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Transition énergétique des flottes : records de septembre 2025, nouvelles primes et dynamiques de marché

7/10/2025

Un marché en pleine évolution : pourquoi septembre 2025 est un mois historique

Le mois de septembre 2025 marque un tournant pour la transition énergétique. Pour la première fois, plus d’un cinquième des immatriculations françaises de voitures particulières sont des véhicules électriques. Cette progression fulgurante est portée par l’élargissement de l’offre (Renault 5, Skoda Elroq, Scénic E‑Tech, etc.), l’engagement des entreprises et un arsenal d’incitations publiques. Les flottes d’entreprise, longtemps à la traîne, deviennent désormais le moteur de l’électrification : leurs immatriculations de VE ont bondi de 51,6 %. Les véhicules électrifiés (100 % électriques et hybrides) représentent plus de 74 % des mises à la route sur ce segment.

Les chiffres clés de septembre 2025

Tableau de synthèse des immatriculations

Indicateur Valeur
Immatriculations de voitures particulières 140 354
Croissance globale vs septembre 2024 +1 %
Part des véhicules électriques (VP) ≈22 %
Part des VE dans les flottes 20,7 % (24,7 % VP ; 14,17 % VUL)
Progression mensuelle des immatriculations de VE en flottes +51,6 %
Part des hybrides simples et micro‑hybrides +39,2 % / +39,6 %
Part de l’essence (VP flottes) 16,1 %
Part du diesel (VUL flottes) 31,7 %

Ce tableau résume les principaux indicateurs du marché : il montre la progression rapide de l’électrique et la chute des motorisations thermiques.

Une progression globale en trompe‑l’œil

Le marché global progresse de 1 % grâce à un jour ouvré supplémentaire. Ce rebond masque toutefois un repli des flottes (–7 % toutes motorisations confondues). En réalité, le mix énergétique se renverse : l’essence ne représente plus que 16,1 % des immatriculations de voitures particulières en flotte et le diesel 31,7 % des utilitaires. Les hybrides simples et micro‑hybrides, en forte croissance, servent de tremplin, mais ce sont les VE qui assurent l’essentiel de la dynamique.

Ce qui soutient la dynamique : bonus, leasing social et innovations

Nouveau bonus de 1 000 €

Depuis le 1er octobre 2025, l’État octroie une prime supplémentaire de 1 000 € pour l’achat d’un véhicule électrique assemblé en Europe et doté d’une batterie européenne. Cumulable avec le bonus écologique (jusqu’à 5 200 €), cette aide favorise les modèles produits localement et renforce la compétitivité des VE. Pour identifier rapidement les modèles éligibles, utilisez notre comparateur de véhicules électriques et notre simulateur TCO.

Retour du leasing social

Le leasing social fait son retour depuis le 30 septembre 2025. Destiné aux ménages modestes, il prévoit la mise à disposition d’au moins 50 000 voitures électriques pour des loyers inférieurs à 200 € par mois, avec au moins un modèle proposé à moins de 140 €. Bien qu’orienté vers les particuliers, ce dispositif contribue à structurer le marché de l’occasion, à sensibiliser les collaborateurs et à préparer les flottes à l’électrification. En tant qu’employeur, favoriser l’accès à ces offres renforce votre marque employeur et votre stratégie RSE.

Comment les entreprises réagissent‑elles ? Tendances et retours d’expérience

Un engouement massif… mais des freins persistent

Une enquête de l’Avere‑France révèle que 90 % des entreprises envisagent d’acquérir des VE et 94 % souhaitent dépasser les obligations légales. Cependant, plusieurs freins subsistent :

  • Cas d’usage complexes : certains métiers requièrent une autonomie importante ou une capacité de remorquage que l’offre actuelle ne couvre pas.
  • Manque d’offre sur certains segments, notamment pour les utilitaires longue autonomie.
  • Réticence des conducteurs, liée à la peur de la panne ou au temps de recharge.
  • Gestion de la recharge : 94 % des entreprises fournissent des cartes de recharge à leurs collaborateurs, mais 26 % rencontrent des difficultés avec les bornes publiques. L’installation en copropriété reste un défi.
  • Besoins de formation : 45 % des entreprises demandent des formations dédiées à la mobilité électrique.

Pour lever ces obstacles, Evera propose des sessions de formation et un outil Car Policy qui permet de structurer une politique de mobilité adaptée à chaque entreprise.

Le rôle des nouveaux modèles et des constructeurs

L’offre s’enrichit rapidement. L’arrivée du Kia PV5, utilitaire modulable commercialisé à partir de 33 500 € HT, offre une autonomie jusqu’à 397 km WLTP et un volume de chargement de 4,4 m³. Les constructeurs français accélèrent le rythme : Renault augmente la cadence de la Renault 5, Skoda lance le Elroq, et le groupe Stellantis multiplie les versions micro-hybridées. Tesla, avec son Model Y, reste en tête des immatriculations, même si la Renault 5 domine le cumul annuel. Ces nouveautés, combinées à la prime et au leasing social, expliquent l’explosion des commandes.

