicules équipés de batteries sodium-ion serait un choix cohérent avec ses valeurs. Cela lui permettrait de réduire son empreinte carbone globale, tout en soutenant le développement d'une filière plus durable et responsable.
Les premiers véhicules à batteries sodium-ion arrivent
Si les batteries sodium-ion ont une densité énergétique inférieure d'environ 20% à celle des batteries lithium-ion actuelles, elles compensent par une excellente stabilité, une grande sécurité et une recharge rapide. Plusieurs constructeurs et équipementiers automobiles travaillent activement au développement de cette technologie.
Le groupe indien Tata Motors a déjà présenté un prototype de véhicule utilitaire électrique équipé d'une batterie sodium-ion. Le géant chinois CATL, leader mondial des batteries pour véhicules électriques, prévoit de lancer sa première génération de batteries sodium-ion dès 2023. De son côté, le fabricant américain Natron Energy a signé un partenariat avec le constructeur automobile vietnamien VinFast pour fournir des batteries sodium-ion destinées à des scooters et des véhicules.
Quelles sont les différences en matière de recharge ?
Au-delà de la densité énergétique et des coûts de production, les différentes chimies lithium-ion présentent des comportements distincts lors de la recharge. Les électrolytes des batteries lithium-ion restent stables jusqu'à environ 4,2 volts. Pour une batterie NMC, la charge atteint cette limite de 4,2 volts, ce qui peut entraîner une oxydation de l’électrolyte et accélérer le vieillissement de la batterie. Ainsi, il est recommandé d’éviter de charger une batterie NMC à 100% trop fréquemment et de privilégier une charge entre 20% et 80%.
Pour les batteries LFP, la situation est légèrement différente : la charge maximale se situe autour de 3,7 volts, éliminant le risque d’instabilité de l’électrolyte à la fin de la charge. En général, il est préférable d'éviter les charges complètes trop fréquentes pour toute batterie lithium-ion. Toutefois, pour les batteries LFP, cet usage impacte moins la durée de vie.
Les technologies de batteries pour véhicules électriques, comme le lithium-ion et ses variantes NMC, NCA et LFP, évoluent constamment pour optimiser le compromis entre performances, coûts, longévité et impact environnemental. L'électronique embarquée, les systèmes de gestion thermique et les BMS jouent un rôle clé pour tirer le meilleur parti de chaque chimie selon l'usage.
En proposant un large choix de véhicules dotés des dernières avancées en matière de batteries, combiné à des services tout compris et une expertise pointue, Evera accompagne les professionnels vers une mobilité électrique responsable et sereine. L'engagement de Evera dans l'économie circulaire, à travers le reconditionnement et le recyclage des batteries, s'inscrit pleinement dans cette démarche.
Face aux défis climatiques et économiques, comment les innovations dans le domaine des batteries vont-elles façonner l'avenir de la mobilité électrique pour les entreprises dans les années à venir ?

Guide complet de l'indemnité kilométrique pour véhicules électriques professionnels
Comprendre le calcul des indemnités kilométriques pour les véhicules électriques professionnels est essentiel pour optimiser la gestion de flotte. Avec une majoration spécifique de 20% et des critères précis, ce dispositif fiscal permet aux entreprises de réduire significativement leurs coûts. Décryptage complet pour en tirer le meilleur parti.
Cadre légal et éligibilité
Puissance fiscale | Distance parcourue | Indemnité kilométrique |
---|---|---|
3 CV | 5 000 km | 0,320 €/km |
4 CV | 7 500 km | 0,340 €/km |
5 CV | 10 000 km | 0,355 €/km |
6 CV | 15 000 km | 0,370 €/km |
Déduction fiscale pour frais de déplacement

Les professionnels, qu'ils soient salariés, entrepreneurs individuels, gérants, associés ou membres d'associations, peuvent bénéficier d'une déduction fiscale avantageuse pour leurs déplacements professionnels réalisés avec un véhicule électrique personnel. Prévue dans le cadre du barème kilométrique, cette déduction permet de soustraire une partie des dépenses engagées lors des trajets entre le domicile et le lieu de travail, ainsi que pour certains déplacements particuliers.
Pour optimiser le calcul de cette indemnité kilométrique majorée de 20% spécifique aux véhicules 100% électriques, il est important de tenir compte de plusieurs critères clés. La puissance fiscale du véhicule (nombre de CV), la distance parcourue annuellement dans un cadre professionnel, ainsi que l'ensemble des frais liés à l'usage de la voiture (entretien, assurance, recharge électrique) doivent être rigoureusement pris en compte et justifiés à l'aide de factures sur une période d'au moins 3 ans en cas de contrôle fiscal.
Prenons l'exemple d'un consultant indépendant qui utilise son véhicule électrique personnel pour ses déplacements professionnels. En appliquant le barème kilométrique majoré et en conservant l'ensemble des justificatifs, il pourra déduire une part significative de ses frais lors de sa déclaration fiscale annuelle, réduisant ainsi son impôt.
Calculez vos frais réels
Tenez compte de la puissance fiscale

Pour calculer les indemnités kilométriques avec un véhicule électrique, il faut d'abord déterminer sa puissance fiscale, exprimée en chevaux fiscaux (CV). Cette information figure sur la carte grise du véhicule. Le barème 2023 prend en compte les véhicules jusqu'à 7 CV, un plafond applicable à tous les véhicules.
Plus la puissance fiscale est élevée, plus le montant de l'indemnité kilométrique est important. À titre d'exemple, pour 5000 km parcourus, un véhicule de 3 CV donnera droit à une indemnité de 2 825€, contre 3 180€ pour un modèle de 6 CV. Bien vérifier la puissance fiscale de son véhicule est donc important pour optimiser la déduction fiscale.
Prenons le cas d'une PME spécialisée dans le conseil en cybersécurité. Son commercial utilise une Renault Zoé de 4 CV pour ses déplacements chez les clients du CAC40. En déclarant précisément la puissance fiscale de son véhicule, l'entreprise pourra bénéficier d'une indemnité kilométrique optimisée, tenant compte des caractéristiques du véhicule électrique.
