Découvrez Evera Lease, la nouvelle référence du leasing sur-mesure pour véhicules électriques et hybrides, neufs ou reconditionnés, dédié aux entreprises.
Les avantages des véhicules électriques pour les TPE et PME en 2025
28/10/2024
L'adoption des véhicules électriques représente une opportunité majeure pour les petites et moyennes entreprises. En plus de contribuer à un avenir plus durable, ces véhicules offrent une multitude d'avantages économiques et sociaux. Dans cet article, nous explorerons en détail les bénéfices des voitures électriques pour les TPE et PME, en mettant l'accent sur les avantages fiscaux et les bénéfices environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).
Avantages fiscaux pour les TPE et PME
Réductions fiscales attractives
Les entreprises qui choisissent des véhicules électriques bénéficient de divers avantages fiscaux. En 2025, le gouvernement offre des incitations fiscales significatives pour encourager l'adoption de ces véhicules. Par exemple, vous pouvez bénéficier d'une déduction fiscale sur l'achat de voitures électriques, ce qui peut réduire considérablement leur coût initial. Pour en savoir plus sur ces avantages, consultez notre article détaillé sur lesavantages fiscaux des voitures électriques pour les entreprises.
Exonérations de taxes
En plus des réductions fiscales, les véhicules électriques bénéficient d'une série d'avantages économiques et fiscaux qui peuvent être très attractifs pour les entreprises, en particulier les TPE et PME. Outre l'exonération de la taxe sur les véhicules de société (TVS), les véhicules électriques peuvent également être exemptés d'autres taxes et bénéficier de subventions spécifiques.
Subventions et aides à l'achat
Les gouvernements locaux et régionaux offrent également des subventions pour l'achat de véhicules électriques, ce qui peut alléger encore davantage leur coût d'acquisition. Par exemple, en France, certaines régions offrent des subventions pouvant atteindre 6 000 euros pour l'achat de véhicules électriques par des entreprises.
Réduction des Coûts Opérationnels
L'un des principaux avantages des véhicules électriques pour les TPE et PME réside dans leur coût d'exploitation inférieur à celui des véhicules à essence ou diesel. Les moteurs électriques sont plus efficaces et nécessitent moins d'entretien mécanique. Avec une maintenance réduite et une consommation d'énergie moins coûteuse par kilomètre, les entreprises peuvent réaliser des économies significatives sur le long terme.
Les véhicules électriques subissent moins d'usure mécanique par rapport aux véhicules à moteur thermique. Par conséquent, ils nécessitent souvent moins de maintenance et sont réputés pour leur fiabilité accrue à long terme. Pour les TPE et PME, cela se traduit par des temps d'immobilisation réduits, une productivité améliorée de la flotte et des coûts de maintenance inférieurs. Ces avantages sont particulièrement attractifs pour les petites entreprises qui cherchent à optimiser l'efficacité opérationnelle et à minimiser les interruptions coûteuses.
Avantages ESG (Environnement, Social et Gouvernance)
Réduction de l'empreinte carbone
Les véhicules électriques sont une solution efficace pour réduire son empreinte carbone. En optant pour des voitures électriques, les TPE et PME peuvent réduire significativement leurs émissions de CO2.
Amélioration de l'image de marque
L'adoption de véhicules électriques permet d’améliorer son image de marque en montrant son engagement envers la durabilité et la responsabilité sociale. Cela peut attirer des clients soucieux de l'environnement et des partenaires commerciaux cherchant à collaborer avec des entreprises plus respectueuses de l'environnement. De plus, certaines personnes pourraient être plus intéressées par votre entreprise et ainsi favoriser l’attractivité de nouveaux talents. Faire le choix de l’éco-mobilité, c'est s’offrir une image de marque différenciante face à ses concurrents et affirmer une image positive.
Conformité aux réglementations ESG
De plus en plus de régulations exigent que les entreprises adoptent des pratiques respectueuses de l'environnement. L'utilisation de véhicules électriques aide les TPE et PME à se conformer à ces réglementations et à éviter les amendes potentielles. Par exemple, l'Union européenne impose des limites strictes sur les émissions de CO2 pour les entreprises et l'adoption de véhicules électriques permet de répondre à ces exigences.