Le marché de l’occasion en pleine structuration

L’essor des ventes de VE neufs entraîne une hausse parallèle des transactions d’occasion : celles-ci ont progressé de 44 % en septembre. Le certificat SoH d’Ayvens et la confiance croissante des acheteurs renforcent cette tendance. Le coût total de possession (TCO) d’un VE diminue grâce à une valeur résiduelle plus stable. Utilisez notre simulateur TCO pour comparer les coûts d’un VE avec ceux d’un véhicule thermique.

Stratégies recommandées pour accélérer la transition

1 – Intégrer la réglementation et les incitations

Les quotas de verdissement imposés par la loi LOM (10 % en 2022, 20 % en 2024, 40 % en 2027, 70 % en 2030) exigent une planification rigoureuse. Anticipez les restrictions des zones à faibles émissions (Crit’Air 3 interdit en 2024, Crit’Air 2 en 2025) et les sanctions progressives. Notre simulateur TCO et le simulateur Avantages en nature vous aident à mesurer l’impact de l’électrification sur vos coûts.

2 – Développer l’infrastructure et la gestion des recharges

La France comptait plus de 160 000 points de recharge publics en février 2025 (+30 % sur un an). Pourtant, la densité demeure inégale. Installez des bornes sur vos sites, négociez des tarifs préférentiels et organisez des recharges nocturnes. Des solutions comme myEvera  ou l’agent IA de Monta facilitent la gestion en temps réel.

3 – Former et engager les conducteurs

La réussite de la transition repose sur l’adhésion des collaborateurs. Organisez des sessions de test, enseignez l’éco‑conduite et communiquez sur les économies : un VE coûte environ 3 €/100 km contre 12–15 € pour un véhicule thermique. Evera propose des formations et un audit gratuit de votre flotte pour identifier les leviers de motivation.

4 – Exploiter les outils numériques et la donnée

Le reporting LOM exige une traçabilité complète des immatriculations, kilométrages, consommations et émissions. Les plateformes comme Evera Fleet centralisent ces informations, automatisent la conformité réglementaire et gèrent la maintenance, les contraventions et le TCO. Elles facilitent également la géolocalisation et la gestion des avantages en nature.

5 – Anticiper les besoins en multimodalité et en nouvelles énergies

La mobilité de demain sera multimodale. Les entreprises devront intégrer l’autopartage, le covoiturage et la mobilité douce. Les directives européennes CSRD et SFDR exigeront un reporting complet des émissions directes et indirectes. Chaque kilomètre, chaque recharge et chaque litre de carburant devront être comptabilisés. Préparez-vous à intégrer des stations d’hydrogène comme celle de Créteil et à développer les infrastructures pour poids lourds. Pour plus d’inspiration, consultez notre article sur l’autopartage électrique et notre guide sur les bornes de recharge en entreprise.

Conclusion et appel à l’action

La combinaison d’incitations financières (bonus de 1 000 €, leasing social), de performances technologiques (modèles améliorés, IA pour la recharge, certificat SoH) et de contraintes réglementaires transforme l’automobile d’entreprise. Les chiffres de septembre 2025 montrent que l’électrification n’est plus un choix mais un impératif économique et écologique. Les dirigeants de PME/ETI et les DAF qui agiront rapidement bénéficieront d’une longueur d’avance : réduction du coût total de possession, amélioration de la marque employeur et conformité réglementaire.

Pour concrétiser cette transition, faites appel aux experts d’Evera. Nous vous accompagnons de l’audit de vos besoins à la mise en place de bornes de recharge sur site, en passant par l’électrification de votre flotte grâce à notre plateforme de gestion et nos offres de leasing sur mesure. Planifiez dès maintenant une démonstration personnalisée et transformez votre mobilité en avantage compétitif.

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7/10/2025

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Le mois de septembre 2025 marque un tournant pour la transition énergétique. Pour la première fois, plus d’un cinquième des immatriculations françaises de voitures particulières sont des véhicules électriques. Cette progression fulgurante est portée par l’élargissement de l’offre (Renault 5, Skoda Elroq, Scénic E‑Tech, etc.), l’engagement des entreprises et un arsenal d’incitations publiques. Les flottes d’entreprise, longtemps à la traîne, deviennent désormais le moteur de l’électrification : leurs immatriculations de VE ont bondi de 51,6 %. Les véhicules électrifiés (100 % électriques et hybrides) représentent plus de 74 % des mises à la route sur ce segment.

Les chiffres clés de septembre 2025

Tableau de synthèse des immatriculations

Indicateur Valeur
Immatriculations de voitures particulières 140 354
Croissance globale vs septembre 2024 +1 %
Part des véhicules électriques (VP) ≈22 %
Part des VE dans les flottes 20,7 % (24,7 % VP ; 14,17 % VUL)
Progression mensuelle des immatriculations de VE en flottes +51,6 %
Part des hybrides simples et micro‑hybrides +39,2 % / +39,6 %
Part de l’essence (VP flottes) 16,1 %
Part du diesel (VUL flottes) 31,7 %

Ce tableau résume les principaux indicateurs du marché : il montre la progression rapide de l’électrique et la chute des motorisations thermiques.