Calculez précisément la distance parcourue

La distance totale parcourue à titre professionnel au cours de l'année est l'autre critère déterminant du montant de l'indemnité kilométrique. Il faut donc enregistrer rigoureusement tous les trajets effectués : domicile-travail, déplacements professionnels, visites de clients ou fournisseurs, etc.
Plus la distance parcourue est élevée, plus le montant de l'indemnité kilométrique sera important. Chaque kilomètre compte ! Selon le barème fiscal, les 5000 premiers kilomètres donnent droit à une indemnité plus élevée que les kilomètres suivants. Il est donc important de tenir un relevé précis du kilométrage professionnel, grâce à un carnet de bord ou une application dédiée.
Imaginons un consultant indépendant qui intervient dans toute la France pour former ses clients à la sécurité informatique. En traçant précisément ses trajets via une application comme Klaxoon ou Roadmap, il pourra facilement justifier ses 30 000 km annuels et ainsi prétendre à une indemnité kilométrique conséquente pour son véhicule électrique.
Incluez l'ensemble des frais professionnels

Pour maximiser le montant de l'indemnité kilométrique avec un véhicule électrique, il faut inclure l'ensemble des frais professionnels associés. Cela comprend la dépréciation du véhicule (location ou amortissement), l'entretien, les réparations, l'assurance et le remplacement des pneumatiques.
Tous ces frais sont en effet pris en compte dans le calcul du montant forfaitaire, au même titre que le "carburant". Alors n'hésitez pas à intégrer l'ensemble des dépenses réelles dans vos relevés de frais. Et pensez à conserver les factures pendant au moins 3 ans, en cas de contrôle fiscal.
L'indemnité kilométrique vise aussi à compenser le coût de la recharge en électricité de votre véhicule. Le montant forfaitaire intègre les dépenses liées à la location de la batterie et à son rechargement. C'est l'équivalent des frais de carburant pour les voitures thermiques.
Au-delà du montant forfaitaire, vous pouvez aussi déduire l'ensemble de vos frais de recharge, à condition de conserver les justificatifs. Une raison supplémentaire de structurer rigoureusement le suivi de vos dépenses d'électricité, que ce soit sur votre lieu de travail, votre domicile ou sur les bornes de recharge publiques.
Comparaison avec les véhicules thermiques
Puissance fiscale | Distance | Indemnité VT 2022 |
---|---|---|
4 CV | 25 000 km | 8 450 € |
5 CV | 25 000 km | 8 725 € |
6 CV | 25 000 km | 9 000 € |
Comparatif du montant des indemnités kilométriques selon la motorisation (VT = véhicule thermique, VE = véhicule électrique).
Ces différents mécanismes de majoration rendent le barème fiscal particulièrement incitatif pour les véhicules électriques en 2023. Un levier à actionner pour les entreprises souhaitant optimiser les coûts et l'impact environnemental de leur flotte !
Majoration de 20% réservée au 100% électrique
Contrairement aux véhicules 100% électriques qui bénéficient d'une majoration automatique de 20% sur le montant forfaitaire déclaré, les voitures hybrides et hybrides rechargeables en sont exclues. Elles sont soumises au même barème d'indemnités kilométriques que les motorisations thermiques classiques, sans bonus.
Cette différence de traitement fiscal vise à encourager concrètement le passage à l'électrique pour les professionnels. En choisissant un véhicule 100% électrique plutôt qu'un modèle hybride, il est possible de réduire significativement son impôt grâce à une déduction plus importante des frais de déplacement. Sur le long terme, cet avantage peut représenter des économies substantielles en plus des autres bénéfices liés à l'usage d'un véhicule zéro émission.
Comme le montre un rapport récent, les entreprises ayant opté pour des flottes électriques ont réduit en moyenne de 15% leurs coûts liés aux déplacements professionnels.
Majoration supplémentaire de 5,4% en 2023
En 2023, le barème de l'indemnité kilométrique a été revalorisé de 5,4% pour l'ensemble des véhicules, qu'ils soient thermiques ou électriques. Cette augmentation vient compenser la hausse des coûts d'utilisation (carburant, entretien, etc).
Cette majoration de 5,4% vient s'ajouter aux 20% déjà accordés aux véhicules électriques. Au total, le montant de l'indemnité kilométrique peut donc être 25,4% plus élevé en 2023 pour les professionnels optant pour la mobilité électrique. Une bonne raison d'accélérer le verdissement de sa flotte !
Reprenons l'exemple de l'entreprise de services numériques. Avec l'augmentation du barème 2023, les indemnités kilométriques pour ses 10 commerciaux passent de 51 120€ à 54 240€, soit un gain supplémentaire de 3 120€. Au total, le choix de l'électrique permet à l'entreprise d'économiser 11 640€ en 2023 !
Optimisation fiscale pour les entreprises
Puissance fiscale | Montant | Conditions |
---|---|---|
Bonus écologique | 6 000 € | Véhicule électrique de max 47 000 € |
Prime à la conversion | 5 000 € | Mise au rebut d'un ancien diesel pour un VE neuf |
TVS | Exonération pendant 10 ans | Tous les véhicules électriques |
Amortissement | Jusqu'à 30 000 € | Déduction linéaire sur 4 à 8 ans selon le véhicule |
Évaluez la rentabilité sur le long terme
Pour les entreprises qui gèrent une flotte de véhicules professionnels, l'évaluation de la rentabilité des modèles électriques doit intégrer le paramètre de l'indemnité kilométrique bonifiée. Même si le coût d'acquisition initial peut être plus élevé, les déductions fiscales permises par le barème avantageux permettent de réaliser des économies significatives sur la durée d'utilisation des voitures.
Il est donc conseillé de mener une analyse comparant le coût de possession des véhicules électriques par rapport aux motorisations classiques, en incluant les différents postes de dépenses. Au-delà de l'achat ou de la location, les frais d'entretien, d'assurance, de pneumatiques et surtout de recharge électrique doivent être passés au crible pour établir des projections économiques fiables et identifier les leviers d'optimisation.
Une PME dans le secteur technologique utilise l'abonnement flexible d'Evera pour s'adapter à ses besoins de croissance dynamique. La solution clé en main comprenant véhicule, entretien, assurance et assistance permet de maîtriser le budget tout en profitant de l'avantage fiscal lié aux indemnités kilométriques sur les véhicules électriques.