Les véhicules électriques offrent des avantages non négligeables pour les TPE et PME, tant en termes fiscaux qu'en matière de responsabilité environnementale et sociale. En choisissant des voitures électriques, les petites entreprises peuvent non seulement réduire leurs coûts opérationnels, mais aussi améliorer leur image de marque et se conformer aux réglementations ESG en constante évolution. L'investissement dans des véhicules électriques représente une décision stratégique bénéfique à long terme pour toute entreprise cherchant à rester compétitive en 2025 et au-delà.
Quels sont les avantages fiscaux des véhicules électriques ? On vous donne tous les détails juste ici.
Contexte : un projet de loi de finances sous tension
La loi de finances est chaque année un moment clé pour les entreprises. Celle de 2026 est présentée dans un contexte de déficit public élevé et d’engagements climatiques renforcés. Le gouvernement affiche un triple objectif : réduire le déficit, financer les priorités stratégiques et accélérer la transition écologique. Le secteur automobile est au cœur de cette équation, car il représente une source majeure de recettes fiscales (malus, taxes sur les carburants, TVA) tout en étant un levier de décarbonation.
Les organisations professionnelles rappellent que l’année 2025 a déjà été très lourde fiscalement : malus CO₂ et malus au poids durcis, réforme des avantages en nature et mise en place d’une taxe incitative pour le verdissement des flottes. Mobilians, syndicat des métiers de l’automobile, craint que l’on en fasse « trop » : en juillet 2025, l’organisation soulignait que ces dispositifs risquent de faire chuter le marché de 7,5 % et de fragiliser loueurs et concessionnaires. Malgré ces appels, le PLF 2026 maintient une trajectoire fiscale ascendante.
Malus CO₂ : un barème 2028 plus sévère
Le cœur du projet concerne l’extension du malus CO₂. Déjà renforcé en 2025 et 2026, il est prolongé jusqu’en 2028 avec un barème plus sévère. À partir de 2028, la taxe serait due dès 98 g/km de CO₂ et atteindrait un maximum de 100 000 € pour les véhicules émettant plus de 187 g/km. Jusqu’ici, le plafond était de 50 000 € et le seuil de déclenchement de 123 g/km. Ce bond est spectaculaire et vise clairement les véhicules très puissants et lourds.
En pratique, le barème 2028 prévoit des paliers progressifs : un petit SUV émettant 110 g/km paierait environ 310 €, une berline à 140 g/km autour de 4 279 €, et un gros SUV à 180 g/km plus de 76 000 €. Ce malus s’ajoute au malus masse, aux taxes annuelles et à la TVS. En proposant ce barème à trois ans, le gouvernement offre de la visibilité aux acheteurs, mais envoie aussi un signal fort : les véhicules thermiques lourds deviendront financièrement intenables.
Une mesure pour accélérer l’électrification
L’objectif affiché est de concilier impératifs budgétaires et transition écologique. Le nouveau malus CO₂ exclut de facto les plus gros émetteurs tout en maintenant des aides ciblées (suramortissement, bonus et primes) pour accompagner les professionnels vers l’électrification. La fiscalité devient un levier pour orienter les achats : plus un véhicule est propre, moins il supporte de taxes, voire bénéficie d’exonérations.
Pour les gestionnaires de parc, cette évolution aura un impact direct sur le TCO. Les véhicules thermiques à forte cylindrée verront leur coût total exploser, alors que les véhicules électriques ou hydrogène resteront exonérés. Anticiper ce changement dès maintenant permet de planifier des renouvellements plus tôt et de bénéficier des dispositifs encore en vigueur (bonus écologique, prime complémentaire de 1 000 € pour les véhicules assemblés en Europe, etc.). Pour simuler l’impact fiscal en fonction du modèle et du kilométrage, vous pouvez utiliser notre simulateur TCO Evera.