Une progression globale en trompe‑l’œil

Le marché global progresse de 1 % grâce à un jour ouvré supplémentaire. Ce rebond masque toutefois un repli des flottes (–7 % toutes motorisations confondues). En réalité, le mix énergétique se renverse : l’essence ne représente plus que 16,1 % des immatriculations de voitures particulières en flotte et le diesel 31,7 % des utilitaires. Les hybrides simples et micro‑hybrides, en forte croissance, servent de tremplin, mais ce sont les VE qui assurent l’essentiel de la dynamique.

Ce qui soutient la dynamique : bonus, leasing social et innovations

Nouveau bonus de 1 000 €

Depuis le 1er octobre 2025, l’État octroie une prime supplémentaire de 1 000 € pour l’achat d’un véhicule électrique assemblé en Europe et doté d’une batterie européenne. Cumulable avec le bonus écologique (jusqu’à 5 200 €), cette aide favorise les modèles produits localement et renforce la compétitivité des VE. Pour identifier rapidement les modèles éligibles, utilisez notre comparateur de véhicules électriques et notre simulateur TCO.

Retour du leasing social

Le leasing social fait son retour depuis le 30 septembre 2025. Destiné aux ménages modestes, il prévoit la mise à disposition d’au moins 50 000 voitures électriques pour des loyers inférieurs à 200 € par mois, avec au moins un modèle proposé à moins de 140 €. Bien qu’orienté vers les particuliers, ce dispositif contribue à structurer le marché de l’occasion, à sensibiliser les collaborateurs et à préparer les flottes à l’électrification. En tant qu’employeur, favoriser l’accès à ces offres renforce votre marque employeur et votre stratégie RSE.

Comment les entreprises réagissent‑elles ? Tendances et retours d’expérience

Un engouement massif… mais des freins persistent

Une enquête de l’Avere‑France révèle que 90 % des entreprises envisagent d’acquérir des VE et 94 % souhaitent dépasser les obligations légales. Cependant, plusieurs freins subsistent :

  • Cas d’usage complexes : certains métiers requièrent une autonomie importante ou une capacité de remorquage que l’offre actuelle ne couvre pas.
  • Manque d’offre sur certains segments, notamment pour les utilitaires longue autonomie.
  • Réticence des conducteurs, liée à la peur de la panne ou au temps de recharge.
  • Gestion de la recharge : 94 % des entreprises fournissent des cartes de recharge à leurs collaborateurs, mais 26 % rencontrent des difficultés avec les bornes publiques. L’installation en copropriété reste un défi.
  • Besoins de formation : 45 % des entreprises demandent des formations dédiées à la mobilité électrique.

Pour lever ces obstacles, Evera propose des sessions de formation et un outil Car Policy qui permet de structurer une politique de mobilité adaptée à chaque entreprise.

Le rôle des nouveaux modèles et des constructeurs

L’offre s’enrichit rapidement. L’arrivée du Kia PV5, utilitaire modulable commercialisé à partir de 33 500 € HT, offre une autonomie jusqu’à 397 km WLTP et un volume de chargement de 4,4 m³. Les constructeurs français accélèrent le rythme : Renault augmente la cadence de la Renault 5, Skoda lance le Elroq, et le groupe Stellantis multiplie les versions micro-hybridées. Tesla, avec son Model Y, reste en tête des immatriculations, même si la Renault 5 domine le cumul annuel. Ces nouveautés, combinées à la prime et au leasing social, expliquent l’explosion des commandes.

Le marché de l’occasion en pleine structuration

L’essor des ventes de VE neufs entraîne une hausse parallèle des transactions d’occasion : celles-ci ont progressé de 44 % en septembre. Le certificat SoH d’Ayvens et la confiance croissante des acheteurs renforcent cette tendance. Le coût total de possession (TCO) d’un VE diminue grâce à une valeur résiduelle plus stable. Utilisez notre simulateur TCO pour comparer les coûts d’un VE avec ceux d’un véhicule thermique.

Stratégies recommandées pour accélérer la transition

1 – Intégrer la réglementation et les incitations

Les quotas de verdissement imposés par la loi LOM (10 % en 2022, 20 % en 2024, 40 % en 2027, 70 % en 2030) exigent une planification rigoureuse. Anticipez les restrictions des zones à faibles émissions (Crit’Air 3 interdit en 2024, Crit’Air 2 en 2025) et les sanctions progressives. Notre simulateur TCO et le simulateur Avantages en nature vous aident à mesurer l’impact de l’électrification sur vos coûts.