Optez pour un logiciel de gestion de flotte
Afin de tirer pleinement parti des avantages fiscaux des véhicules électriques, les gestionnaires de flottes ont intérêt à se doter d'un logiciel dédié pour automatiser le calcul des indemnités kilométriques. Connectées aux données de géolocalisation, ces solutions permettent de tracer précisément chaque trajet et d'en extraire les informations clés : distances, consommation électrique, coûts de recharge...
L'usage d'un outil facilite aussi grandement la gestion administrative en centralisant l'ensemble des justificatifs et factures nécessaires. Il devient ainsi possible d'éditer des rapports détaillés pour la comptabilité ou en cas de contrôle fiscal. De plus, certaines fonctionnalités avancées comme le calcul prévisionnel des indemnités aident à budgétiser au mieux ce poste de dépenses et à optimiser le choix des véhicules électriques en fonction des profils d'utilisation réels.
- Recenser les véhicules électriques de la flotte et leur puissance fiscale
- Installer un dispositif de géolocalisation pour enregistrer les trajets
- Paramétrer le logiciel de gestion de flotte avec les règles de calcul
- Former les collaborateurs à la saisie systématique des informations
- Mettre en place un processus de contrôle des données collectées
- Éditer chaque mois un rapport détaillé des indemnités kilométriques
- Intégrer les montants dans la comptabilité et les déclarations fiscales
Exonération de TVS, bonus et prime à la conversion
Les véhicules électriques bénéficient également d'autres avantages fiscaux, qui viennent compléter les indemnités kilométriques et l'amortissement :
- Exonération totale de Taxe sur les Véhicules de Société (TVS) pendant 10 ans.
- Bonus écologique de 6 000€ pour l'achat d'un véhicule électrique neuf de moins de 47 000€.
- Prime à la conversion de 5 000€ pour la mise au rebut d'un ancien véhicule diesel contre un modèle électrique.
Des aides précieuses, qui peuvent réduire de plusieurs milliers d'euros le coût d'acquisition d'un véhicule électrique. Leur montant varie selon le type de véhicule, son prix et la situation de l'entreprise.
Pour un artisan électricien souhaitant remplacer son ancien fourgon diesel par une nouvelle camionnette électrique, le cumul du bonus écologique et de la prime à la conversion peut atteindre 11 000€. De quoi réduire significativement le prix d'achat et accélérer l'amortissement !
En cumulant habilement ces différents dispositifs fiscaux avec le barème des indemnités kilométriques, les entreprises peuvent donc réduire très significativement le coût d'utilisation d'un véhicule électrique. Un argument de poids pour accélérer la transition vers une flotte plus durable !
Évolutions futures du dispositif
Pérennisation de la majoration de 20%
Instaurée par le Gouvernement pour encourager la transition vers une mobilité électrique, la majoration de 20% de l'indemnité kilométrique pour les véhicules électriques est pour le moment pérennisée. Cet avantage fiscal devrait donc continuer à s'appliquer dans les années à venir pour inciter entreprises et professionnels à verdir leurs flottes.
Néanmoins, il est important de rester vigilant quant à d'éventuelles modifications législatives, notamment dans le cadre des lois de finances annuelles. Bien que le soutien au développement de l'électromobilité semble une priorité durable, les paramètres de calcul du barème ou les modalités d'application pourraient subir des ajustements qu'il faudra intégrer dans la stratégie de gestion de flotte.
Potentiels ajustements du barème
Comme observé récemment avec l'application d'une majoration supplémentaire de 5,4% en 2023 pour tenir compte de l'augmentation des prix de l'énergie, le barème de l'indemnité kilométrique est ajusté périodiquement. Si les montants forfaitaires évoluent régulièrement, c'est pour s'adapter au plus près de la réalité des coûts supportés par les professionnels dans leurs déplacements.
Dans les prochaines années, il est probable que la méthode de calcul spécifique aux véhicules électriques soit affinée, en intégrant par exemple un facteur lié au coût des recharges selon les puissances de bornes utilisées. Les gestionnaires de flottes devront donc faire preuve d'agilité pour adapter leurs outils et processus à ces potentielles évolutions, tout en veillant à toujours maximiser les déductions fiscales permises par ce dispositif incitatif.
Une grande entreprise réduit son empreinte carbone en pilotant sa flotte électrique via l'application Copilot. Cet outil connecté permet d'automatiser le calcul des indemnités kilométriques tout en fournissant des indicateurs clés pour optimiser la gestion des véhicules et réduire les coûts.
En définitive, comprendre et appliquer le barème spécifique des indemnités kilométriques pour les véhicules électriques permet d'allier optimisation fiscale et transition énergétique. Avec un calcul basé sur la puissance fiscale plafonnée à 7CV et une majoration automatique de 20%, les professionnels peuvent réduire significativement leurs coûts de déplacement.
Gérez facilement vos notes de frais
Conservez les justificatifs pendant 3 ans
Pour bénéficier de la déduction fiscale liée à l'indemnité kilométrique, vous devez pouvoir justifier du nombre de kilomètres parcourus et de l'ensemble des frais engagés. Il faut donc conserver tous les documents liés à l'utilisation du véhicule : relevés de kilométrage, factures de recharge électrique, contrat d'assurance, factures d'entretien, etc.
En cas de contrôle fiscal, l'administration peut vous réclamer les justificatifs des 3 dernières années. Alors soyez rigoureux dans l'archivage de ces documents, en version papier ou numérique. Des outils de gestion des notes de frais permettent de centraliser facilement l'ensemble des pièces et d'automatiser les calculs.
Par exemple, un commercial itinérant équipé d'une Renault Zoé peut utiliser une application mobile comme Expensya ou N2F pour photographier directement ses justificatifs. Les données sont automatiquement intégrées dans un outil en ligne, qui calcule les indemnités kilométriques et génère un reporting mensuel. De quoi simplifier la gestion et fiabiliser la déduction fiscale !