Malus au poids : pas de durcissement du barème mais la fin du plafonnement
Le PLF 2026 ne modifie pas les montants du malus au poids pour 2028. La taxe, instaurée en 2022, reste applicable dès 1 500 kg (10 €/kg), puis s’élève par tranches de 15 €, 20 €, 25 € et 30 € au‑delà de 2 000 kg. En revanche, le texte supprime le plafonnement qui limitait la somme des malus CO₂ et poids. Autrement dit, les deux taxes s’additionneront intégralement, faisant grimper la facture pour les modèles lourds et polluants.
Exonérations et abattements réservés aux véhicules bas carbone
Autre nouveauté importante : l’exonération totale du malus masse ne sera plus accordée qu’aux véhicules à faible empreinte carbone. Les autres motorisations (micro-hybride, hybride simple, hybride rechargeable, électrique, hydrogène) pourront bénéficier d’abattements de 100 kg, 200 kg ou 600 kg selon l’année de première immatriculation. Par exemple :
Micro-hybrides et hybrides non rechargeables immatriculés en 2024 ou après : abattement de 100 kg.
Hybrides rechargeables immatriculés jusqu’au 30 juin 2026 : abattement de 200 kg, puis de 600 kg après le 1er juillet 2026.
Véhicules électriques et hydrogène : exonération ou abattement maximum selon la date d’immatriculation.
Les entreprises devront donc s’assurer que leurs prochains achats sont immatriculés au bon moment pour profiter des abattements maximaux. Si votre flotte compte encore des véhicules familiaux ou utilitaires lourds, il est urgent de revoir votre car‑policy et d’opter pour des modèles allégés (finition sans options superflues, véhicules compacts). Notre équipe peut vous accompagner dans cette démarche via un audit gratuit de votre flotte.
Taxe annuelle sur les émissions de CO₂ et autres dispositifs
Outre les malus, le PLF 2026 proroge et renforce la taxe annuelle sur les émissions de CO₂ (aussi appelée « taxe sur les véhicules puissants ») ainsi que la taxe annuelle sur les polluants atmosphériques. Les barèmes 2026 et 2028 ne sont pas détaillés dans le texte initial, mais le gouvernement envisage de maintenir une logique progressive similaire au malus CO₂, avec des montants qui augmentent fortement pour les grosses puissances.
Par ailleurs, le PLF propose de modifier les abattements applicables aux véhicules de huit places ou plus détenus par des personnes morales. Aujourd’hui, ces véhicules bénéficient d’un abattement de 85 g/km sur le malus CO₂ et de 500 kg sur le malus poids. Le projet prévoit d’ajuster ces abattements en fonction de l’année de première immatriculation, ce qui réduira les avantages pour les véhicules achetés après 2027. Les loueurs de minibus et de vans doivent donc surveiller de près le débat parlementaire.
Des critiques sur le manque d’ambition écologique
Malgré l’accent mis sur les malus, plusieurs ONG estiment que le PLF 2026 manque d’ambition environnementale. Le Réseau Action Climat (RAC) salue la suppression du plafonnement entre malus CO₂ et poids mais juge cette mesure « anecdotique » et réclame un abaissement du seuil du malus poids à 1 300 kg ainsi qu’un barème renforcé pouvant générer 1,5 milliard d’euros de recettes. Il regrette également l’absence d’éco‑conditionnalité des aides publiques et plaide pour orienter la fiscalité vers les grands pollueurs (aviation, engrais chimiques).
Ces critiques révèlent une tension : comment concilier les impératifs budgétaires et la transition écologique ? En l’absence de mesures plus globales (hausse de la taxe kérosène, réforme des niches fiscales), le gouvernement continue de s’appuyer largement sur les taxes automobiles pour financer son budget.
Impact pour les flottes et recommandations
L’effet cumulé du malus CO₂, du malus au poids et des taxes annuelles va mécaniquement augmenter le TCO des véhicules thermiques et lourds, ce qui favorise l’électrification. Dans ce contexte, les gestionnaires de flotte doivent agir sur plusieurs leviers :
Simuler l’impact fiscal : utilisez des outils comme notre simulateur TCO pour comparer le coût total d’un véhicule thermique et d’un véhicule électrique en intégrant malus, taxes annuelles, carburant/énergie et entretien.