2 – Développer l’infrastructure et la gestion des recharges

La France comptait plus de 160 000 points de recharge publics en février 2025 (+30 % sur un an). Pourtant, la densité demeure inégale. Installez des bornes sur vos sites, négociez des tarifs préférentiels et organisez des recharges nocturnes. Des solutions comme myEvera  ou l’agent IA de Monta facilitent la gestion en temps réel.

3 – Former et engager les conducteurs

La réussite de la transition repose sur l’adhésion des collaborateurs. Organisez des sessions de test, enseignez l’éco‑conduite et communiquez sur les économies : un VE coûte environ 3 €/100 km contre 12–15 € pour un véhicule thermique. Evera propose des formations et un audit gratuit de votre flotte pour identifier les leviers de motivation.

4 – Exploiter les outils numériques et la donnée

Le reporting LOM exige une traçabilité complète des immatriculations, kilométrages, consommations et émissions. Les plateformes comme Evera Fleet centralisent ces informations, automatisent la conformité réglementaire et gèrent la maintenance, les contraventions et le TCO. Elles facilitent également la géolocalisation et la gestion des avantages en nature.

5 – Anticiper les besoins en multimodalité et en nouvelles énergies

La mobilité de demain sera multimodale. Les entreprises devront intégrer l’autopartage, le covoiturage et la mobilité douce. Les directives européennes CSRD et SFDR exigeront un reporting complet des émissions directes et indirectes. Chaque kilomètre, chaque recharge et chaque litre de carburant devront être comptabilisés. Préparez-vous à intégrer des stations d’hydrogène comme celle de Créteil et à développer les infrastructures pour poids lourds. Pour plus d’inspiration, consultez notre article sur l’autopartage électrique et notre guide sur les bornes de recharge en entreprise.

Conclusion et appel à l’action

La combinaison d’incitations financières (bonus de 1 000 €, leasing social), de performances technologiques (modèles améliorés, IA pour la recharge, certificat SoH) et de contraintes réglementaires transforme l’automobile d’entreprise. Les chiffres de septembre 2025 montrent que l’électrification n’est plus un choix mais un impératif économique et écologique. Les dirigeants de PME/ETI et les DAF qui agiront rapidement bénéficieront d’une longueur d’avance : réduction du coût total de possession, amélioration de la marque employeur et conformité réglementaire.

Pour concrétiser cette transition, faites appel aux experts d’Evera. Nous vous accompagnons de l’audit de vos besoins à la mise en place de bornes de recharge sur site, en passant par l’électrification de votre flotte grâce à notre plateforme de gestion et nos offres de leasing sur mesure. Planifiez dès maintenant une démonstration personnalisée et transformez votre mobilité en avantage compétitif.

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Tous
15/7/2025

Utilitaires électriques : La solution d'avenir pour les professionnels

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Les utilitaires électriques offrent de nombreux avantages pour les artisans et les professionnels. Réduction des coûts d'exploitation, performances adaptées aux besoins, avantages concurrentiels... Découvrez comment ces véhicules peuvent révolutionner votre activité et vous faire gagner en productivité.

Réduction des coûts d'exploitation

Diminution des visites à l'atelier et des factures d'entretien

Les utilitaires électriques offrent des coûts d'entretien réduits grâce à leur mécanique simplifiée. L'absence de nombreuses pièces mobiles permet de diminuer significativement les visites à l'atelier et d'alléger les factures d'entretien.

Cette réduction des temps d'immobilisation pour maintenance a un impact positif sur la productivité des artisans. Moins de temps passé à l'atelier signifie plus de temps disponible pour réaliser des interventions et générer du chiffre d'affaires.

Optimisation du ROI de la flotte automobile

L'adoption d'un utilitaire électrique permet aux artisans de réaliser des économies substantielles sur le long terme. Les coûts d'utilisation réduits, combinés à la diminution des frais d'entretien, contribuent à optimiser le retour sur investissement de leur flotte automobile.

Sur une période d'utilisation de plusieurs années, ces économies peuvent représenter des milliers d'euros, renforçant ainsi la rentabilité de l'activité artisanale. Un argument de poids pour franchir le pas vers l'électrique.

Expansion du réseau de bornes de recharge

L'expansion du réseau de recharge offre de nombreux avantages aux artisans :

  • La densification du maillage de bornes publiques facilite l'accès à la recharge sur l'ensemble du territoire
  • 99% des aires de service des autoroutes concédées sont équipées de bornes de recharge rapide (>150 kW), permettant une recharge en moins de 20 minutes lors des déplacements
  • À partir de 2025, les parkings de plus de 20 places des bâtiments ouverts au public devront être équipés de bornes sur au moins 5% des emplacements, augmentant les opportunités de recharge chez les clients

Pour les artisans, cette expansion du réseau se traduit par un ROI approfondi grâce à la réduction des temps d'arrêt pour la recharge et l'augmentation de la productivité liée à une meilleure planification des trajets. L'accès garanti aux zones à faibles émissions (ZFE) dans les grandes villes avec un utilitaire électrique assure également la continuité des activités.