Formez vos collaborateurs aux règles de déduction
Si vos collaborateurs utilisent un véhicule électrique de l'entreprise ou leur véhicule personnel pour des trajets professionnels, il est essentiel de les former aux règles spécifiques de déduction fiscale. L'enjeu est de maximiser le montant de l'indemnité kilométrique tout en respectant le cadre réglementaire.
Vous pouvez organiser des sessions de formation pratique sur le sujet, animées en interne ou par un expert-comptable. L'objectif est que tous les collaborateurs concernés soient en mesure de noter rigoureusement leurs trajets, collecter les justificatifs et appliquer les bons montants forfaitaires selon les barèmes en vigueur. C'est bénéfique pour eux et pour l'entreprise !
Imaginons une entreprise de services aux collectivités, dont les 50 techniciens interviennent chaque jour chez les clients avec leur véhicule personnel. En les formant aux règles de déduction des indemnités kilométriques pour leur nouveau véhicule électrique, l'entreprise peut récupérer jusqu'à 6 000€ supplémentaires chaque année. Un argument financier qui facilite l'adhésion des collaborateurs au projet d'électrification de la flotte !
Action de formation | Objectif | Support nécessaire |
---|---|---|
Atelier "Tracer ses trajets pro" | Fiabiliser le relevé du nombre de km | Application mobile ou carnet de bord |
E-learning "Calculer ses indemnités" | Maîtriser les barèmes et les justificatifs |
Evera propose une solution globale de mobilité électrique pour les entreprises, incluant véhicules, entretien, assurance et assistance dans un abonnement tout compris. En automatisant la gestion des flottes et le calcul des indemnités, les gestionnaires gagnent en efficacité tout en verdissant leur parc automobile.
Mais au-delà de l'aspect économique, comment ce dispositif fiscal peut-il accélérer plus largement l'adoption des véhicules électriques dans les entreprises et contribuer à la décarbonation des transports professionnels ?

La taxe carbone expliquée simplement
La taxe carbone est un levier fiscal qui vise à accélérer la transition écologique en donnant un prix aux émissions de CO2. En renchérissant le coût des énergies fossiles, elle incite les entreprises et les particuliers à réduire leur consommation et à se tourner vers des alternatives plus propres comme les véhicules électriques. Voyons en détail le fonctionnement et les enjeux de ce mécanisme clé de la lutte contre le réchauffement climatique.
Définition et principe de fonctionnement

Un mécanisme prix-signal pour changer les comportements
La taxe carbone est un levier fiscal qui vise à accélérer la transition écologique en donnant un prix aux émissions de CO2. Concrètement, elle renchérit le coût des énergies fossiles comme l'essence, le diesel ou le gaz, en proportion de leur contenu en carbone. L'objectif est d'envoyer un signal-prix pour inciter entreprises et particuliers à réduire leur consommation de ces énergies et à se tourner vers des alternatives moins polluantes.
Ce mécanisme repose sur le principe du pollueur-payeur. Plus une activité émet de CO2, plus elle sera taxée. Cela encourage l'adoption de technologies et comportements plus sobres en carbone, comme les véhicules électriques pour les professionnels. La taxe carbone permet ainsi d'intégrer le coût environnemental des émissions dans les prix, là où il était auparavant ignoré.
Prenons l'exemple d'une PME du secteur informatique qui dispose d'une flotte de 20 véhicules de fonction diesel. Avec l'augmentation progressive de la taxe carbone, le budget carburant de l'entreprise s'alourdit chaque année. En basculant vers des véhicules électriques en LLD, la PME pourrait réduire ce poste de dépense tout en diminuant son empreinte carbone. La taxe crée donc une incitation économique à évoluer vers des solutions plus durables.
Les énergies concernées par la taxe carbone en France
Énergie | Taux de taxe carbone en 2018 |
---|---|
Gazole | 7,6 cts€/litre |
Essence | 5,9 cts€/litre |
Gaz naturel | 3,4 cts€/m3 |
Fioul lourd | 18,3 €/tonne |
Charbon | 14,6 €/tonne |
En France, la taxe carbone s'applique principalement aux carburants fossiles. Depuis 2014, elle est intégrée aux taxes sur les produits énergétiques (TICPE), qui comprennent la TICPE stricto sensu et la TVA. Les entreprises sont donc directement impactées via leur consommation de gazole et d'essence.
La taxe concerne aussi le gaz naturel, le fioul lourd et les charbons utilisés notamment pour le chauffage des bâtiments. Son montant étant proportionnel aux émissions de CO2 des différentes énergies, il varie selon les produits. En 2018, la composante carbone représentait par exemple 7,6 centimes par litre de gazole et 5,9 centimes par litre d'essence. Pour réduire leur facture, les entreprises ont donc intérêt à s'orienter vers des véhicules et équipements plus économes.
Qui paie la taxe carbone ?

Les professionnels directement impactés par la taxe carbone
La taxe carbone s'applique à tous les acteurs économiques, des grandes entreprises aux PME en passant par les artisans et commerçants. Certains secteurs y sont particulièrement exposés de par l'importance des carburants dans leurs coûts d'exploitation. C'est le cas du transport routier, qui a vu le prix du gazole augmenter depuis l'introduction de la taxe.
Les professionnels qui utilisent des véhicules thermiques pour leurs déplacements (commerciaux, taxis, artisans) ou des engins fonctionnant au diesel ou au gaz (BTP, industrie) sont aussi directement concernés. Pour ces entreprises, la taxe carbone représente un surcoût qui pèse sur leurs marges. Passer à l'électrique devient un impératif pour rester compétitif.
Prenons le cas d'un artisan plombier réalisant une centaine de déplacements par mois avec son utilitaire diesel. Avec la taxe à son niveau de 2018, il devra payer environ 100€ de plus en carburant chaque année. En remplaçant son véhicule par un modèle électrique en LLD, il pourrait économiser plusieurs centaines d'euros par an tout en gagnant en confort d'usage. Pour les petites entreprises, c'est loin d'être négligeable.