Choisir des véhicules légers et éco‑scorés : privilégiez des modèles électriques ou hybrides rechargeables avec un poids contenu. Évitez les options qui alourdissent inutilement le véhicule (toits panoramiques, jantes XXL) et optez pour des utilitaires compacts qui restent en dessous des seuils de malus.
Anticiper la date d’immatriculation : certaines exonérations ne sont valables que pour les véhicules immatriculés avant une date précise (par exemple, abattement de 600 kg pour les hybrides rechargeables immatriculés à partir du 1er juillet 2026). Planifiez vos commandes en conséquence.
Profiter des dispositifs d’aide existants : malgré la fin du bonus écologique « coup de pouce » en juillet 2025, une prime complémentaire de 1 000 € est accordée aux véhicules électriques assemblés en Europe. Le leasing social revient également pour 2025/2026 avec des loyers subventionnés pour les ménages modestes – autant de mesures qui peuvent stimuler la demande et le marché de l’occasion.
Mettre à jour votre car‑policy et suivre les avantages en nature : la réforme des avantages en nature de février 2025 a augmenté la fiscalité des véhicules thermiques et encouragé les véhicules électriques (abattement de 70 % jusqu’à 4 582 €, TVS nulle, borne installée au domicile non considérée comme un avantage). Notre module de suivi et optimisation des avantages en nature vous aide à calculer et à déclarer ces avantages.
Adopter une stratégie de verdissement alignée sur la LOM : la loi d’orientation des mobilités (LOM) impose aux entreprises de plus de 100 véhicules d’intégrer 40 % de véhicules à faibles émissions dans leurs achats à partir du 1ᵉʳ janvier 2025, 50 % en 2027 et 70 % en 2030. En parallèle, une taxe incitative facture 2 000 € par véhicule manquant en 2025, 4 000 € en 2026 et 5 000 € en 2027. Le PLF 2026 ne modifie pas ces quotas mais son durcissement des malus renforce la nécessité de respecter la loi.
Exemple de calcul de TCO
Prenons un SUV essence de 1 650 kg émettant 140 g/km, au prix de 35 000 €. En 2028, il supporterait un malus CO₂ de 4 279 € et un malus au poids de 1 500 € (10 €/kg pour les 150 kg au‑dessus de 1 500 kg). S’y ajoutent la TVS et la taxe annuelle sur les émissions de CO₂. À l’inverse, une berline électrique équivalente bénéficie d’un bonus (selon le nouveau barème), d’une exonération de malus et d’une TVS nulle. Sur un contrat de trois ans, la différence de TCO peut dépasser 10 000 €. D’où l’importance de simuler chaque scénario.
Conclusion : anticiper et se faire accompagner
Le PLF 2026 confirme que l’automobile est un levier fiscal majeur et que la transition énergétique passera par des incitations comme par des pénalités. Les entreprises ne peuvent plus se permettre d’ignorer le poids croissant des malus. En parallèle, les critiques des ONG montrent que le débat parlementaire pourrait amender certaines mesures (abaissement du seuil du malus poids, éco‑conditionnalité). Reste que, pour les DAF et les gestionnaires de flotte, l’anticipation est la clé : simuler, planifier, investir dans des véhicules bas carbone et s’appuyer sur des outils professionnels.
Evera se tient à vos côtés pour vous aider à optimiser votre stratégie de mobilité. Nous vous proposons un accompagnement personnalisé, un calculateur TCO, un audit complet de votre flotte et des solutions de verdissement adaptées à votre activité. N’hésitez pas à planifier une démonstration pour découvrir comment nos outils peuvent réduire vos coûts et accélérer votre transition.
Depuis 2025, la réforme des avantages en nature (AEN) alourdit sensiblement la facture des véhicules de fonction. Les nouveaux coefficients forfaitaires gonflent la base imposable, avec des impacts directs pour les RH, les finances et les gestionnaires de flotte.
La bonne nouvelle : en passant à la méthode au réel, et en s’appuyant sur Evera Fleet pour le suivi et la justification, vous pouvez réduire fortement vos charges tout en restant totalement conforme.