Performances adaptées aux besoins professionnels

Variété des formats et autonomies optimisées

Les constructeurs proposent aujourd'hui une large gamme d'utilitaires électriques, avec des formats adaptés à chaque métier. Du petit fourgon compact au grand volume, en passant par les versions frigorifiques ou bennes, les artisans peuvent trouver le véhicule correspondant précisément à leurs besoins.

De plus, les autonomies ne cessent de progresser, avec des modèles offrant désormais plus de 300 km d'autonomie réelle. De quoi couvrir la majorité des tournées quotidiennes des professionnels sans appréhension.

Prenons l'exemple d'un plombier qui doit transporter son matériel et ses fournitures sur les chantiers. Avec un utilitaire électrique comme le Renault Kangoo Van E-tech, il bénéficie d'un volume de chargement jusqu'à 4,2 m3 et d'une autonomie de 260 km, largement suffisante pour ses déplacements journaliers. La recharge rapide permet de récupérer 170 km en seulement 27 min lors de la pause déjeuner.

Capacités de charge et volumes de chargement préservés

Fini le temps où l'électrification rimait avec compromis sur les performances. Les utilitaires électriques récents offrent des capacités de charge et des volumes de chargement équivalents à leurs homologues thermiques.

Avec des charges utiles dépassant fréquemment la tonne et des volumes allant jusqu'à 20m3, ces véhicules répondent aux exigences des chantiers et livraisons les plus variés. La transition électrique se fait en douceur, sans bouleverser les habitudes de travail.

Solutions d'aménagement sur-mesure

Pour optimiser l'espace de travail mobile, les constructeurs proposent des solutions d'aménagement sur-mesure selon les métiers. Étagères, tiroirs, établis, rangements spécifiques... Tout est prévu pour faciliter le quotidien des artisans.

Ces aménagements permettent de gagner en efficacité sur les chantiers, en ayant toujours le bon outil à portée de main. Ils participent également à renforcer l'image professionnelle de l'entreprise auprès des clients.

Avantages des utilitaires électriquesBénéfices pour les artisans
Large gamme de formats disponiblesVéhicule adapté à chaque métier
Autonomies dépassant les 300 kmCouverture des tournées quotidiennes sans souci
Capacités de charge préservéesRéponse aux exigences des chantiers sans compromis
Volumes de chargement jusqu'à 20m3Transport de matériel volumineux facilité
Aménagements sur-mesureOptimisation de l'espace de travail mobile

Avantages concurrentiels et image de marque

Élargissement de la clientèle éco-responsable

Opter pour un utilitaire électrique, c'est s'ouvrir à une nouvelle clientèle sensible aux enjeux environnementaux. De plus en plus de particuliers et d'entreprises privilégient les prestataires éco-responsables pour leurs travaux et services.

En communiquant sur cette démarche vertueuse, les artisans peuvent se démarquer de la concurrence et capter ce segment de marché en pleine expansion. Un avantage concurrentiel qui sera de plus en plus décisif à l'avenir.

Imaginons une entreprise d’électricien qui décide de convertir sa flotte d'utilitaires à l'électrique. En mettant en avant cet engagement écologique sur son site web, ses devis et ses véhicules, elle attire l'attention de clients soucieux de réduire leur empreinte carbone. Des clients prêts à la choisir face à des concurrents thermiques, pour des prestations à valeur ajoutée environnementale.

Renforcement de l'image de marque et différenciation

Au-delà de l'aspect purement commercial, l'adoption d'un véhicule électrique renforce l'image de marque de l'entreprise artisanale. Elle véhicule un message positif, tourné vers l'avenir et soucieux de l'impact environnemental de son activité.

Cette différenciation par les valeurs peut susciter l'adhésion et la fidélité des clients, mais aussi faciliter le recrutement de collaborateurs attachés à ces principes. De quoi bâtir une réputation d'entreprise responsable et innovante sur le long terme.

Accès aux zones à faibles émissions

Avec la multiplication des zones à faibles émissions (ZFE) dans les grandes villes, les utilitaires électriques offrent un avantage concurrentiel. Ils garantissent aux artisans un accès pérenne à ces zones, leur permettant de continuer à travailler auprès de leur clientèle urbaine.

À l'inverse, les entreprises équipées de véhicules thermiques risquent de voir leur activité limitée, voire compromise, dans ces zones. Un risque qui ira croissant avec le durcissement programmé des restrictions de circulation.

En conclusion, les utilitaires électriques apportent de solides avantages aux professionnels : une réduction des coûts d'exploitation grâce à une maintenance simplifiée, des performances adaptées aux besoins de chaque métier et une image de marque renforcée auprès d'une clientèle sensible à l'éco-responsabilité. La densification du réseau de recharge et l'accès garanti aux ZFE sont également des atouts indéniables pour assurer la pérennité des activités.

En s'orientant vers une mobilité électrique, les artisans s'inscrivent dans une dynamique vertueuse, alliant performance économique et responsabilité environnementale. Une démarche porteuse de sens pour l'avenir de leur entreprise. Et si la transition vers l'électrique était la clé pour booster votre productivité tout en réduisant votre empreinte carbone ?