Les régimes d'exemption et leurs conditions d'éligibilité
Secteur | Exemption |
---|---|
Transport routier | 15 cts€/L de gazole |
Taxis et VTC | Remboursement partiel TICPE |
Aviation, pêche, maritimes | Carburants hors champ TICPE |
Industrie, agriculture | Taux réduit si risque de fuite carbone |
Électricité | Hors champ (autres taxes) |
Certains secteurs bénéficient toutefois d'exonérations totales ou partielles au nom de leur sensibilité à la concurrence internationale. C'est le cas du transport routier de marchandises, exempté depuis 2014 à hauteur de 15 centimes par litre de gazole. Les taxis et VTC profitent aussi d'un remboursement partiel de TICPE.
L'aviation, la pêche et le transport maritime ne sont pas soumis à la taxe, leurs carburants n'étant pas couverts par la TICPE. Dans l'industrie et l'agriculture, les entreprises grandes consommatrices d'énergie exposées à un risque de "fuite de carbone" (délocalisation vers des pays à fiscalité carbone plus faible) peuvent aussi demander un taux réduit. Enfin, la composante carbone ne s'applique pas à l'électricité, déjà soumise à des taxes spécifiques. Un argument de plus pour choisir des véhicules électriques !
Avantages et inconvénients
Un outil efficace de lutte contre le réchauffement climatique

La taxe carbone est plébiscitée par la plupart des économistes comme un outil de réduction des émissions. En donnant un prix au carbone, elle force les acteurs économiques à internaliser son coût environnemental et modifie les comportements en faveur de solutions bas carbone. Selon une étude de l'OCDE, la taxe carbone en France a conduit à une baisse de 5% des émissions de CO2 en 2018.
Sur le long terme, cette taxe doit permettre de déplacer les investissements vers des technologies propres. Pour les entreprises, c'est un signal fort les invitant à repenser leur mix énergétique. Les solutions électriques comme les véhicules en location longue durée, exemptés de taxe carbone, deviennent bien plus attractives d'un point de vue économique et environnemental.
D'après une simulation de l'ADEME, remplacer un véhicule thermique parcourant 20 000 km/an par un modèle électrique permet d'éviter le rejet de 2 tonnes de CO2 par an. Pour une entreprise disposant de 10 véhicules, c'est donc un potentiel de réduction de 20 tonnes, soit l'équivalent de 892 € de taxe carbone économisée chaque année au taux actuel de 44,60 €/tonne. À l'échelle nationale, la généralisation de l'électrique dans les flottes pourrait réduire les émissions des transports, responsables de 38 % du CO2 en France.
Les écueils à éviter pour une taxe socialement acceptable
Mais dans sa mise en œuvre actuelle, la taxe carbone soulève aussi des critiques. Son impact sur les ménages modestes, très dépendants de leur voiture, est souvent jugé socialement injuste. La crise des gilets jaunes a montré les limites d'une logique punitive sans alternatives crédibles ni compensations.
De nombreuses voix appellent aussi à affecter l'intégralité de ses recettes au financement de la transition, et dénoncent les exemptions accordées à certains secteurs. Pour être efficace et acceptée, la taxe carbone doit donc monter en puissance de façon progressive et prévisible, en veillant à corriger ses effets anti-redistributifs. Et elle ne suffira pas sans une politique globale en faveur des mobilités durables et de la rénovation énergétique.
Pour optimiser l'effet incitatif de la taxe carbone, plusieurs pistes d'amélioration sont à étudier. On pourrait imaginer des mécanismes de bonus malus selon les émissions des véhicules, sur le modèle de ce qui existe pour l'achat des voitures particulières. Les recettes de la taxe pourraient aussi être utilisées pour subventionner plus le renouvellement des flottes professionnelles vers l'électrique. Enfin, la convergence des fiscalités gazole et essence prévue d'ici 2042 enverra un signal clair en faveur des motorisations zéro émission.
Montant et évolution de la taxe
Année | Prix taxe carbone (€/t) | Surcoût annuel (5 véhicules) |
---|---|---|
2018 | 44,60 | 480 € |
2022 | 65,00 (estimation) | 700 € |
2025 | 80,00 (estimation) | 864 € |
2030 | 100,00 (objectif) | 1 080 € |
Introduite à 7€/tonne de CO2 en 2014, la taxe carbone avait vocation à augmenter chaque année pour atteindre 100€/tonne en 2030. Mais face au mouvement des Gilets jaunes fin 2018, le gouvernement a décidé de geler son montant à 44,60€/tonne, soit 8 centimes par litre d'essence et 9 centimes par litre de diesel.
Ce coup d'arrêt a mis en lumière la difficulté de concilier urgence climatique et justice sociale. Car si une augmentation est nécessaire pour changer les comportements, elle est difficile à faire accepter sans mesures d'accompagnement. À court terme, un dégel et une convergence progressive gazole/essence sont probables. Puis la montée en charge devrait reprendre pour atteindre 100€/tonne, voire plus selon les recommandations d'experts.
Prenons le cas d'une entreprise de services disposant de 5 véhicules essence parcourant chacun 15 000 km/an. Avec un prix de la taxe gelé à 44,60 €/tonne (0,08€/litre), le surcoût annuel est de 480 €. Mais si la taxe augmente à 100€/tonne comme prévu initialement, ce surcoût passerait à 1 080 € par an !
C'est une augmentation qui doit inciter l'entreprise à accélérer sa transition vers des véhicules propres. En optant pour la location longue durée de véhicules électriques, elle pourrait fixer son budget mobilité sur plusieurs années sans risque de dérive.
Comparaison avec les niveaux de taxation carbone à l'étranger
Pays ou zone | Prix moyen du carbone ($/tonne) |
---|---|
France | 52 |
Suède | 123 |
Allemagne | 33 |
UE | 45 |
Monde | 2 |
Avec un prix de 44,60€/tonne, la France se situe dans la moyenne européenne. Certains de nos voisins sont allés bien plus loin, à l'image de la Suède qui affiche une taxe à 123$/tonne. Mais de nombreux pays n'ont pas encore franchi le pas, expliquant le faible prix moyen du carbone dans le monde (2$/tonne).
Un rapport de la Banque mondiale recommande pourtant un prix entre 50 et 100$/tonne d'ici 2030 pour respecter les objectifs de l'Accord de Paris. L'UE réfléchit d'ailleurs à une taxe carbone aux frontières pour éviter les distorsions de concurrence en taxant les produits importés. Alors que ces mécanismes devraient se généraliser, mieux vaut prendre les devants en réduisant son empreinte carbone.