Pourquoi les avantages en nature coûtent plus cher en 2025
La méthode forfaitaire reflète mal l’usage réel d’un véhicule. Avec la réforme 2025, les coefficients ont été relevés : si vous restez au forfait, la charge grimpe automatiquement.
Comparatif des barèmes (avant / après 2025)
Situation
Avant réforme
Après réforme 2025
Carburant privé pris en charge par l’entreprise
40 %
67 %
Carburant privé à la charge du collaborateur
30 %
50 %
La méthode au réel : une alternative simple, conforme et équitable
La méthode au réel calcule l’avantage sur la base de l’usage constaté : kilomètres professionnels vs personnels, coûts réels (loyers, énergie, entretien), et ventilation pro/perso. Résultat : une base imposable plus juste, donc moins de charges sociales pour l’entreprise et moins d’impôt pour le collaborateur.
Réduction de la base imposable (équité pro / perso)
Baisse des charges sociales et de l’impôt collaborateur
Conformité URSSAF si les données sont fiables et traçables
👉 Mettez ces économies en perspective avec votre TCO global.
Des économies concrètes et mesurables
Les gains sont immédiats quand on quitte le forfait pour le réel. Sur une flotte moyenne, on observe :
Baisse de 30 à 60 % des montants liés aux AEN lorsque le pro/perso réel diffère du forfait
Économies administratives grâce à l’automatisation (moins d’erreurs, moins d’aller-retour RH/collab)
Amélioration du pouvoir d’achat des collaborateurs par une base imposable plus juste
Cas d’usage (exemple pédagogique)
Une PME de 20 véhicules de fonction bascule au réel avec Evera Fleet. Après ventilation pro/perso fiable et justificatifs disponibles en cas de contrôle :
45 826 € d’économies annuelles sur les AEN
2 841 € d’économies de temps administratif (processus automatisés)
Abonnement outillé : aligné sur un coût par véhicule mensuel
ROI net ≈ 4 826 € / véhicule / an (ordre de grandeur)
Cet ordre de grandeur illustre le potentiel quand l’usage réel s’écarte sensiblement du forfait. Le simulateur AEN 2025 vous donne votre estimation personnalisée.
Comparateur : méthode au réel vs méthode forfaitaire
La réforme 2025 accentue l’écart entre les deux modes de calcul. Voici un exemple concret pour un véhicule de fonction utilisé 60 % à titre professionnel.
Comparateur : méthode au réel vs méthode forfaitaire
La réforme 2025 accentue l’écart entre les deux modes de calcul. Voici un exemple concret pour un véhicule de fonction utilisé
60 % à titre professionnel.
Critère
Méthode forfaitaire
Méthode au réel
Base imposable annuelle
10 800 €
6 240 €
Charges sociales employeur
4 320 €
2 496 €
Économie réalisée
—
1 824 € / an
Justification URSSAF
Non, estimation forfaitaire
Oui, usage réel certifié via Evera Fleet
Comment passer au réel… sans friction
Le réel requiert un suivi continu et opposable. C’est précisément le rôle d’Evera Fleet : centraliser, automatiser, justifier.
Ce que vous mettez en place avec Evera Fleet
Suivi précis pro / perso des kilomètres (procédures et interfaces simples côté collaborateur)
Traçabilité conforme URSSAF (journaux, historisation, accès aux pièces)
Reporting centralisé pour RH/DAF (exports, workflows, contrôles)
Vision TCO pour relier AEN, énergie, entretien, assurance, amendes
La méthode au réel est-elle plus “risky” en cas de contrôle ?
Non, si votre collecte et votre archivage sont carrés. C’est tout l’intérêt d’Evera Fleet : des données structurées, historisées, exportables, avec une piste d’audit claire.
Les collaborateurs doivent-ils tout saisir manuellement ?
Non. Vous définissez une procédure simple (catégorisation pro/perso, rappels, validations). L’approche doit être le moins intrusive possible et identique pour tous.
On peut commencer en milieu d’exercice ?