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9/4/2025

Voitures thermiques en 2035 : quel avenir après le vote de l'Assemblée ?

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L'échéance de 2035 se rapproche à grands pas : mais quel avenir attend nos voitures thermiques ? On vous explique ici les enjeux de l'interdiction de la vente de voitures thermiques neuves en Europe, qui est manifestement un tournant décisif pour le marché automobile et la transition écologique. Voyons comment cette mesure européenne impactera votre quotidien : l'évolution des tarifs de l'électrique et les solutions alternatives type hydrogène. Bref, anticipez dès maintenant un futur dans lequel l'automobile rimera immanquablement avec électrique !

Cadre réglementaire de l'interdiction des véhicules thermiques

L'engagement climatique de l'Union Européenne

L'interdiction de la vente de voitures thermiques neuves en 2035 s'impose comme une pièce maîtresse du Pacte Vert européen — un pacte visant à atteindre la neutralité climatique en Europe d'ici à 2050. L'objectif central vise une baisse d'au moins 55% des émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2030.

Les principales étapes se structurent ainsi :

  1. Adoption du Pacte Vert européen.
  2. Fixation d'objectifs de réduction des émissions pour 2030.
  3. Validation de l'interdiction des véhicules thermiques neufs en 2035.
  4. Actualisation périodique des objectifs et des mesures.

 

Il est nécessaire de préciser que des exemptions sont prévues, notamment pour les petits constructeurs et l'utilisation de carburants alternatifs. Ces exceptions relativisent le caractère radical de l'interdiction des moteurs thermiques, puisque la loi autorise une transition plus progressive, pour répondre aux contraintes industrielles.

La transposition controversée en droit français

L'Assemblée Nationale a rejeté l'inscription de la date de 2035 dans la loi française. Ce rejet met en lumière les tensions qui peuvent exister entre les engagements européens et la souveraineté nationale. La France appliquera-t-elle réellement cette mesure ? Le débat reste ouvert et alimenté les débats.

Partie PrenantePosition PrincipaleArguments Clés
GouvernementAccélérer l'adoption des véhicules électriquesÉlus de gauche (concernant les ZFE)
Élus favorables à la suppression des ZFE (Mars 2025)Suppression des Zones à Faibles Émissions (ZFE)Réduction des émissions de gaz à effet de serre, soutenir une industrie automobile durable, objectif de 2 millions de voitures électriques en circulation d'ici à 2030.
Gouvernement (concernant les ZFE)Maintien des Zones à Faibles Émissions (ZFE)Ces zones aggravent les inégalités sociales et sont potentiellement inutiles pour améliorer la qualité de l'air, favorisant un clivage territorial.
Élus de gauche (concernant les ZFE)Amélioration de la mise en œuvre des ZFELes ZFE ont un effet sur la réduction des émissions, avec une baisse de plus d'un tiers de la concentration de dioxyde d'azote dans les villes où elles sont appliquées (Lyon et Paris).
Automobilistes FrançaisEngouement grandissant pour l'électromobilitéQuatre automobilistes sur dix se disent prêts à investir dans un véhicule hybride (rechargeable ou non) dans les deux ans.

Ce tableau résume un comparatif des positions politiques en France concernant l'électromobilité, en exposant les arguments principaux de chaque partie prenante. Il inclut les positions du gouvernement, des élus favorables à la suppression des ZFE, des élus de gauche sur le sujet des ZFE et l'intérêt des automobilistes français pour l'électromobilité.

Confrontés à ces incertitudes juridiques, les constructeurs automobiles manifestent leurs inquiétudes. Ils réclament plus de clarté et de souplesse pour s'adapter aux nouvelles exigences. En réalité, l'industrie se retrouve coincée face à des défis complexes : les objectifs environnementaux européens, les réalités économiques nationales et les demandes des utilisateurs. Mais comment résoudre ces contradictions ? Ces incertitudes juridiques ont des conséquences directes sur leurs stratégies — c'est là tout le paradoxe.

Tous les véhicules neufs vendus dans l'UE à partir de 2035 devront avoir zéro émission de CO2.

Mutation forcée pour les acteurs du secteur

Stratégies d'adaptation des constructeurs

Les constructeurs automobiles investissent massivement en R&D — L'objectif principal ? C'est l'électrification accélérée des gammes. Puisque cette transformation des modèles industriels représente un défi majeur. Mais quels obstacles technologiques les fabricants doivent-ils surmonter ?

Les constructeurs nouent des partenariats pour sécuriser l'approvisionnement en batteries. De nouvelles dépendances stratégiques apparaissent. Voilà un enjeu de taille pour l'Europe : comment garantir la souveraineté industrielle dans ce nouveau contexte ?