Pour une PME exportatrice, surveiller ce que font les autres pays en matière de taxe carbone est essentiel. Si ses concurrents étrangers sont moins taxés, elle risque de perdre en compétitivité. À l'inverse, si elle prend de l'avance en décarbonant sa flotte, elle sera mieux armée lorsque les taxes s'harmoniseront à la hausse. C'est particulièrement vrai pour les entreprises qui exportent hors de l'UE et pourraient être concernées par la future taxe aux frontières. En anticipant cette tendance de fond, elles transformeront une potentielle menace en avantage compétitif.
Calcul et application de la taxe pour les professionnels
Motorisation | Coût à l'achat | Coût du carburant/électricité | Taxe carbone | Coût total sur 3 ans |
---|---|---|---|---|
Thermique | 20 000 € | 6 000 € | 1 500 € | 27 500 € |
Électrique | 30 000 € | 1 500 € | 0 € | 31 500 € |
Hybride | 25 000 € | 3 000 € | 800 € | 28 800 € |
Calculer ses émissions de CO2 et sa taxe carbone
Pour les entreprises, le montant de la taxe carbone à payer dépend directement de leur consommation d'énergies fossiles comme l'essence, le diesel, le fioul ou le gaz. Un suivi et régulier des émissions de CO2 générées par l'activité est donc indispensable pour évaluer le coût de cette taxe.
La mise en place d'outils de mesure et d'un reporting environnemental permet d'établir un état des lieux de l'impact carbone, d'identifier les principaux postes d'émissions et de simuler le montant de taxe associé. Ce suivi constituera une base solide pour définir un plan d'actions de réduction du CO2.
Par exemple, une PME du secteur technologique pourrait commencer par réaliser un bilan carbone complet de son activité, en analysant notamment les déplacements professionnels et les consommations d'énergie de ses bâtiments. En s'appuyant sur des outils de suivi des consommations et un tableur, elle pourrait ensuite suivre mensuellement ses émissions et la taxe carbone associée.
Comptabiliser le coût carbone dans le choix des véhicules
Avec une taxe carbone à 44,60 € par tonne de CO2 en France, qui rapportait plus de 9 milliards d'euros en 2018, son impact financier est loin d'être négligeable pour les entreprises. Intégrer le coût des émissions dans le calcul du coût total de possession des véhicules devient important.
Prendre en compte le prix de la taxe carbone dans les projections financières permettra de mieux objectiver le choix des motorisations. Les modèles électriques, exemptés de taxe, gagnent en compétitivité face aux motorisations thermiques. Les entreprises ont donc tout intérêt à accélérer l'électrification de leur flotte.En intégrant le coût de la taxe carbone dans le calcul du coût total de possession (TCO), on constate que le surcoût initial des motorisations électriques est en grande partie compensé par les économies de carburant et l'exemption de taxe. Sur 3 ans, un véhicule électrique devient plus compétitif qu'un modèle thermique équivalent.
Stratégies d'optimisation fiscale et énergétique
Optimiser l'usage des véhicules thermiques
Pour les entreprises disposant encore de véhicules thermiques, l'optimisation de leur usage est un levier immédiat pour réduire la facture carbone. L'écoconduite, en adoptant une conduite souple et anticipée, permet de diminuer la consommation de carburant et donc les émissions de CO2.
Le covoiturage entre collaborateurs et l'autopartage sont aussi des pratiques à encourager. Elles apportent plus de flexibilité et de rentabilité dans les déplacements professionnels, tout en créant du lien. La digitalisation facilite la mise en place de ces usages collaboratifs.
Prenons l'exemple d'une entreprise qui dispose d'une flotte de 20 véhicules thermiques. En formant ses collaborateurs à l'écoconduite et en les incitant au covoiturage, elle pourrait réduire de 10% sa consommation de carburant. En mettant en place une plateforme d'autopartage, elle pourrait également diminuer de 20% le nombre de véhicules nécessaires. Des gains significatifs pour le budget et l'empreinte carbone.
Miser sur l'électrique avec des offres sur-mesure
La conversion à l'électrique est incontournable pour sortir de la dépendance aux énergies fossiles taxées. Les offres packagées de location longue durée (LLD) permettent de franchir le pas sereinement, sans immobiliser de capital. Avec un service tout inclus et une tarification à l'usage, les entreprises gagnent en agilité.
Pour accompagner ce passage à l'électrique, les entreprises doivent aussi adapter leur infrastructure, en installant des bornes de recharge sur site et en négociant l'accès à des réseaux de recharge publics. Opter pour des véhicules avec une autonomie adaptée aux besoins réels est aussi important pour garantir leur bon usage.
Par exemple, Jean-Michel, DAF indépendant, a simplifié sa gestion de mobilité en optant pour un véhicule électrique premium en LLD chez Evera. Livré en 72h avec une borne de recharge, un accès aux réseaux publics et une application dédiée, cette solution clé-en-main lui apporte sérénité et flexibilité. Il peut ainsi se concentrer sur son activité, tout en réduisant son empreinte carbone.
Impliquer les collaborateurs avec un budget mobilité
L'adhésion des collaborateurs est clé pour réussir la transition vers une mobilité plus durable. Plutôt que d'imposer des solutions, mieux vaut les inclure dans la réflexion et le choix des nouvelles motorisations et services, pour coller au mieux à leurs attentes.
La mise en place d'un budget mobilité individuel permet d'aller plus loin. En allouant une enveloppe à chacun pour composer son mix de mobilité idéal, entre véhicule, transports en commun, autopartage, vélo… Les entreprises responsabilisent leurs équipes, tout en maîtrisant leur budget. Une approche gagnant-gagnant.