Oui. Mieux vaut démarrer maintenant pour arrêter l’hémorragie du forfait. Vous pourrez régulariser proprement avec les exports consolidés.
Conclusion
La réforme 2025 rend le forfait coûteux et, souvent, injuste. La méthode au réel, adossée à Evera Fleet, remet l’usage au cœur du calcul : moins de charges, plus d’équité, plus de pilotage.
Ajoutez-y un simulateur pour objectiver le gain, une vue TCO pour prioriser les actions, et vous transformez un sujet fiscal en avantage concurrentiel pour votre entreprise.
👉 Cela signifie qu’un plus grand nombre de véhicules d’entreprise seront désormais concernés par cette taxe.
Le double mécanisme du malus écologique 2025
Le système repose sur deux volets :
un malus CO₂, basé sur les émissions,
un malus poids, appliqué au-delà d’un certain seuil.
Structure du dispositif
Type de malus
Base de calcul
Seuil 2025
Montant maximal
Malus CO₂
Émissions de CO₂ (cycle WLTP)
113 g/km
70 000 €
Malus poids
Poids à vide du véhicule
1,6 tonne
10 € / kg au-delà du seuil
💡 Le cumul des deux malus ne peut pas dépasser 70 000 € par véhicule.
Un barème plus sévère, plus progressif
Le malus CO₂ s’applique désormais dès 113 g/km, avec une montée en puissance rapide :
50 € à partir de 113 g/km
1 000 € dès 136 g/km
70 000 € au-delà de 192 g/km
Le malus au poids suit une logique complémentaire :
10 € / kg au-delà de 1 600 kg
20 € / kg au-delà de 1 800 kg
30 € / kg au-delà de 2 100 kg
🎯 Objectif : orienter les entreprises vers des modèles légers, efficients et électriques.
Impact sur les entreprises et les flottes automobiles
Pour les PME, ETI et grandes entreprises, le malus 2025 impacte directement le TCO (Total Cost of Ownership).
Les conséquences principales :
Hausse du coût d’acquisition des véhicules thermiques,
Diminution de la valeur résiduelle des modèles polluants,
Complexification du renouvellement de flotte,
Nécessité de repenser la stratégie d’achat et de leasing.
👉 Pour évaluer concrètement cet impact, testez notre simulateur TCO.
Cas particulier : les véhicules d’occasion
Le malus ne s’applique pas encore directement aux véhicules d’occasion en 2025, sauf pour les véhicules importés.
Mais à partir de 2026, il s’étendra à tout le marché secondaire.
Ce qui changera en 2026 :
Application aux véhicules d’occasion à partir du 1er janvier 2026
Extension aux véhicules immatriculés depuis 2015 n’ayant pas déjà été taxés
Barème identique à celui du neuf
Mise en place d’un abattement progressif selon l’âge du véhicule
⚠️ Pour les gestionnaires de flotte, cela signifie que même le marché de l’occasion deviendra plus coûteux à gérer pour les véhicules thermiques lourds ou anciens.
Le cas des véhicules utilitaires
Les véhicules utilitaires légers (VUL), longtemps épargnés, entrent désormais dans le champ du malus 2025.
Les nouveautés à connaître :
Application du malus CO₂ pour les utilitaires récents,
Seuils de poids plus élevés mais soumis à tarification,
Exemptions possibles pour véhicules spécifiques (secours, chantiers, etc.).
Pour les flottes d’utilitaires, le suivi devient stratégique.
👉 Grâce à Evera Fleet, vous pouvez désormais suivre les émissions et anticiper les coûts de malus dès la phase d’achat.
Bonus écologique vs Malus écologique : les deux faces d’une même politique
Le bonus et le malus forment un système incitatif équilibré :
Dispositif
Objectif
Effet
Bonus écologique
Récompenser l’achat de véhicules propres
Subvention jusqu’à 5 000 €
Malus écologique
Sanctionner les véhicules polluants
Taxe jusqu’à 70 000 €
En combinant les deux, le gouvernement oriente le marché vers des véhicules électriques, hybrides rechargeables ou à faibles émissions.