Enjeux économiques et sociaux

La filière des moteurs thermiques subit de plein fouet ces mutations. Des suppressions d'emplois se profilent à l'horizon. La transition énergétique engendre paradoxalement des défis sociaux majeurs et des reconversions sont nécessaires.

Signalons quelques mesures clés pour accompagner les sous-traitants automobiles :

  • Soutien actif à la reconversion professionnelle
  • Aides financières facilitant la diversification d'activités
  • Appui technique pour la transition numérique
  • Accès privilégié aux formations sur les métiers émergents

 

La compétitivité face aux constructeurs chinois suscite des inquiétudes croissantes. On craint surtout une désindustrialisation et domination asiatique, phénomène particulièrement préoccupant, car cet enjeu est de taille pour l'industrie automobile européenne et l'on redoute une domination asiatique.

Pour répondre à ce défi, il devient crucial d'envisager les répercussions à moyen terme de ces mutations, en anticipant les futures compétences requises, en stimulant l'innovation tout en favorisant une collaboration étroite entre tous les maillons de la chaîne. Seule cette approche l'industrie automobile européenne pourra maintenir sa compétitivité et assurer sa pérennité dans un paysage mondial en mutation rapide.

Rappelons que le gouvernement français vise 26 % de véhicules électriques dans les pour les voitures neuves des particuliers en 2025 et 66 % en 2030, selon la dernière révision de la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC).

Répercussions sur les particuliers et professionnels

Évolution du marché de l'occasion

La valeur résiduelle des véhicules thermiques reste incertaine, les consommateurs devraient anticiper. Est-ce vraiment rentable d'acheter un thermique d'occasion ? Les choix d'achat doivent être guidés pour prendre des décisions 

Manifestement, les réglementations prévues dans les ZFE méritent une analyse minutieuse. De nouvelles restrictions de circulation pourraient bien se multiplier. Voyons comment évolueront les critères antipollution ? Il mieux vaut se préparer à ces changements ; gardez toujours une longueur d'avance sur les dernières informations — restez informés pour rester informé et anticiper efficacement les évolutions à venir.

Subventions et incitations financières

Le gouvernement met en place des incitations pour les véhicules électriques. Un état des lieux s'impose. Qui bénéficie réellement des bonus ? L'accessibilité concrète des véhicules électriques mérite qu'on s'y attarde. Simplifiez vos démarches administratives en étudiant les alternatives ; trouvez la solution idéale pour votre situation — une étape cruciale pour optimiser votre expérience et réduire vos tracas.

Les organisations citoyennes pointent du doigt les mesures actuelles ; dénonçant des disparités persistantes. Ces aides sont-elles suffisantes pour les ménages modestes ? La question mérite qu'on la soulève. Nous pouvons vous éclairer dans cette réflexion ; prenez le contrôle de votre transition écologique – explorez nos conseils pour mieux appréhender et saisir toutes les implications de cette mutation.

Solutions de transition énergétique

Hydrogène et biocarburants

Les technologies alternatives progressent : c’est un fait. L'hydrogène et les biocarburants sont des options à considérer. Mais au fait, quels sont les acteurs qui misent vraiment sur l'hydrogène ? Ces solutions sont complémentaires à l'électrique… — et ça, c’est crucial souligner.

Le déploiement de ces alternatives rencontre des obstacles réglementaires. Voyons, pourquoi ces solutions restent-elles marginales ? Force est de constater qu’il est crucial d'analyser ces freins pour accélérer leur adoption ; vu que l'avenir énergétique en dépend, disons-le que cette analyse est primordiale.

Infrastructures de recharge

Le déploiement des bornes en France est en cours. Faisons le point. Mais quels territoires sont sous-équipés ? La préparation technique du territoire est un enjeu de taille pour faciliter l'adoption des véhicules électriques. En somme, une planification rigoureuse et une allocation efficace des ressources s’avèrent indispensables pour garantir que chaque région puisse bénéficier d'une infrastructure de recharge adéquate, favorisant ainsi une transition énergétique équitable et accessible à tous.

Quant au raccordement électrique massif pose des défis importants. Les besoins en production d'énergie font bond. Alors comment garantir l'alimentation des véhicules électriques ? Impossible de faire l’impasse ces enjeux pour assurer une transition énergétique réussie — l’enjeu est de taille.

Scénarios pour l'après-2035

Adaptation des politiques publiques

Penchons-nous sur l'adaptation des politiques publiques à l'horizon 2035. Il est important d'étudier les marges de manœuvre réglementaires. Des flexibilités sont envisageables, et on pourrait se demander si l'Union Européenne pourrait envisager un report de l'échéance. L'analyse des marges de manœuvre doit donc être privilégiée pour anticiper les ajustements nécessaires.

Bruxelles prévoit des mécanismes de révision — ce qui nuance, il faut le dire, le caractère irréversible de la mesure. Il est pertinent de suivre de près ces évolutions et de déterminer quels critères pourraient déclencher un réexamen. Il convient donc de rester attentif aux signaux envoyés par les instances européennes.