Voici un exemple de budget mobilité qui pourrait être proposé aux collaborateurs d'une entreprise, avec plusieurs scénarios possibles :
Profil de mobilité | Véhicule électrique | Transports en commun | Autopartage | Vélo électrique | Total budget |
---|---|---|---|---|---|
Grand rouleur | 500 € | 50 € | 0 € | 0 € | 550 € |
Trajets mixtes domicile-bureau | 200 € | 200 € | 1O0 € | 50 € | 550 € |
Urbain sans voiture | 0 € | 300 € | 150 € | 100 € | 550 € |
En proposant un budget mobilité identique pour tous, avec une grande flexibilité dans sa composition, l'entreprise incite ses collaborateurs à opter pour des pratiques de mobilité plus durables, sans les contraindre. Cela valorise aussi les efforts faits par certains pour se passer de la voiture. Le dialogue et la pédagogie permettent de trouver le bon équilibre.
Impact sur la compétitivité des entreprises
Transformer une contrainte en opportunité d'innovation
Si la taxe carbone représente indéniablement une charge supplémentaire, elle constitue aussi un aiguillon pour repenser son modèle et ses pratiques. Les entreprises qui sauront faire de cette contrainte un moteur d'innovation et de différenciation en sortiront renforcées.
En challengeant ses habitudes de déplacement, en testant des motorisations alternatives, en s'appuyant sur le digital et les data pour optimiser les flux, la taxe carbone pousse à expérimenter et à innover. Les entreprises pionnières se doteront ainsi d'un avantage compétitif.
Prenons le cas d'une grande entreprise qui doit convertir sa flotte de 500 véhicules à l'électrique. Au-delà du simple remplacement des motorisations, elle peut saisir cette opportunité pour repenser l'organisation des déplacements. En s'appuyant sur des outils de télématique et d'optimisation de tournées, elle peut par exemple réduire les kilomètres parcourus de 20%. En déployant massivement le télétravail et la visioconférence, elle peut aussi supprimer une partie des déplacements. Des changements de fond qui renforcent sa performance, tout en réduisant son empreinte carbone.
Valoriser son engagement environnemental auprès des parties prenantes
À l'heure où les consommateurs sont de plus en plus attentifs à l'impact environnemental, où les investisseurs scrutent l'extra-financier, où les talents choisissent leur employeur sur des critères de sens, s'engager dans une mobilité bas carbone devient un marqueur fort et valorisable.
L'exemplarité en matière de réduction des émissions de CO2 contribue positivement à la marque employeur comme à l'image de marque. C'est un argument à intégrer dans sa communication corporate et RH. Cet engagement est aussi un atout commercial face à des clients de plus en plus exigeants sur l'impact climatique de leurs fournisseurs.
En résumé, la taxe carbone est un puissant outil pour accélérer la transition vers une mobilité plus durable dans les entreprises. Si elle implique des changements importants et des investissements, les bénéfices à long terme sont nombreux : baisse des coûts d'usage, réduction de l'empreinte environnementale, valorisation de l'image de marque... Les entreprises doivent dès maintenant intégrer son évolution dans leurs choix stratégiques et opérationnels.
Avec des outils de pilotage adaptés, des offres de mobilité innovantes comme la LLD électrique et une approche collaborative, les entreprises peuvent transformer la contrainte carbone en opportunité. Plus qu'une taxe, c'est une invitation à repenser la mobilité pour conjuguer performance économique et environnementale. Un défi stimulant pour construire un futur plus durable.

L'autopartage électrique : une solution innovante pour la mobilité d'entreprise
L'autopartage électrique s'impose comme une solution durable et économique pour optimiser la mobilité d'entreprise. En mutualisant une flotte de véhicules zéro émission, ce système offre flexibilité et maîtrise des coûts aux professionnels. Découvrez comment l'autopartage électrique transforme les déplacements en entreprise, au bénéfice de l'environnement et de la performance.
Comprendre le concept d'autopartage
Principes et avantages de l'autopartage
Avantages de l'autopartage | Description |
---|---|
Réduction des coûts | Économies sur l'achat, l'assurance et l'entretien des véhicules |
Flexibilité | Réservation à la demande, selon les besoins ponctuels ou réguliers |
Responsabilité environnementale | Diminution des émissions de CO2 et de l'empreinte carbone |
Utilisation optimisée | Mutualisation des véhicules entre plusieurs utilisateurs |
L'autopartage est un système qui permet de mutualiser une flotte de véhicules entre plusieurs utilisateurs. Concrètement, les usagers peuvent réserver un véhicule pour une durée déterminée, allant de quelques heures à plusieurs jours, selon leurs besoins. Ce modèle offre une flexibilité et libère les utilisateurs des contraintes liées à la possession d'un véhicule personnel, telles que l'assurance, l'entretien ou encore le stationnement.
En optant pour l'autopartage, les entreprises peuvent réduire significativement leurs coûts de mobilité. En effet, elles n'ont plus à gérer une flotte de véhicules en propre, ce qui représente des économies en termes d'achat, d'assurance et d'entretien. Prenons l'exemple d'une PME dans le secteur technologique qui utilise l'abonnement flexible d'Evera pour s'adapter à ses besoins de croissance, sans avoir à investir dans l'acquisition de véhicules supplémentaires.
De plus, l'autopartage encourage une utilisation raisonnée des véhicules, contribuant ainsi à réduire les émissions de CO2 et l'empreinte environnementale de l'entreprise.
Les différents types d'autopartage

Il existe différents modèles d'autopartage adaptés aux besoins des entreprises. L'autopartage en boucle est indiqué pour les déplacements professionnels locaux, avec un retour du véhicule à son point de départ. Ce système est simple à gérer et garantit la disponibilité des véhicules pour les collaborateurs.
Pour plus de flexibilité, l'autopartage en trace directe permet de restituer le véhicule dans une autre station que celle de départ. Cette formule est idéale pour les trajets professionnels ponctuels ou les déplacements entre différents sites de l'entreprise. Enfin, l'autopartage en free-floating, sans station attitrée, offre une liberté pour des déplacements urbains spontanés.
Au-delà des offres proposées par des opérateurs spécialisés, l'autopartage peut également se développer en interne, entre collaborateurs d'une même entreprise. Cette approche favorise l'optimisation de l'utilisation des véhicules et renforce la cohésion au sein des équipes.
Des plateformes de mise en relation permettent aussi aux entreprises de louer ponctuellement les véhicules de particuliers, offrant ainsi une solution flexible pour répondre aux pics d'activité ou à des besoins. Cette démarche s'inscrit dans une logique d'économie collaborative et de consommation responsable.