Évolution des comportements mobilité

Les mobilités partagées gagnent du terrain, signe de transformations sociétales profondes. La possession automobile est-elle vraiment condamnée à disparaître ? Une question qui reste ouverte... ces tendances s'avèrent importantes à observer. Découvrez comment nous vous accompagnons à appréhender ces changements.

Les Zones à Faibles Émissions (ZFE) ont un impact direct sur les stratégies résidentielles entraînant, paradoxalement, des conséquences urbaines indirectes — Voilà pourquoi il importe d'anticiper ces évolutions pour mieux les maîtriser, en se demandant : allons-nous vraiment assister à un exode des centres-villes, en analysant les dynamiques à l'œuvre et en comprenant comment les politiques d'urbanisme peuvent influencer ces mouvements de population. Inscrivez-vous dès maintenant pour suivre nos analyses et décryptages.

2035 approche à grands pas : la fin des moteurs thermiques se précise – une véritable révolution qui transforme déjà le marché automobile. Voyons, préparez cette mutation énergétique dès maintenant en vous intéressant de près les modèles électriques et les solutions de recharge disponibles. Car enfin, l'avenir de la mobilité se dessine déjà sous nos yeux, il est temps de vous y préparer !

FAQ

Quels pays vont interdire les moteurs thermiques en 2035 ?

L'Union Européenne a pris une décision importante : l'interdiction de la vente de voitures neuves thermiques à partir de 2035 dans ses pays membres. Cependant, cette mesure demande que les voitures produites après cette date n’émettent plus de CO2 ; ce qui laisse la possibilité d'utiliser des automobiles à hydrogène, biocarburant ou à carburant de synthèse.

Certains pays de l'UE comme la Suède, l’Irlande ou les Pays-Bas, ont annoncé une échéance à 2030. La Norvège pourrait même devenir pionnière avec une fin des voitures thermiques dès 2025. Quant à la fin de la vente des voitures thermiques neuves en 2035 en France, elle reste incertaine.

Pourquoi les hybrides seront-ils interdits en 2035 ?

Les hybrides, qu'elles soient micro, simples ou rechargeables, sont concernées par l'interdiction de vente de véhicules thermiques neufs en 2035. La raison ? L'objectif est de réduire à 100% les émissions de CO2 des voitures neuves dans l'Union européenne. Même les véhicules dont le moteur thermique sert uniquement de générateur pour alimenter un moteur électrique sont concernés par cette interdiction.

Cette mesure s'inscrit dans une stratégie plus large : la décarbonation de l'économie et la lutte contre le réchauffement climatique. L'objectif est d'atteindre la neutralité carbone d'ici 2050. Dès lors, cela encourage à accélérer la transition vers des véhicules électriques à hydrogène ou utilisant des biocarburants ou carburants de synthèse.

Quels sont les 4 pays les plus vents debout contre l'interdiction des thermiques ?

En mars 2023, huit pays européens s'opposaient à l'interdiction de la vente de voitures neuves à moteur thermique en 2035 : Allemagne, Hongrie, Italie, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie et Slovaquie. L'Allemagne et l'Italie ont exprimé une forte opposition car leur industrie automobile nationale est très puissante.

La Pologne et la République tchèque, quant à elles, s'inquiètent des conséquences sur leurs nombreux sous-traitants automobiles et les emplois associés. Ces pays ont exprimé des préoccupations quant à l'impact économique de l'interdiction sur leur industrie automobile et leurs emplois.

Quelles sont les voitures qui n'auront plus le droit de circuler en 2025 ?

À partir du 1er janvier 2025, à Paris, les véhicules diesel de plus de 14 ans et les véhicules essence de plus de 19 ans (Crit’Air 3) ne pourront plus circuler dans la ZFE du lundi au vendredi de 8 h à 20 h. Certaines villes ont mis en place des Zones à Faibles Émissions mobilité (ZFE-m) qui restreignent la circulation de certains véhicules en fonction de leur vignette Crit’Air.

Les restrictions de circulation dans ces zones sont basées sur le système de vignettes Crit’Air qui classe les véhicules en fonction de leurs émissions polluantes. Certaines villes peuvent interdire l'accès aux véhicules les plus polluants (Crit’Air 4 ou 5 par exemple) de manière permanente ou temporaire.

Quelle voiture peut rouler jusqu'en 2035 ?

L'interdiction de vente de voitures thermiques neuves en 2035 en Europe ne signifie pas forcément l'interdiction de rouler avec ces véhicules. Les voitures à hydrogène, biocarburant ou carburant de synthèse pourront continuer d’être vendues après 2035. Seules les voitures à essence diesel et hybrides sont dans le viseur de l'interdiction.

Il est important de noter que l'objectif principal est de réduire les émissions de CO2 et non d'interdire tous les moteurs thermiques. Les carburants de synthèse fabriqués artificiellement à partir de carbone et d'hydrogène, pourraient permettre aux voitures thermiques de continuer à rouler après 2035 ; à condition que l'hydrogène utilisé soit vert.

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