Les avantages économiques pour les indépendants et TPE
Besoins ponctuels | Solution d'autopartage |
---|---|
Pic d'activité | Réservation de véhicules supplémentaires |
Mission spécifique | Choix du type de véhicule adapté |
Véhicule immobilisé | Remplacement temporaire par un véhicule partagé |
Réduire ses coûts de mobilité avec l'autopartage
Pour les petites structures et les indépendants, l'autopartage représente une opportunité de réduire les coûts liés à la mobilité. En évitant l'achat et l'entretien d'un véhicule dédié, ces professionnels peuvent réaliser des économies et allouer leurs ressources à leur cœur d'activité.
De plus, l'autopartage permet une gestion fluide et rationalisée des déplacements professionnels. Avec des formules d'abonnement flexibles et sans engagement, les TPE peuvent adapter leur budget mobilité en temps réel, en fonction de leurs besoins. Cette maîtrise des coûts est un atout pour la pérennité et le développement de leur activité.
Prenons l'exemple de Jean-Michel, DAF indépendant, qui a choisi de simplifier sa gestion de mobilité grâce à un véhicule électrique premium livré rapidement par Evera. En optant pour une formule d'abonnement adaptée à ses déplacements ponctuels, il a pu réduire ses frais de mobilité tout en bénéficiant d'un véhicule haut de gamme.
Adapter sa flotte aux besoins ponctuels
L'un des avantages de l'autopartage pour les petites structures est la possibilité d'adapter leur flotte de véhicules à leurs besoins ponctuels. Qu'il s'agisse de répondre à un pic d'activité, de réaliser une mission ou de remplacer temporairement un véhicule immobilisé, l'autopartage offre une solution sur-mesure.
Cette flexibilité est précieuse pour les indépendants et les TPE, qui peuvent ainsi éviter les coûts fixes liés à la possession d'un véhicule sous-utilisé. En optant pour l'autopartage, ils ont accès à une flotte mutualisée, disponible à la demande, pour un coût maîtrisé. Cette approche agile leur permet de se concentrer sur leur cœur de métier, sans contrainte de gestion.
Un impact environnemental positif
Réduire son empreinte carbone avec l'électromobilité partagée

Le secteur des transports est l'un des émetteurs de gaz à effet de serre. En adoptant l'autopartage avec des véhicules électriques, les entreprises peuvent réduire significativement leur empreinte carbone. En effet, les véhicules électriques n'émettent pas de CO2 lors de leur utilisation et sont adaptés aux déplacements urbains.
De plus, l'autopartage encourage une utilisation raisonnée des véhicules, en favorisant le covoiturage et la multimodalité. En combinant autopartage et transports en commun ou modes doux, les collaborateurs optimisent leurs déplacements et contribuent à réduire la pollution atmosphérique en ville. Cette démarche éco-responsable est un atout pour l'image de l'entreprise.
Libérer de l'espace urbain en réduisant le nombre de véhicules
Au-delà de son impact sur les émissions de CO2, l'autopartage a aussi un effet positif sur la congestion urbaine et l'occupation de l'espace public. En mutualisant les véhicules, ce système permet de réduire le nombre de voitures en circulation et en stationnement. Ainsi, un véhicule en autopartage peut remplacer jusqu'à 8 voitures particulières et libérer 80% de l'espace public.
Cette optimisation de l'usage des véhicules est bénéfique pour les entreprises implantées en milieu urbain. En réduisant leur flotte de véhicules de fonction au profit de l'autopartage, elles peuvent diminuer leurs besoins en stationnement et réaliser des économies en termes de coûts immobiliers. Elles contribuent aussi à améliorer la qualité de vie en ville, en libérant de l'espace pour d'autres usages.
Anticipez les évolutions futures de la mobilité professionnelle
Intégrer l'autopartage dans votre plan de mobilité

Pour les entreprises soucieuses de leur impact environnemental et de leur efficacité économique, l'autopartage s'impose comme une solution d'avenir. En intégrant cette approche dans leur plan de mobilité, elles anticipent les évolutions du secteur et se positionnent comme des acteurs responsables et innovants.
Concrètement, cela suppose de repenser la politique de déplacements professionnels, en favorisant les modes de transport durables et partagés. L'autopartage peut ainsi être combiné avec d'autres solutions, comme le covoiturage, les transports en commun ou encore le vélo, pour offrir aux collaborateurs une palette de services adaptés à leurs besoins. Cette démarche volontariste est un levier de performance et d'attractivité pour l'entreprise.
Opter pour des solutions flexibles et innovantes
Critères de choix | Solutions Evera |
---|---|
Services inclus | Assurance, entretien, assistance 24/7 |
Accompagnement | Conseil personnalisé pour définir la solution adaptée |
Innovation | Véhicules électriques connectés et application de gestion |
Face aux enjeux de la transition écologique et de la transformation des modes de travail, les entreprises doivent faire preuve d'agilité dans leur approche de la mobilité. L'autopartage s'inscrit pleinement dans cette dynamique, en proposant des solutions flexibles et évolutives.
En choisissant un opérateur comme Evera, les entreprises bénéficient d'un accompagnement sur-mesure pour définir la solution la plus adaptée à leurs besoins. Avec des formules d'abonnement souples, sans engagement et incluant tous les services (assurance, entretien, assistance), elles peuvent composer leur mix de mobilité en toute liberté. Cette approche leur permet d'être réactives face aux évolutions du marché et de s'adapter en permanence aux attentes de leurs collaborateurs.
En conclusion, l'autopartage électrique offre aux entreprises une solution durable et économique pour optimiser leur mobilité. Il permet de réduire les coûts, de gagner en flexibilité et d'agir en faveur de l'environnement, tout en libérant l'espace urbain. En intégrant cette approche dans leur stratégie, les entreprises anticipent les évolutions de la mobilité et renforcent leur attractivité.
Avec des solutions sur-mesure comme celles proposées par Evera, l'autopartage électrique s'adapte aux besoins de chaque structure, des indépendants aux grands groupes. Une révolution est en marche dans la mobilité d'entreprise. Serez-vous prêts à relever le défi de l'autopartage pour transformer durablement vos déplacements professionnels ?
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